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A propos de la pub !

Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 18:27

Alors que tous les marchés boursiers dévissent en ce mois d’Août, penchons-nous un peu sur la santé des laboratoires pharmaceutiques.  

(relevés de cotations boursières au 12/08/11)

 

France 

SANOFI

+6.27%

Le groupe Sanofi Aventis figure parmi les leaders européens dans le domaine pharmaceutique. La majorité des ventes du groupe sont réalisées via les produits pharmaceutiques tels que les médicaments cardiovasculaires ou pour soigner les troubles nerveux. Le reste vient des ventes de vaccins humains (13%).

Le groupe a publié, le 28 juillet dernier, ses résultats semestriels et voit son chiffre progresser de près de 6.9% à 8.3 milliards d’euros, grâce en particulier à l’acquisition de Genzyme. Cependant les ventes ont légèrement reculé de 4% du fait de la concurrence des médicaments génériques. Les branches d’activité qui progressent le plus sont les médicaments contre le diabète (+12.4%) et ceux contre la grippe H1N1 (+30%).


USA

 

PFIZER

+5% 

Le numéro un mondial de la pharmacie, l'américain Pfizer, a vu son bénéfice net croître de 5% au deuxième trimestre, à 2,61 milliards de dollars, juste au-dessus des attentes du marché.

« Je suis satisfait que beaucoup de nos produits de base, surtout le Lyrica (contre les douleurs neuropathiques), l'Enbrel (contre le psoriasis et l'arthrite rhumatoïde) et la marque Prevnar/Prevenar (vaccins) aient gardé une bonne performance, et que la base de nos affaires reste solide », a commenté le directeur général Ian Read, cité dans un communiqué.

 

ABBOT

+48% 

Abbot Laboratories a annoncé un bond de 48% de ses bénéfices au deuxième trimestre.

 

Grande Bretagne

GlaxoSmithKline

+1.38% 

Le groupe pharmaceutique britannique, GlaxoSmithKline a fait état pour son deuxième trimestre 2011 d'un bénéfice par action de 25 pences contre 2,6 pences l'an dernier et 25,3 pences de consensus. Les ventes ressortent à 6,72 Milliards de livres, en repli de 4%. La firme indique tabler sur un retour à la croissance des ventes et des marges l'année prochaine, aidée par la diversification réalisée ces dernières années, de nouveaux produits et l'expansion dans les marchés émergents.

 

Suisse 


ROCHE

+2% 

Le groupe pharmaceutique suisse Roche a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 21,67 Milliards de Francs au cours du 1er semestre 2011, stable en monnaies locales. Hors Tamiflu, la croissance atteint 2%.

 

Chine


Simcere & Merck & Co

Le groupe pharmaceutique chinois Simcere a conclu mardi un accord avec Merck & Co. portant sur la création d'une joint-venture pour faire face à la demande grandissante en services médicaux en Chine et la mise en place d'une importante campagne de vaccination.

 

A.HomeNaturo OverblogSans commentaires…

 

Au sujet des médicaments et/ou des laboratoires pharmaceutiques lire :

Malade ? Et si c'était le médicament ?

Dans la presse : Laboratoire Servier toujours lui !

Les parabènes interdits et les médicaments

Dans la presse : Les Français et les médicaments

Dans la presse : on parle encore du médiator

Ce cher...Médiator : une petite boîte d'un coût exhorbitant !

Le point sur la pétition en faveur des plantes médicinales

Dans la presse : Médicaments et vaccins sous surveillance

Dans la presse : Distilbène, Requip : effets secondaires

Dans la presse : témoignage d'une malade du médiator

Médicaments et effets secondaires l'avis du Naturopathe

Conférence Nationale de la Santé, Bernard Kouchner

Grippe A/H1N1, les Naturopathes avaient raison !

 

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 10:59

  sur le blog de Naturopathie HomeNaturo, les maladies liées aux médicaments.

 

A.HomeNaturo Overblog Le Naturopathe cherche toujours en premier lieu à préserver le capital santé de ses contemporains et, lorsque des troubles de santé surviennent, ses deux principaux axes d'investigation sont : l'environnement direct de la personne concernée : alimentation, stress, pollutions environnementales, situation professionnelle et les interractions médicamenteuses auxquelles celle-ci est soumise. 

Robert Masson, dans ses cours, enseigne -et répéte- : - " Et si c'était le médicament ? "

Fort de cet enseignement je n'ai pu que constater le cocktail parfois explosif prescrit aux patients Français. Aujourd'hui, ce ne sont plus seulement les Naturopathes qui s'inquiètent mais aussi d'éminents professeurs ou de très sérieuses revues médicales qui tirent la sonnette d'alarme.


Constat : les Français sont malades de leurs médicaments !


Le plus est l'ennemi du bien et, si en matière de soins, l'allopathie et les traitements médicamenteux ne sont certes pas à proscrire, que dire de ces médicaments dont l'efficacité est minime voire carrément dangereuse ? Que penser de ces ordonnances dans lesquelles figurent plus d'une dizaine de médicaments prescrits trois fois par jour, soit au total une trentaine de prise médicamenteuse quotidienne ?

Dans de nombreux cas des méthodes simples de prévention suffisent à préserver sa santé et, lors de troubles de santé, les soins naturels s'avèrent souvent parfaitement efficaces et leurs effets durables.


Combien d'autres scandales sanitaires vont bientôt faire surface ?


Après le Médiator® quels seront les médicaments, les vaccins et au-delà les laboratoires pharmaceutiques qui vont se retrouver sur le banc des accusés ?

Pour étayer le point de vue de la Naturopathie il n'est plus besoin de consulter les publications spécialisées en santé naturelle, il n'est plus besoin de se pencher sur de vieux grimoires qui fleurent bon l'arnica et ventent les mérites de l'Ortie, le Naturopathe est aujourd'hui - trop souvent, hélas - soutenu dans ses affirmations par les articles de presse et les procès retentissants liés aux lobbys pharmaceutiques ! Je dis bien hélas car une vérité qui apparait à la lumière de drames humains ne peut être ressentie comme une victoire ! Aucun des acteurs de santé naturelle ne peut se réjouir des dossiers qui sortent aujourd'hui mais il n'en est pas non plus un seul qui en soit surpris !

 

b12817

 

Les Naturopathes après avoir été taxés de charlatans ou de passéïstes trouvent aujourd'hui les soutiens les plus appuyés à leurs convictions auprès du monde médical et dont voici deux exemples :

Le premier, extrait de la Revue médicale " Prescrire "

Le second, sous forme d'un enregistrement audio lors d'un entretien du Professeur EVEN sur l'antenne d'une grande radio nationale

 

de la Revue Prescrire :

Et si c'était le médicament ?

Face à un trouble de santé, il est toujours utile de chercher les éléments qui orientent vers une cause médicamenteuse.

Une part importante des troubles rencontrés en pratique de soins est liée à des effets indésirables de médicaments. Face à certains troubles, il est utile de chercher une éventuelle cause médicamenteuse.

Le médicament est une cause à envisager parmi d'autres. Par exemple, des nausées ou vomissements, une urticaire, une somnolence, une toux, une insuffisance rénale sont de diverses origines, et pour une part non négligeable d'origine médicamenteuse. Il existe parfois aussi des relations indirectes, par exemple dans le cas d'infections survenant chez des patients sous immunodépresseur.

La démarche diagnostique a pour but de préciser le trouble, de classer ses causes possibles, de situer la place des médicaments parmi les autres causes.

Plusieurs critères sont à analyser pour déterminer le lien entre l'exposition à un médicament et la survenue d'un trouble. Sont à prendre en compte : les caractéristiques du patient exposant davantage à certains effets indésirables ; la chronologie des prises au regard de l'évolution du trouble ; les effets indésirables connus et les caractéristiques pharmacologiques du médicament.

Les mesures à prendre sont centrées sur la reconnaissance rapide du rôle du médicament afin d'informer le patient, d'analyser les conséquences d'un arrêt ou d'une diminution des doses du médicament, d'éviter certaines explorations diagnostiques et des prescriptions en cascade, exposant à d'autres effets indésirables.


©Prescrire 1er août 2011 

Eclairage sur la revue Prescrire :

Depuis janvier 1981, la raison d'être de Prescrire est d'apporter aux professionnels de santé, et à travers eux, aux patients, les informations claires, synthétiques et fiables dont ils ont besoin, en particulier sur les médicaments et les stratégies diagnostiques et thérapeutiques.

Les rédacteurs Prescrire sont médecins (généralistes ou spécialistes, exerçant en cabinet libéral ou à l’hôpital), pharmaciens (officinaux ou hospitaliers), infirmiers, ou dentistes. Quelques-uns sont économistes ou journalistes, particulièrement compétents dans le domaine de la santé. Tous les rédacteurs de Prescrire sont formés selon des protocoles internes à Prescrire.

Des rédacteurs eux aussi indépendants.
L'absence de lien financier direct ou indirect avec une firme pharmaceutique est une condition sine qua non d'appartenance à l'équipe Prescrire. Un tel lien est un motif d'exclusion de l'équipe de Rédaction.

 

 Enregistrement audio lors de l'entretien du Professeur EVEN b ok mod ident 

 

Philippe EVEN, né en 1932 à Paris, médecin pneumologue français.

Biographie : Professeur dès 1966. Spécialisé dans les maladies respiratoires. 

- Chef du service de réanimation de l'hôpital Laennec. - Doyen de l'hôpital Necker-Enfants malades entre 1988 et 2000, il défend la recherche fondamentale.

   Professeur émérite à l'Université Paris Descartes, président de l’Institut Necker, Philippe Even a participé à des commissions scientifiques de l’INSERM et du ministère de la Santé. Il a aussi été représentant de la France à Bruxelles et chargé de missions scientifiques aux États-Unis.

- Auteur d'une centaine de publications scientifiques internationales et de plusieurs ouvrages.

 Philippe Even face à l’Industrie pharmaceutique 

Il est le traducteur du livre La vérité sur les compagnies pharmaceutiques : Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer de Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine (Éditions le mieux-être, 2005). 

En décembre 2010, il intervient régulièrement dans les médias à propos de l'affaire liée au Mediator® .
Il est le co-auteur, avec Bernard Debré, d'un rapport sur la réforme du système du médicament, rapport voulu par la Présidence de la République suite à l'affaire du Mediator et remis au Ministre de la santé le 16 mars 2011.

Au sujet des médicaments et/ou des laboratoires pharmaceutiques lire :

Médicaments et effets secondaires l'avis du Naturopathe

De la bonne santé des laboratoires pharmaceutiques

Dans la presse : Laboratoire Servier toujours lui !

Les parabènes interdits et les médicaments

Dans la presse : Les Français et les médicaments

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Dans la presse : Médicaments et vaccins sous surveillance

Dans la presse : Distilbène, Requip : effets secondaires

Dans la presse : témoignage d'une malade du médiator

Conférence Nationale de la Santé, Bernard Kouchner

Grippe A/H1N1, les Naturopathes avaient raison !

 

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 21:56

 

 

A.carre sante blog HomeNaturoL'ASN alerte sur les dangers des scanners

Les radiographies et scanners exposent les patients à des rayons ionisants dépassant les doses admissibles de radioactivité...


Pour l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), « la radiologie, ça se justifie ».

 L’ASN a de nouveau alerté sur l’augmentation des doses de rayons ionisants reçues par les patients qui subissent un scanner ou une radiographie. Les dernières études de l’ Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) et de l’Institut de veille sanitaire révèlent que les doses délivrées lors de ces examens médicaux ont augmenté de 47% durant les cinq dernières années. Un « souci majeur » pour l’ASN, qui souhaite que certains scanners soient remplacés par des imageries par résonance magnétique (IRM).

Pas assez d’IRM en France

Michel Bourguignon, commissaire à l’ASN, estime que chaque scanner du corps entier ou uniquement du tronc expose le patient à une dose radioactive de 20 millisieverts (mSv), soit la dose qu’un radiologue ou qu’un travailleur du nucléaire ne doit pas dépasser en un an.

A partir de 100mSv, le risque de développer un cancer augmente significativement. Entre 2002 et 2007, les prescriptions de scanners ont augmenté de 38%. « Il est évident que tous ces examens sont très utiles d’un point de vue médical et que l’exposition est très différente d’une personne à une autre », a souligné Michel Bourguignon, mais l’ASN souhaite que leur usage soit raisonné. 

Pour cela, il faudrait développer les IRM, qui n’émettent pas de radiations, mais dont la France manque : seulement 8,7 IRM par million d’habitant contre 20 en moyenne dans les autres pays européens. Deux fois plus chers qu’un scanner et plus récents sur le marché, les IRM pourraient pourtant remplacer certains examens de radiologie, en particulier pour éviter d’exposer les enfants aux rayons ionisants. Afin d’aider les médecins à prescrire l’examen le plus adapté, l’ASN va mettre à leur disposition un guide du bon usage de l’imagerie médicale. Consultable en ligne dès 2012, il devrait permettre d’éviter des scanners inutiles ou d’en remplacer quelques uns par des IRM. A condition de ne pas être pressé: on compte en moyenne un mois d’attente pour passer un IRM.

 

La radiothérapie est un « souci majeur »
pour l'exposition aux rayons ionisants

 

L'Autorité de sûreté nucléaire a annoncé que le nombre de cas d'expositions aux rayons ionisants dans le milieu médical est en hausse de 50% depuis deux ans...


Un nombre de cas « significatifs » en hausse de 50% en deux ans. Le nombre de personnes exposées aux rayons ionisants délivrés par l’imagerie médicale en France ne cesse d’augmenter. « C’est devenu un souci majeur » a alerté mercredi 30 mars 2011 André-Claude Lacoste, président de l’Autorité de sûreté nucléaire, lors de la présentation du rapport 2010 sur la sûreté nucléaire et la radioprotection.

Ce que l’ASN appelle « événements significatifs en radioprotection » (ESR) s’élève au nombre de 419 en 2010 dans le domaine médical. Il y en avait eu 318 en 2009, et moitié moins en 2008. 66% de ces ESR ont été déclarés en radiothérapie, et 63% concernent une exposition du patient de radiothérapie.

« Nous avons le sentiment qu’il est pratiqué en France trop de scanners. C’est bien entendu parfois indispensable, mais il existe aussi d’autres techniques, comme l’IRM (Imagerie à résonance magnétique) » analyse André-Claude Lacoste. Le président de l’ASN reconnaît que l’état du parc actuel est largement en faveur du scanner, et qu’il « faudrait le rééquilibrer ». « Mais ce n’est pas le seul problème : le scanner bénéficie d’une image plus glorieuse » et serait un outil favorisé.

En moyenne, l’exposition d’un individu en France est estimée par l’IRSN à 3,7 millisiverts (mSv) par an, dont 1,3 mSv en provenance des traitements médicaux. Cette part n’était que de 0,8 mSv en 2002. Les autres sources d’exposition sont « naturelles » pour 1 mSv et dues au radon pour 1,4 mSv.

« Ne pas imiter les modèles américains et japonais »

Le personnel médical est bien entendu lui aussi exposé. En 2010 31 « événements » concernaient des personnes travaillant dans des installations médicales, dont 5 ont été classés au niveau 1 de l’échelle Ines, selon le rapport de l’ASN. Il n’y en avait eu que neuf en 2009.

« Ils sont en progression et reflètent soit des pratiques particulièrement exposantes (actes de radiologie interventionnelle de longue durée, préparations de radiopharmaceutiques), soit des professionnels particulièrement et régulièrement exposés du fait de leur expertise ou de leur compétence » note encore le rapport. Huit dépassements de la limite annuelle de dose efficace de 20 mSv et trois dépassements de la limite annuelle de dose aux extrémités (500 mSv) ont été recensés. Tous dans le secteur de la radiologie.

André-Claude Lacoste prône un travail de « persuasion » auprès des médecins et appelle l’ensemble des professionnels notamment la société française de radiologie à fournir un « effort collectif ». « C’est un sujet complexe, sur lequel nous ne pouvons pas nous avancer avec certitude. Il n’empêche que nous ne voulons pas imiter les modèles américains et japonais où il y a une multiplication des cas d’exposition, et une forte augmentation des doses reçues dans le milieu médical. »

 

Le vice-président de la société française de radiologie, Laurent Verzeaux, répond au rapport de l'autorité de sûreté nucléaire, qui a mis en avant la dangerosité d'exposition aux rayons ionisants dans le secteur médical...


L’autorité de sûreté nucléaire a tiré la sonnette d’alarme ce mercredi concernant la dangerosité de l’exposition aux rayonnements en provenance du milieu médical. Partagez-vous cette inquiétude ? 

L’ASN a alerté sur ce sujet à juste titre. L’augmentation de l’irradiation médicale a été de 50% sur ces cinq dernières années, notamment en raison du nombre de scanners en France. Nous étions les parents pauvres il y a quelques années, et nous avons dû rattraper un retard considérable en la matière. Aujourd’hui nous sommes dotés d’environ 1.200 scanners sur l’ensemble du territoire, ce qui est satisfaisant. En revanche, avec environ 500 appareils, nous restons les bons derniers en matière d’IRM (imagerie à résonance médicale). Or cette technologie qui utilise l’énergie électromagnétique n’expose pas aux rayons X, et pourrait être utilisée dans de nombreux cas à la place du scanner.

Combien faudrait-il d’IRM supplémentaires ? 

La profession a estimé qu’il faudrait environ 350 IRM supplémentaires dans les 4-5 ans à venir. Chaque machine coûte environ un million d’euros. J’aime comparer ce prix avec celui d’un rond-point, qui coûte à peu près la même chose. Faisons un peu moins de rond-point…

Mais n’y a-t-il pas tout de même une surenchère dans la prescription de scanners ? 

Les scanners ont un niveau d’activité élevé, de l’ordre de 12.000 à 14.000 actes par an et par machine, soit 60 à 70 examens par jour. Mais ce n’est pas dans une volonté de faire du chiffre d’affaires. La nomenclature prévoit en effet une dégressivité du prix de l’acte : après 13.000 utilisations le tarif par examen chute à 30 euros, ce qui n’est quasiment rien. Cela est prévu pour précisément contrôler les stakhanovistes du scanner.

Mais ceux-ci existent tout de même. La profession n’est pas exempte de tout reproche… 

Il y a sans doute des abus.

Ce qu’il y a d’intéressant dans le rapport de l’ASN en tout cas, c’est qu’il ne cherche pas à stigmatiser, mais à trouver des solutions. Cette mise en garde a déjà permis d’alerter les constructeurs sur les niveaux de dose émis par les machines, qui sont en baisse par rapport à il y a quelques années. Les corono-scanner par exemple ont fait de formidables progrès.

Le rapport pointe des dépassements de doses chez huit professionnels de santé l’an dernier. Est-ce grave ? 

Les niveaux d’exposition restent relativement limités, et huit cas c’est très peu par rapport à l’ensemble de la profession. Il faut s’intéresser surtout aux modes d’exercice, car si l’on prend toutes les précautions, gants et lunettes en plomb notamment, on ne prend pas de doses.

Source : 20minutes 154748[1] publié le 7 juillet 2011

 

Sur le même sujet :

médecine nucléaire et irradiations médicales l'avis du Naturopathie 18/03/11

Pour une meilleure compréhension de ce domaine si complexe plusieurs documents sont à votre disposition en format PdF  ici b ok mod ident

 

 Au sujet de la santé lire aussi 

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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 17:11

 

 

 

A.carre sante blog HomeNaturo Les Omégas 3

 

Les Omégas 3 sont des acides gras essentiels, c'est-à-dire que le corps doit les trouver dans la nourriture car il ne les fabrique pas lui-même.

Les Omégas 3 font partie des lipides donc des graisses.

Les Acides Gras Essentiels (AGE) sont indispensables à la vie. L’organisme a besoin d’AGE saturés et insaturés. Il n’y a pas de mauvaise graisse, tout, comme toujours, est question d’équilibre.

Aujourd’hui la plupart des individus sont en déséquilibre due à une trop importante consommation d’Oméga 6 et pas assez d’Oméga 3, pour exemple, la consommation d’oléagineux (noix, noisettes, amandes…), l’une des principales sources d’Oméga 3, est 5 fois moins importante qu’auparavant.

 

Le rôle des Oméga 3

 

Les Oméga 3 sont nécessaires à la santé et leurs bienfaits sont multiples :

 ALIMENTATION.-2jpg ils jouent un rôle important dans la protection cardiovasculaire en stabilisant le taux du cholestérol et en abaissant celui des triglycérides. Ils régulent la tension artérielle comme l’indiquent de récentes études menées dans divers pays : Etats-Unis, Grande Bretagne, Japon…

Ils protègent les vaisseaux sanguins et réduisent les risques d’avc et d’athérosclérose.

Les Omégas 3 participent aussi au bon équilibre nerveux, les membranes neuronales étant constituées d’Omégas 3. En rendant ces membranes fluides, ils facilitent les transmissions neuronales. Ils ont de ce fait un rôle équilibrant : luttent contre l’angoisse, l’insomnie, la nervosité et la dépression.

En outre , les Omégas 3 ont un effet bénéfique pour la peau, la consommation d’Oméga 3 s’avèrera très efficace dans lutte des eczémas, psoriasis…

Dans les pathologies plus lourdes comme la sclérose en plaque, Parkinson et Alzheimer l’action des Oméga 3 est aujourd’hui reconnue pour ses effets bénéfiques sur le système nerveux.

 

Donc, en résumé :

 

Les oméga 3 préviendraient Alzheimer et certains cancers, lutteraient contre les rides, les problèmes de poids et les maladies cardiovasculaires...

Ces acides gras bénéfiques, que l’on trouve principalement dans les poissons gras, les huiles et les noix, ont des vertus incroyables...

Les oméga 3 préviendraient la maladie d’Alzheimer

Les résultats de plusieurs études montrent que le DHA, acide de la famille des oméga 3, stimule, même en faible dose, la production de la protéine LR11, qui protège naturellement le cerveau. L’action du DHA est si décisive qu’on a également prouvé qu’il était capable de freiner la progression de la maladie d’Alzheimer chez les souris. Ces résultats donnent à penser que les personnes ayant des antécédents familiaux de maladie d’Alzheimer auraient intérêt à adopter un régime alimentaire riche en oméga 3.

Les oméga 3 sont bénéfiques pour la peau

Plusieurs rapports scientifiques concluent que l'EPA, acide gras appartenant à la classe des oméga 3, freine le processus de vieillissement de la peau. Il a d’abord un effet bouclier contre les radicaux libres, qui causent notamment l’arrivée des rides. En outre, Il rend l’épiderme plus résistant, plus élastique et contribue à l’adoucir. Il peut donc être un formidable allié santé en cas de peau sèche, d’eczéma, d’acné ou de psoriasis ou tout simplement d’hypersensibilité cutanée.

Les oméga 3 limiteraient les risques de cancer

Les oméga 3 favorisent la bonne santé et l’équilibre rénal. Ils permettent, en effet, de mieux éliminer l’eau présente en excès dans l’organisme. Par ricochet, ils contribuent également à combattre la rétention d’eau. Le risque du cancer du rein serait lui aussi diminué... Les chercheurs suédois de l’institut Karolinska de Stockholm ont ainsi pu observer que les femmes qui mangent des poissons gras (concentrés en oméga 3) lors d'un repas ou plus par semaine avaient une réduction de 44 % du risque de cancer du rein par rapport à celles qui n'en consomment jamais.

Les oméga 3 facilitent la perte de poids

Si vous voulez retrouver ou garder la ligne, ne faites pas l’impasse sur les oméga 3. D’après une étude récente parue dans la revue scientifique Appetite, ils contribueraient à diminuer la sensation de faim, quand on les délivre sous forme de compléments alimentaires dans le cadre d’un régime pauvre en calories. Le rapport scientifique a ainsi passé au crible 232 individus obèses ou en surpoids, divisés en deux groupes. Le premier recevait des mets riches en oméga 3, l’autre, des menus pauvres en oméga 3. Sans surprise, c’est l’équipe numéro un qui a manifesté le plus grand sentiment de satiété juste après le repas mais aussi deux heures après.

Les oméga 3 minorent le risque de dépression

Des chercheurs français de l’INRA ( Institut National de la Recherche Agronomique) ont remis un rapport début 2010 prouvant que la prise d’oméga 3 prévenait et aidait à traiter la dépression et les troubles bipolaires. Ils ont comparé les comportements de deux groupes de souris : l’un privé d’oméga 3, l’autre recevant sa ration quotidienne. Résultat : celles qui n’avaient pas eu leur "dose" étaient plus stressées, anxieuses et mémorisaient beaucoup moins bien. Il est par ailleurs établi que la dépression est plus rare dans les pays où l’on consomme beaucoup d’oméga 3, tel le Japon.

Ils entretiennent le système cardiovasculaire

Les oméga 3 participent au bon fonctionnement du système cardiovasculaire, d’abord parce qu’ils ont pour effet de rendre les plaquettes sanguines moins collantes, ce qui minore le risque de caillots sanguins donc d'infarctus du myocarde et d'AVC. Ensuite parce qu'ils font baisser le taux de triglycérides, des lipides qui favorisent les pathologies cardiaques.

Les oméga 3 boostent le système immunitaire

Les oméga 3 limitent la production des cytokines, substances que le corps fabrique et utilise comme "signaux d’alarme" pour se préserver des agressions extérieures. Produites de façon prolongée, ces cytokines sont toxiques. Elles provoquent des inflammations dans l’organisme et l’affaiblissent, le rendent plus vulnérable. Si vous voulez passer à côté des infections, notamment les classiques otites et rhinopharyngites de l’hiver, misez donc sur les oméga 3.

Les oméga 3 font baisser la tension

Contrairement aux idées reçues, la consommation de produits enrichis en oméga 3, largement vantée dans les rayons de nos supermarchés, ne diminue pas - de façon directe - le taux de cholestérol dans le sang.

Les oméga 3 luttent contre les rhumatismes

Une étude réalisée au début des années 90 sur le régime crétois, qui est en vigueur dans certains pays méditerranéens, a démontré que l’huile de colza, riche en oméga 3, atténue les symptômes de la polyarthrite rhumatoïde. Pourquoi ? Parce que dans cette maladie l’érosion du cartilage se double de la formation de radicaux libres qui, eux aussi, attaquent les tissus cartilagineux. Grace à leurs propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires, les oméga 3 réussissent, au moins en partie à contrebalancer le phénomène.

 

 

Les sources d’Oméga 3

 

Les poissons gras, POISSONS PELE-MELE en particulier ceux de la Mer du Nord, sont très riches en Omégas 3, en revanche évitez : le thon, le saumon ces poissons étant en bout de la chaîne alimentaires sont contaminés par les métaux lourds, ajoutons à cela qu’il est de plus en plus difficile de trouver du saumon sauvage, c'est-à-dire non engraissé de farines animales et de maïs transgénique et que le thon, en particulier le thon rouge, est aujourd’hui une espèce fortement en voie disparition.

Privilégiez les petits poissons : sardines, harengs…


Les huiles végétales 1ère pression à froid extraites à pas plus de 40°, même les huiles de qualité sont pratiquement toujours chauffées à + de 40°, lisez donc bien les étiquettes…si vous arrivez à trouver cette indication. En effet, les huiles chauffées à + de 40° seront peu utilisables par les neurones (cf : travaux Catherine Kousmine).

L’huile parfaite est l’huile de noix : 4/5èm d’Oméga 6 pour 1/5èm d’Oméga 3, le seul corps gras parfait mais qui, en revanche, ne peut être utilisé pour frire ou cuire mais pourra être utilisé en pâtisserie ou cru, évidemment.

 

D’autres huiles contiennent des Oméga 3, mais leur teneur est beaucoup trop riche ou trop pauvre :

Soja 5 à 10 %

Colza 10 %

Chenevis 24 %

Lin 44 %

 

Pour obtenir un bon équilibre il faudra calculer pour mélanger l’huile choisie avec de l’huile d’olive.

 

Les Oléagineux (noix, noisettes, amandes...) sont une excellente source d'Oméga 3, parsemez-en vos crudités, vos légumes...

Pensez aussi aux graines de lin, tournesol, sésame, pour varier les plaisirs !  


 

Malgré tout, un complément en Oméga 3 pourra être nécessaire.


Consultez votre thérapeute EQUILIBRE ALIMENTAIRE-3 car tous les compléments alimentaires ne se valent pas.

 

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31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 22:30

Naturopathie et calcium, l'ostéoporose une fatilité ?, comment prévenir la fuite de calcium, l'alimentation et le calcium

A.carre sante blog HomeNaturoLe calcium

 

Métabolisme du calcium

99 % du calcium se trouve dans les os et les dents. Il assure la minéralisation et la solidité de la trame osseuse protéique : c’est le constituant chimique essentiel de l’os.

Le 1 % restant se situe dans les liquides extra-cellulaires.

 

homenaturo-squelette entier

 

Le calcium, son importance pour le bon fonctionnement de notre organisme.

 

Outre son évidente importance dans la santé des os et des dents,

le calcium joue un rôle primordial dans :

La coagulation sanguine

Le maintient des fonctions cardiaques,

L’exitabilité neuro-musculaire ou signaux nerveux.

  Coupe d'oshomenaturo-squelette-cellule-2 les cellules actives qui génèrent l'os se présentent sous la forme de structures circulaires sombres.

L’os est une réserve calcique où l’organisme puise ou stocke selon ses besoins. Deux hormones sont chargées de réguler le calcium :

La calcitonine, hormone produite par la glande thyroïde et qui va favoriser le stockage du calcium dans l’os.

La parathormone, hormone parathyroïdienne qui favorise quant à elle le passage du calcium de l’os dans le sang.

 

Pour une bonne fixation du calcium, l’organisme a besoin de la vitamine D. Cette vitamine joue un rôle capital pour le métabolisme du calcium, tandis qu’un excès de calcium entraînera la chute de la vitamine D. La vitamine D est synthétisée à partir de la peau sous l’action du soleil et du cholestérol qui sert de base également à l’élaboration de nombreuses vitamines.

 

Squelette d'adulte homenaturo-squelette-déformé particulièrement déformé, telles sont les conséquences d'une forte carence en vitamine D durant l'enfance.

 

Les causes de la déperdition du calcium dans l’organisme :

 

Excrétions urinaires et intestinales :

100 à 150 mg de calcium sont rejetés dans les selles. A peu près la même quantité sera excrétée dans les urines, voyons pourquoi :

 

L’excès de sel : 100 à 200 mg de calcium seront excrétés quotidiennement par les urines or, le sel favorise la fuite du calcium dans les urines. Il est donc important de réduire la quantité de sel dans l’alimentation (toute l’alimentation industrielle en contient) et de vérifier l’apport de sodium dans les eaux minérales.

 

La fuite du calcium a aussi pour causes :

 

Le manque d’exercice physique entraîne une déminéralisation

 

Le stress acidifie les tissus qui, pour rétablir le taux de PH va prélever du calcium.

 

L’acidité tissulaire favorisée par un apport d’acides dans l’alimentation, l’organisme va alors ponctionner ses minéraux pour tamponner cet excès.

 

Le manque d’Acides Gras Essentiels. Un bon apport en Oméga 3 voire une supplémentation alimentaire améliore l’absorption du calcium.

 

L’effet protecteur des oestrogènes disparaît chez la femme ménopausée exposant son ossature à une importante diminution du taux de calcium.

 

Le manque, voire la carence en vitamine D notamment chez les personnes agées et de plus en plus chez les enfants et les adolescents, va entraîner une diminution de l’absorption de calcium. Il est donc primordiale de s'exposer quotidiennement à la lumière du soleil.

 

Les apports journaliers recommandes  (AJR)

 Source : Affssa  (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments). :

 

Selon les enquêtes réalisées dans le monde le taux journalier varie.

Pour un adulte on recommandera ainsi un taux journalier de 500 mg à 800 mg

Pour un nourrisson jusqu’à 1 an le taux journalier recommandé sera de 360 mg à 400 mg

 

Or, si l’on se fie aux apports de l’allaitement maternel naturel on constate que le nourrison élevé au sein ne recevra que 250 à 300mg/j, ne risque-t-il donc pas une carence ? Et bien non justement car, s’il est vrai que le lait de vache-maternisé- contient plus de calcium que le lait maternel, l’absorption par l’organisme du bébé des minéraux du lait de sa mère sera plus important : 50 % du calcium et du fer contenus dans le lait maternel sont absorbés par l’organisme de bébé contre 10 % pour le lait de vache.

 

Consommation journaliere à travers le monde :

Europe et principalement du Nord, Amérique du Nord, Océanie :

Plus de 900 mg

 

Italie, Argentine :

654 à 800 mg

 

Chilie, Inde, Turquie :

350 à 500 mg

 

Japon, Ceylan :

350 mg

 

Les besoins minimaux :

Ils sont mal connus il semblerait pourtant qu’une ration calcique de 200mg/j suffise pour en prévenir la carence.

Pour plus de sûreté, il est préférable de tabler sur une ration journalière de 400 à 500 mg/j.

 

Pour optimiser la fixation du calcium :


-         La vitamine D, nous l’avons vu est essentielle pour le calcium or cette vitamine provient principalement de l’exposition à la lumière solaire, une exposition du visage et des bras à la lumière du soleil durant une quinzaine de minutes quotidiennement et sans crème protectrice est donc fortement conseillée.
-         l’exercice physique voire seulement  la marche
-         une consommation en suffisance d’Omega 3 ou une supplémentation
-         une alimentation équilibrée.

 

calcium et alimentation :

Les aliments sont un apport essentiel du calcium, les connaître c’est en prévenir la carence.

Tableau des principaux aliments riches en calcium pour 100g :

 

Fruits secs :

Figue sèche 178 mg

Datte            75 mg

Abricots secs 80 mg

Oléagineux :

Pistache           131 mg

Amande           254 mg

Noisette           225 mg

Sésame         1000 mg

Noix                 80 mg

Céréales :

Blé                   90 mg

Orge                280 mg 

Légumineuses :

Lentilles            80 mg

Pois chiches     150 mg

Haricots secs    120 mg

Poissons

De 20 à 50 mg en moyenne

280 mg pour la sardine fraîche   

Crustacés

Crevettes            200 mg

 Huîtres, moules    90 mg

Escargots           170 mg

Légumes

Chou                  429 mg

Feuilles de navet 260 mg

Persil                 200 mg

Pissenlit            180 mg

Cresson             150 mg

Brocoli               130 mg

Endive               100 mg

Ortie                 100 mg à 3,24 g selon le sol

Sucres

Raffiné               0 mg

Mélasse           273 mg

 

Les laitages un cas particulier :

 

La consommation journaliere recommandée de calcium à travers le monde :

Nous l'avons vu en Europe et principalement du Nord, Amérique du Nord, Océanie : la consommation de calcium est de plus de 900 mg.

Or, pour la plupart des individus, médecins compris, on trouve principalement le calcium dans les laitages dont la teneur est de 132mg pour le lait et de 50mg à 150mg pour les produits laitiers divers, fromage, yaourt…et jusqu’à 1265mg pour le parmesan.

Les produits laitiers sont donc présentés comme la panacée en matière de calcium. C'est donc cet apport qui est privilégié dans l'alimentation.

Qu’en est-il vraiment ?

" Les Suédois détiennent deux records mondiaux : celui de la consommation de laitages et celui des fractures du col du fémur " (Thierry Souccar). Et cela n'est pas dû à des facteurs génétiques, puisque l'ostéoporose fait des ravages chez les chinois de Hong Kong depuis qu’ils ont adopté notre régime alimentaire lacté ; tandis que ceux du continent, qui consomment encore peu de laitages, sont bien plus épargnés.

 

En France, responsable de près de 150 000 fractures par an, dont un tiers du col du fémur, l'ostéoporose touche une femme sur trois, les chiffres étant pratiquement identiques pour toute l'Europe. Pourtant, on n'a jamais mangé autant de laitages que de nos jours, laitages qui sont censés nous apporter le calcium nécessaire.

HOMENATURO-SQUELETTE-2

 

 

L'os en dentelle de la partie supérieur a perdu le calcium nécessaire le protégeant contre les fractures. Cet état, connu sous le nom d'ostéoporose est principalement un problème de femme ménopausée. Si tel est le cas, c'est que non seulement les femmes posèdent une ossature plus fine que celle des hommes, maus qu'après la ménopause elles cessent de produire des oestrogèes, l'hormone féminine qui joue un rôle majeur dans la formation et le bon état des os. Le premier accident de l'ostéoporose est, d'ordinaire, une fracture dans les conditions où elle n'aurait pas dû se produire.

Une alimentation riche en calcium et variée, une activité physique quotidienne, une vigilence quant à l'assimilation de la vitamine D et une supplémentation alimentaire sont les remèdes simples et efficaces à mettre en oeuvre pour éviter l'ostéoporose.

 

 

 

 

" (...) Un quart seulement du calcium apporté par les produits laitiers est réellement absorbé au niveau de la muqueuse intestinale (la vitamine D ajoutée n'y change rien)."

Dans le même temps les campagnes publicitaires se multiplient et indiquent même qu’il faut manger jusqu'à 5 yaourts par jour.

" Enfin, des recherches, volontairement ignorées par la communauté médicale, indiquent que la prise de calcium (sans magnésium associé) est nocive puisque le calcium fuit en plus grosses quantités dans les urines ou vient se fixer dans des zones inadéquates (tendons, plaques d'athéromes)." Dr. Patrick Bauplé dans Pratiques de Santé n° 52, juin 2006.

Alors qu'une bonne minéralisation nécessite une alimentation alcaline (basique), les produits laitiers renforcent ainsi l'acidité de l'organisme et freine l’assimilation du calcium dans l’organisme.

 

Preuve, s'il en était, que non seulement les laitages ne protègent pas de l'ostéoporose, mais semble au contraire la favoriser.

 

Cet état des lieux concernant les laitages amène de nombreux Naturopathes à ne pas recommander la consommation de laitages.

 

 

Lecture conseillée :

Lait, mensonges et propagande de Thierry Souccar - éd. Thierry Souccar, 2008.

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 21:46

presse homenaturo overblogParabènes interdits

 

mais très présents

 

Quelque 400 médicaments

contiendraient des parabènes

 

Alors que l'Assemblée nationale a voté en première lecture, le 3 mai dernier, l'interdiction de l'utilisation de trois catégories de perturbateurs endocriniens, les parabènes, les phtalates et les alkylphénols, le quotidien français Le Monde a publié, lundi 23 mai, une liste de 400 spécialités pharmaceutiques contenant des parabènes. Pointés du doigt pour leur toxicité et leurs effets cancérigènes, les parabènes sont utilisés dans de nombreux produits cosmétiques et alimentaires, mais aussi dans les médicaments, pour leurs vertus antibactérienne et antifongique.

La liste du Monde regroupe environ 400 spécialités pharmaceutiques, parfois utilisées de façon courante voire quotidienne. Il s'agit notamment de cosmétiques pour nourrissons, de crèmes telles que la Biafine, de sirops contre la toux, de pansements gastriques, de dentifrices, de médicaments cardiovasculaires sous forme de suspension buvable ou encore de spécialités médicales contre la fièvre ou la douleur.

De nombreuses études ont montré que les parabènes pouvaient favoriser le développement de cancers et pénétrer la peau, alors que d'autres parvenaient à la conclusion qu'ils étaient peu toxiques pour la santé. A ce jour, le sujet fait toujours l'objet de nombreux débats scientifiques en Europe.

L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) réaliserait actuellement une étude de toxicologie sur les spécialités pharmaceutiques à base de parabènes. Les résultats pourraient être connus avant la fin de l'année 2011. Source : Relaxnews

 

Environ 400 spécialités pharmaceutiques

–certaines utilisées de façon très courante– contiennent des parabènes.

 

ces conservateurs dont la toxicité et les effets cancérigènes font l'objet de débats scientifiques et dont l'Assemblée nationale a voté l'interdiction le 3 mai. La liste, établie par Le Monde, comprend aussi bien des dentifrices que des médicaments utilisés en chimiothérapie anticancéreuse.

Parmi les produits les plus courants listés : de nombreux cosmétiques pour bébé ; des crèmes comme la Biafine ; de nombreux sirops contre la toux (Clarix, Codotussyl, Drill, Hexapneumine, Humex, Pectosan, Rhinathiol) ; des pansements gastriques (Maalox, Gaviscon) ; des traitements des troubles du transit intestinal (Motilium) ou des nausées et vomissements (Primpéran) ; les formes en suspension buvable de médicaments cardiovasculaires (Cozaar, Vastarel) ou antibiotiques (Josacine, Zinnat) ; des médicaments contre la douleur et la fièvre (formes génériques d'ibuprofène et de paracétamol) ; les traitements de l'asthénie (Sargenor) ; sans oublier les formes génériques de ces médicaments.

Les parabènes sont présents dans des milliers de produits cosmétiques, alimentaires et dans des médicaments afin d'éviter le développement de champignons et de micro-organismes qui pourraient être nocifs pour l'homme. Les conservateurs ont également pour objectif d'empêcher la dégradation du médicament et la baisse de son efficacité, voire d'éviter sa nocivité.

Le 3 mai, les députés avaient créé la surprise en adoptant, contre l'avis du gouvernement, la proposition de loi de Yann Lachaud (Nouveau Centre, Gard) visant à interdire l'utilisation des phtalates, des parabènes et d'alkylphénols, trois catégories de perturbateurs endocriniens.

Le texte doit encore être voté par le Sénat, mais l'inquiétude règne dans les secteurs industriels concernés, qui se verraient obligés, en cas d'adoption définitive, de trouver des substances de remplacement.

Une étude de toxicologie, menée par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) avec le concours de plusieurs laboratoires pharmaceutiques, est en cours. " Les 400 spécialités pharmaceutiques contenant des parabènes, sous forme méthyle ou propyle, concernent environ 80 firmes titulaires d'autorisations de mise sur le marché ", estime Vincent Gazin, responsable de l'unité de toxicologie clinique de l'Afssaps et pilote de l'étude en cours, dont les résultats sont attendus pour novembre.


EFFETS TOXIQUES

L'Afssaps s'est penchée sur la question des parabènes dès 2004, notamment à la suite de la publication d'une étude britannique. Une chercheuse de l'université de Reading, Philippa Darbre, et ses collègues avaient retrouvé des parabènes intacts dans des tumeurs du sein, en particulier du parabène de méthyle.  

" Cela démontre qu'au moins une partie des parabènes présents dans les cosmétiques, l'alimentation et les produits pharmaceutiques peut être absorbée et retenue dans les tissus du corps humains " sans être transformée, estimaient les auteurs.

Ils précisaient cependant que les études menées jusque-là n'avaient pu déterminer la source et le chemin emprunté par les parabènes retrouvés dans des tissus humains. En revanche, ils évoquaient l'hypothèse d'un effet favorisant le développement de cancers par le biais de l'action proche des oestrogènes qu'exercent les parabènes, décrite depuis 1998.

L'étude de Mme Darbre a fait l'objet de critiques, mais l'Afssaps a préféré engager une évaluation de la sécurité d'emploi des parabènes en constituant un groupe d'experts ad hoc dès juin2004. Le Bulletin des vigilances de l'Afssaps, daté de juin 2005, indiquait que les experts avaient conclu que les parabènes " sont peu toxiques et bien tolérés, bien que des réactions allergiques puissent survenir chez certaines personnes ".

Néanmoins, le groupe de scientifiques avait relevé que des études avaient " établi que ces conservateurs pourraient être à l'origine d'une faible perturbation du système endocrinien ". Ils précisaient que les données disponibles ne permettaient pas de " caractériser ni de quantifier le risque, notamment cancérigène, qui pourrait être associé à la perturbation endocrinienne ".

Les experts soulignaient cependant la mise en évidence d'effets toxiques sur la reproduction chez le jeune rat, par une équipe japonaise, ajoutant que ces études " suggèrent un risque potentiel pour la fertilité masculine ", observé avec le parabène de propyle mais pas avec la forme méthyle.

" L'évaluation de 2004 avait laissé des zones d'ombre et l'étude japonaise montrant une altération de la fertilité chez le jeune rat présentait des insuffisances. Nous avons donc décidé de refaire une étude chez le jeune rat avec le parabène de propyle ", explique M. Gazin. Six laboratoires pharmaceutiques sont parties prenantes de cette investigation, dont le coup d'envoi a été donné en avril 2010.

Reste que si, à eux seuls, les parabènes n'étaient pas à même de perturber significativement le système hormonal, la question resterait posée d'un effet cumulatif avec des expositions à d'autres perturbateurs endocriniens.

Source : Paul Benkimoun Article paru dans le Monde édition du 24.05.11

Et Relaxnews

La liste, établie par le journal Le Monde

 

A.HomeNaturo OverblogConsultez cette liste pour prendre conscience de ce que vous avez dans votre armoire à pharmacie. Sans doute pouvons-nous nous attendre à un nouveau scandale sanitaire.

 

 

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 16:19

ortie, grossesse, femme enceinte et ortie précautions à prendre, informations pour la femme enceinte

 

ORTIEL’Ortie,

 

durant la grossesse : attention !

 

L'Ortie, malgré tous ses bienfaits pour la santé, sera d’un usage particulièrement restreint durant la grossesse et des précautions s’imposent quant à son utilisation durant cette période.

 

Des études cliniques ont démontré quelques cas d’avortement chez la lapine ayant été nourri d'ortie, pour cette raison le corps médical déconseille la consommation d’ortie durant la grossesse.

Or, les Amérindiens la recommandent durant cette période aussi il n’est pas rare que l’Ortie soit conseillée par les herboristes américains aux femmes enceintes.

Ainsi, Anny Schneider, Herboriste Québécoise, déconseille la consommation d’Ortie en début de grossesse, l’Ortie étant emmenagogue les risques peuvent s’avérer catastrophiques, en revanche elle conseille de petites doses d’Ortie pour préparer et faciliter l’accouchement et durant toute la laction puisque l’Ortie présente d’importantes propriétés galactogènes.

 

En résumé : pour ne prendre aucun risque en début de grossesse il faudra impérativement éviter de consommer l’ortie crue ou sèche sous quelque forme que ce soit.

ortie mere bebeEn revanche, les principes chimiques de l’Ortie se modifient lorsque la plante est séchée, elle pourra donc être consommée raisonnablement au terme de la grossesse puis au moment de la lactation, les propriétés galactogènes de l'Ortie étant unanimenent reconnues : l'Ortie favorise la montée de lait, en augmente la production et la qualité.

Il est pourtant à noter que certains médecins la prescrive même en début de grossesse car sa richesse en Vitamine B9 aurait une incidence importante sur le bon développement du fœtus.

 

Malgré cela, la consommation d’Ortie crue –sous quelque forme que ce soit- doit rester fortement déconseillée à la Femme enceinte durant toute sa grossesse, du fait de la sérotonine contenue dans le dard urticant de la plante, en effet la sérotonine stimule les contractions de l’utérus et peut ainsi provoquer un avortement.

 

Notez bien que les informations diffusées ici ne peuvent être considérées comme des conseils, ce sera évidemment au médecin traitant à prescrire ou non l’Ortie à la Femme enceinte qu’il suit et dont il connaît le parcours.

Chaque grossesse est différente et il n’est ici question que d’informations générales et non de conseils personnalisés.

 

 

 

Sur le même sujet, articles du site :

 

La Naturopathie pour la femme enceinte

Enceinte et stressée, l'avis du Naturopathe

Enceinte et au régime, quels risques pour l'enfant ?

Les OGM laissent des résidus dans le sang des femmes

 

Après la naissance de bébé, articles du site :

 

La Naturopathie et L 'ALLAITEMENT

L'allaitement un choix social ?

 

Documentation à votre disposition :

 

Les documents en PdF du blog HomeNaturo

Portage des bébés la meilleure solution

Le Guide de l’allaitement maternel 

 

Au sujet de l'Ortie :

L'Ortie et la santé


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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 18:50

Ortie en naturopathie, ortie et bienfaits pour la santé, savoir utiliser l'ortie, quelles sont les propriétés de l'ortie, quelles sont les indications de l'ortie, comment utiliser l'ortie,

ortieL’Ortie qui s’y frotte…

 

S’y soigne

 

Nous la connaissons tous ne serait-ce que pour s’y être piqué un jour.

La connaissez-vous vraiment ?

 

La mauvaise réputation

 

Invasive, squatteuse des jardins et en plus urticante, l’Ortie semble avoir décroché la médaille de la " Mauvaise Herbe " par excellence.

 

Et pourtant

Pourtant oui bien sûr, nous sommes face à une plante qui se défend, ses feuilles, très dentelées, sont munies de poils urticants,ortie-piquants-copie-1.jpg sortes de minuscules ampoules ou dard contenant un venin proche de celui de certains serpents ou insectes.

 

L’ortie, un trésor de bienfaits

 

Le venin participe aux vertus bienfaisantes de la plante et il contient des acides divers dont : l’acide formique, acétique, gallique mais également des flavonoïdes, histamine, sérotonine…

Mais les vertus de l’ortie ne s’arrêtent pas là,

 

L’ortie est constituée :

 

DE PRINCIPES ACTIFS MAJEURS


De nombreux minéraux dont : calcium, chlore, magnésium, manganèse, potassium, soufre, zinc , silicium et fer en importante quantité
Des vitamines notamment B2, B5, B9,K, C et provitamine A

Des oligo éléments : manganèse, silice, potassium, soufre

De la chlorophylle en grande quantité.

 

Scientifiquement prouvé

 

De nombreuses études cliniques ont démontré que la prise d'ortie permettait de réduite de 75% la prise de médicament anti-inflammatoire et tests pharmacologiques ont donné la preuve de son efficacité et ce dans bien des domaines.

 

ortie feuille

L’ortie est un tonique général de l’organisme

 

et

 

Diurétique elle sera très utile dans tous les cas de :  

Goutte,

Calculs urinaires,

Enurésie (incontinence)

Rétention d'urine

Stimulation de la fonction rénale

Stimule et renforce la prostate. Les stérols qu'elle contient agissent contre l'hypertrophie de la prostate.

Antiénurésique elle aide à stopper le « pipi au lit » d’origine organique 

 

 

Dépurative elle aide à combattre les cas de

Dermatoses

Urticaire

Acné

Boutons de fièvre

   

Sa grande richesse en vitamines, minéraux et oligo-éléments, lui permet d’être très efficace pour ce qui concerne les cas de :

 

Déminéralisation,

Ostéoporose,

Fatigue chronique,

Convalescence,

Anémie, 

Fragilité des ongles,

Chute des cheveux.

 

Détoxifiante elle débarrasse l'organisme

des toxines et déchets

combat la cellulite

 

Calmante contre les douleurs :

Rhumatismales,

Arthrose,

Arthrite

Névralgie sciatique

Douleurs inflammatoires


Galactogène

Stimule les montées de lait

Augmente la production de lait

Enrichit la qualité du lait

 

Anti-allergique très efficace pour combattre

L’asthme,

Le rhume des foins,

L’urticaire.

 

Hémostatique très utile pour régler tous les problèmes sanguins

hémorragies

Saignements de nez

Crachement de sang

Emménagogue aide à la régulation des menstruations

Retour des règles

 

Conseillée contre les troubles

Du foie

De la rate,

Les crampes et les ulcères d'estomac et intestinaux,ortie.tisane jpg

Les maladies pulmonaires.

 

antidiarrhéique  elle est employée avec succès contre

Le choléra,

La jaunisse,

La gastro,

Les diarrhées.

 

Vermifuge,

Révulsive,

Virulicide, combat les virus

Antibactérienne 

 

elle favorise

L'attention

La concentration

La mémoire

 

Attention, certaines précautions sont à connaître avant d'utiliser l'ortie, ainsi que certaines contre indications, lisez-les ici

 

Il existe en pharmacie des gélules d'ortie (feuilles ou racines) prêtes à l'emploi.

 

Les feuilles d'ortie peuvent être utilisées en infusion, en cataplasme, en lotion ou en décoction,

fraîches ou même sèchesORTIE SECHEE, bien que fraîches les feuilles conserveront toutes leurs propriétés.

 

 

Les feuilles d'ortie peuvent être consommées en légumes.

 

ORTIE

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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 17:54

OGM-5OGM  

ou

Organismes

Génétiquement Modifiés

en comprendre les enjeux

Les OGM sont des organismes vivants dont le patrimoine génétique a été modifié par l'homme.

Cet organisme vivant peut être : une plante, un animal, virus, bactérie, unicellulaire ou pluricellulaire ou un micro-organisme dont on a transformé le patrimoine héréditaire afin de le doter de propriétés que la nature ne lui a pas attribuées, résultat obtenu par manipulation de l’Acide désoxyribonucléique (ADN). Le génome a été modifié en laboratoire par insertion d’un ou plusieurs gènes homologues (de la même espèce) ou hétérologues (provenant d’une espèce différente). 

Les premiers OGM ont été obtenus chez les bactéries et les levures, il y a plus de 20 ans.

Parmi les organismes vivants qui ont été modifiés génétiquement on peut citer des plantes comme le maïs, le coton, la pomme de terre… mais aussi des animaux comme le GloFish qui est une marque déposée (tout-à-fait : cet animal est devenu une marque déposée, comme une voiture !),  le GloFish étant le poisson zèbre OGMZebrafisch NON MODIFIE génétiquement modifié par l'introduction dans son génome d'un gène d'une protéine fluorescente lui conférant des couleurs rouge, vert et orange clair. OGM GloFish Il est le premier animal de compagnie génétiquement modifié.

Les différences entre les ogm et les croisements d’une espèce similaire à l’autre, pour les plantes ou comme dans le cas des élevages de bovins, volailles, chevaux, chats (…) et bien sûr les chiens, pour améliorer la race en y apportant, au moment de la procréation et par sélection, les qualités du père ou de la mère choisis, ces différences donc sont fondamentales. Si les croisements, pour les animaux et les plantes éxistent depuis les temps les plus anciens, plusieurs siècles avant Jésus-Christ, dans la vallée de l’Euphrate, des fermiers ont sélectionné les meilleurs plants pour en conserver minutieusement leurs semences pour la saison suivante, c’est qu’ils étaient liés à l’observation de phénomènes naturelles.

En revanche, en ce qui concerne les OGM, c’est la structure même du code ADN qui va être modifiée. La découverte de la structure de l’ADN dans le milieu des années 40 permettra ensuite de franchir la barrière des espèces. Dès lors tout est possible et on parle alors de transgénèse. Ainsi, la modification génétique s'effectue en ajoutant une petite portion d'ADN d'un organisme dans l'ADN d'un autre organisme - même s’il est d’une espèce différente - ce qui n'aurait pas été possible par croisement entre espèces ou par recombinaison génétique naturelle.


Un OGM peut-il se transmettre à un organisme vivant non modifié ?

OGM-2

Les OGM qui émettent des insecticides sont présentés par les chercheurs et par les industriels comme particulièrement efficace voire écologiques car on n’aurait alors pas besoin de traiter au moyen d’insecticide.

La reproduction sexuée des plantes fait intervenir, pour une bonne part d’entre elles, la pollinisation croisée, ce qui a pour conséquence qu’une plante OGM peut parfaitement transmettre les nouveaux gènes à une autre plante voisine non transgénique appartenant à la même espèce.
C’est ce qu’on appelle la pollution génétique.

Celle-ci contrairement à toute les autres pollutions crées par l’homme est irréversible : elle se transmet de plantes en plantes sans qu’aucun contrôle soit possible. Une plante OGM avec des insecticides transmet alors son gène aux autres plantes qui, elles, peuvent ne pas supporter le gène insecticide.

Notons, qu’ il a été dernièrement observé pour les plants transgéniques émettant des insecticides, qu’il s’avèrent en fait inefficaces et que des espèces d’insectes colonisent ces plants en s’y adaptant. 

Les OGM dans l’alimentation et leur impact sur la santé humaine

En ce qui concerne les produits OGM se retrouvant dans l’alimentation humaine des études tendent à prouver qu’il subiraient, entre autre, une diminution de leur qualité nutritive, en réaction à l’insertion du gène étranger, la plante pourrait générer des substances supplémentaires qui pourraient nuire à notre assimilation des éléments nutritifs (vitamines, fer, etc) présents dans la plante.

De même, l’insertion du gène étranger pourrait faire diminuer la teneur des substances nutritives elles-mêmes. 

Les OGM sont-t-il dangereux pour la santé alimentaire ?


Alors que l’alimentation est un facteur essentiel dans le maintien ou la restauration d’une bonne santé, les OGM représentent un faiseau d’interrogations non négligeable et surtout leur consommation ne bénéficie pas d’un recul suffisant pour en évaluer les risques réels à terme pour la santé, ainsi :

un des principaux risques est qu’un des gènes inséré dans une plante OGM destinée à l’alimentation animale ou humaine, provoque la synthèse de produits toxiques ou fortement allergènes.

A ce jour on ignore totalement les répercussions sur la santé provoquées par l’ingestion d’aliments contenant des gènes de résistance aux antibiotiques, mais on sait que les bactéries sont tout à fait capables de récupérer, puis d’échanger ces gènes.OGM-7

Ainsi, la résistance aux antibiotiques peut se transmettre des plantes cultivées aux bactéries qui vivent dans le sol, ou de celles-ci aux bactéries de notre tube digestif.
Cette résistance peut aussi être “récupérée” par des bactéries pathogènes, ce qui peut engendrer de graves problèmes sanitaires.

Et donc une éventuelle multiplication d’allergies et l’apparition de maladie, de virus de plus en plus résistant aux antibiotiques.

Enfin, les Anti-OGM émettaient des inquiétudes quant aux risques de propagation des OGM dans l’organisme, inquiétudes longtemps récusées par les Pro-OGM et qui viennent de s’avérer fondées puisque des traces de résidus d’OGM viennent d’être détectées dans le sang d’un groupe de femme. 


OGM et économie


Les Laboratoires Monsanto OGM-3 ont mis au point des semences OGM et stériles qui contraignent les agriculteurs a acheter, après chaque récolte, de nouvelles semences ainsi, les paysans n’auto-produisent plus leur propres semences mais doivent obligatoirement passer par le... fournisseur.

Les OGM représentent un marché énorme sous couvert des meilleurs intentions : les OGM voleront au secours de la santé humaine de demain, les OGM vont supprimer la faim dans le monde, grâce aux OGM l’Humanité ne connaîtra plus jamais de famine.

Qu’en est-il vraiment lorsque l’on sait que les grandes firmes comme Monsanto, Novartis... avec l’aide de nombreux gouvernements, cherchent à breveter le vivant, ainsi et pour exemple : les producteurs d'Afrique de l'Ouest sont bien décidés à se battre pour conserver le droit de produire leurs semences. Des demandes de certificat d'obtention végétale, notamment sur l'oignon de Galmi, déposées par une société sénégalaise à l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle pourraient, en effet, rapidement les priver de ce droit. Les horticulteurs ouest africains ne pourront plus utiliser leurs semences d'oignon dit Violet de Galmi si la demande de certification d’obtention végétale, introduite fin 2006 auprès de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (Oapi), par la société sénégalaise Tropicasem, est acceptée. Le dossier est déjà bien avancé et le délai de réclamation auprès de l'Oapi largement dépassé.

OGM-6

Ainsi se met en place le codex alimentarius, que l’on retrouve d’ailleurs en lien dans le site  OGM du gouvernement (il faudrait peut-être suggérer au Gouvernement de créer un sité dédié à l'agriculture Bio ?) et le site créé à l'initiative des professionnels des semences et exclusivement consacré aux OGM en France , le Codex Alimentarius, donc, est ainsi définit sur ces sites : commission mixte FAO/OMS chargée de la formulation, de l'harmonisation et de l'application de normes alimentaires à l'échelle internationale, doux euphémisme pour expliquer que chaque organisme vivant, chaque graine doivent être répertoriés, sélectionnés, classifiés pour, au final, être brevetés, autrement dit, c’est l’acquisition du vivant par une poignée de dirigeants qui accepteront, ou pas, la commercialisation ou la consommation de telle ou telle plante, des semences de tomates sont ainsi maintenant absolument interdites !  Voir ici la pétition diffusée par Kokopelli (L'association Kokopelli s'est vu interdire d'exposition et donc de vente, ses semences de tomates anciennes parce qu'elles n'étaient pas autorisées et ce dans des salons Bio !) 

 

Les OGM polluent, nous l’avons vu, les champs voisins voire lointains alors que dans le même temps,

Le Bio en pleine expansion et capable aujourd'hui de nourrit la population mondiale, représente un marché de 2,6 milliards d’euros en France. Le chiffre d’affaires du marché des aliments biologiques a ainsi gagné 1 milliard d’euros en trois ans, pour atteindre un chiffre d’affaires de 2,6 milliards d’euros en 2008, soit un gain supérieur à 25% par rapport à l’année précédente. Ce créneau représente déjà 1,7% du marché alimentaire français. Or, on a vu des paysans bio obligés d’arracher leurs propres cultures à cause de la proximité d’un champs plantés d’OGM et ce sans indemnisation aucune.

L’inverse serait-il concevable ? En quoi des cultures bio pourraient-elles polluer des champs d’OGM ?

carte ogm en France


OGM et Principe de précaution


En ce qui concerne les OGM, le principe de précaution n’est donc absolument pas à l’ordre du jour.

Malgré de nombreuses études scientifiques –majoritairement mises en place par les laboratoires commercialisant les OGM- nous n’avons aucun recul quant à l’impact sanitaire des Organismes Génétiquement Modifiés sur la santé humaine, de même, en ce qui concerne l’environnement, c’est tout l’écosystème qui est mis à mal avec les OGM et, avec les cultures intensives d’OGM, c’est la biodiversité qui s’amenuise comme au Canada, par exemple, où le colza sans OGM n’existe pratiquement plus du fait de la pollution génétique, en France, nous pouvons citer le cas de la luzerne dont la disparition, pour multifactorielle quelle soit, est aussi dû aux vastes cultures issues d'OGM.

Dès lors, c’est toute la chaîne de la biodiversité qui s’en trouve bouleversée dont l’un des marqueurs les plus inquiétant pourrait être la disparition des abeilles.

Le consommateur, pratiquement sans libre choix, quant à lui, se perd dans un dédale d’étiquettes, de logos, de labels sans forcemment trouver traces d’OGM et pourtant ils sont partout ou presque –retrouvez ici le guide des aliments avec ou sans OGM édité par Greenpeace sous format PdF- ou directement sur le site de Greenpeace 

OGM-4

Dans quels produits alimentaires

peut-on trouver des OGM ou leurs dérivés ?

Le seul OGM autorisé à la consommation en tant que tel est le maïs doux.

Plusieurs ingrédients dérivés d’OGM (maïs, colza, soja, coton, betterave) sont également autorisés en alimentation.

À noter que les pousses dites de soja sont en réalité des pousses de haricot mungo qui n’ont rien à voir avec le soja utilisé dans l’industrie agro-alimentaire.

Tous ces produits doivent être étiquetés pour leur caractère génétiquement modifié, sauf en cas de présence fortuite à une teneur inférieure à 0,9%, en application du règlement 1829/2003 relatif aux denrées alimentaires et aliments pour animaux génétiquement modifiés.

Des produits dérivés d’OGM sont autorisés sous la forme :

  • d’aliments : 

-  à base de maïs : farine et semoule de maïs, huile de maïs, chips de maïs salées, pétales de maïs pour petit déjeuner ;
-  à base de soja : huile de soja, tonyu, tofu, crèmes desserts à base de soja, sauce de soja ;
-  à base de colza : huile de colza ;
-  à base de betterave sucrière : sucre.

 

  • d’ingrédients : 

-  farine de maïs dans le pain, les céréales pour petit-déjeuner, les biscuits apéritifs...
-  flocons de maïs dans les barres de céréales...
- semoule de maïs dans les biscuits apéritifs, la chapelure, la bière, les céréales pour petit déjeuner...
-  amidon de maïs et liants amylacés (fécule) dans les plats cuisinés, les sauces, la charcuterie, les crèmes desserts, les préparations pour desserts déshydratées, les potages, les pâtisseries...
les petits pots pour bébés !
-  dérivés de l’amidon de maïs (sirop de glucose, dextrose, maltodextrines ...) dans les sauces, les biscottes, les barres céréales, les bières, les potages, les biscuits apéritifs, les préparations de fruits sans sucre incorporés dans les yaourts et divers desserts, les glaces...
-  farines de soja dans le pain, le pain de mie, les pâtisseries...
-  protéines de soja dans les plats cuisinés, la charcuterie, les préparations pour nourrissons (soyons clair, là on parle des laits maternisés)...
-  matières grasses végétales (maïs, soja, colza) dans les barres céréales, le pain de mie, les biscuits apéritifs, les pâtisseries, les matières grasses à tartiner, les potages...
-  huile de coton dans les fritures pour aliments...


Je laisse à votre réflexion les points de suspension après chaque liste d'aliments !

Il est à noter que cette liste est l'exacte copie de celle visible sur le site gouvernemental des OGM, les points de suspension y sont !

  • d’additifs : 

-  issus du maïs : amidon oxydé (E 1404), phosphates d’amidon (E 1410, E 1412 à E 1414), amidons acetylés (E 1420, E 1422), amidons hydroxypropylés (E 1440, E1442), succinate d’amidon (E 1450), amidon oxydé acetylé E1451), caramels (E 150a à E 150d), sorbitol (E 420), mannitol (E421), isomalt (E 953), maltitol (E 965), lactitol (E 966), xylitol (E 967), glucono-lactone (E 575), erythorbates (E 315 et E 316) ;
-  issus du soja : lécithine (E 322), huile de soja oxydée (E 479b).

  • de supports d’arômes : 

-  produits dérivés du maïs tels que amidons, maltodextrines, beta cyclodextrine.


Quelles sont les plantes génétiquement modifiées

autorisées en France  

et sous quelles conditions ?

       1. Sont autorisés pour la culture commerciale
 :

- le tabac " ITB-1000-0X " de la société SEITA tolérant à un herbicide. À noter que la culture de ce tabac n’a pas été développée ;


- le maïs Bt-176 de la société Novartis tolérant à la pyrale et à un herbicide ;
- le maïs MON 810 de la société Monsanto tolérant à la pyrale (la commercialisation des semences de 6 variétés obtenues à partir de ce maïs est autorisée) ;
- le maïs T 25 de la société AgrEvo tolérant à un herbicide ;


- deux variétés hybrides de chicorée, obtenues à partir de lignées mâles stériles et tolérantes à un herbicide, mises au point par Bejo-Zaden (le légume n’est pas autorisé pour l’alimentation).


2. Sont autorisés pour la production et la commercialisation de fleurs coupées :

Des œillets à coloration modifiée ou présentant une tenue en vase prolongée mis au point par la société Florigène.


3. Sont autorisés pour la filière de l’alimentation humaine

Cinq OGM en tant que tels sont autorisés en alimentation humaine : il s’agit des maïs doux Bt11, NK603, GA21, MON863 et 1507.

De plus, de nombreux produits dérivés peuvent être mis sur le marché :

- ingrédients  dérivés du soja RoundupReady (lignée 40-3-2) ;
- ingrédients dérivés des maïs Bt11, Bt176, MON810, T25, NK603, GA21, MON863 et 1507 ;
- huiles obtenues à partir des colzas MS1, MS8, RF1, RF2, RF3 et leurs hybrides ainsi que les huiles obtenues à partir des colzas Topas 19/2 et GT73 ;
- huiles obtenues à partir des cotons 531 et 1445.

De nombreux additifs et arômes obtenus à partir d’OGM, produits qui ne faisaient l’objet d’aucune autorisation spécifique au regard de la caractéristique OGM dans le précédent dispositif réglementaire, ont été notifiés à la Commission et peuvent être mis sur le marché.

La liste exhaustive des produits ainsi notifiés est disponible sur le site Internet de la Commission européenne à l’adresse suivante :

http://europa.eu.int/comm/food/dyna/gm_register/index_en.cfm

Pour l’alimentation humaine, cette disposition concerne les additifs et arômes dérivés du colza T45 et des cotons MON531, MON 1445 et MON 15985, produits qui peuvent donc être commercialisés.


4. Sont autorisés pour la filière de l’alimentation animale

Le soja RR, les maïs T25, Mon810, Bt11, Bt176 et 1507 sont autorisés en alimentation animale.

Les produits dérivés de différents maïs, colzas, et cotons génétiquement modifiés sont également autorisés en alimentation animale, qu’ils soient commercialisés sous forme d’OGM (graines) ou d’aliments (tourteaux ou corn gluten feed par exemple).

Les aliments pour animaux dérivés d’OGM ne faisaient pas l’objet de procédure spécifique d’autorisation avant l’application du règlement (CE) n°1829/2003.

Ainsi, de nombreux aliments dérivés d’OGM, en plus de ceux cités ci-dessus, ont été notifiés à la Commission et peuvent être mis sur le marché.

La liste exhaustive des produits ainsi notifiés est disponible sur le site Internet de la Commission européenne à l’adresse suivante :

http://europa.eu.int/comm/food/dyna/gm_register/index_en.cfm

 

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Les OGM laissent des résidus dans le sang des femmes

 

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Dans la Presse :

Le Rôle des Pouvoirs publiques et des instances de surveillance en France

Dans la presse : Y a-t'il un Ministre de l'écologie en France ?

Dans la presse : l'Affsaps de nouveau sur la sellette

Dans la presse : de la bonne santé de l'Agro-Alimentaire

Dans la presse : taxe sur les sodas, c'est pô juste....!!!

 

 

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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 14:31
Naturopathie et maladies environnementales, compréhension des maladies liées aux pollutions environnementales
 
A.carre sante blog HomeNaturoMaladies environnementales :

communiqué de presse

du secrétariat d'Etat à la Santé


Nora Berra a ouvert, le 5 mai, la première réunion du Conseil ministériel européen de l'environnement et de la santé. Ce Conseil a pour but de coordonner la mise en oeuvre de la "déclaration de Parme", signée par 52 Etats européens, visant à faire face aux principaux défis actuels en matière de santé et d’environnement.

Le communiqué de presse du secrétariat d'Etat à la Santé du 13 mai 2011


En 2010, la Conférence ministérielle sur l’environnement et la santé qui se tenait à Parme a débouché sur une Déclaration officielle, signée par 52 des 53 États membres de la région européenne de l’OMS : "la Déclaration de Parme".

L’objectif de cette Déclaration est de "faire face aux principaux défis de notre temps en matière de santé et d’environnement". Elle énonce, pour cela, un processus qui doit permettre de relever six défis : les changements climatiques, les risques sanitaires pour les enfants et les groupes vulnérables, les inégalités socio-économiques et sexo-spécifiques, la charge des maladies non transmissibles, les inquiétudes suscitées par les produits chimiques nocifs persistants, perturbateurs du système endocrinien et bioaccumulatifs et les (nano)particules, et les ressources insuffisantes dans certaines parties de la Région européenne de l’OMS.

Un groupe de travail a été chargé de l’application et du suivi de ce processus : "The Environment and Health TaskForce" (EHTF). Il rassemble les responsables des structures et mécanismes nationaux de mise en œuvre des 53 États membres de la région européenne de l’OMS.

Ce groupe est associé au Conseil ministériel européen de l’environnement et de la santé (Cmes). Ce Conseil assume un rôle politique central dans la coordination des politiques nationales et internationales relatives à la mise en œuvre des engagements de la Déclaration de Parme. Nora Berra, secrétaire d’Etat chargée de la Santé, a ouvert ce jour à la première réunion de ce Conseil ministériel européen, qui s’est tenue au ministère chargé de la Santé.

Huit pays étaient représentés : la France, Malte, la Serbie, la Slovénie, l’Azerbaïdjan, la Biélorussie, la Turquie et la Roumanie. Des représentants de l’Unep (United Nations Environment Programme), l’Unece (United Nations Economic Commission for Europe) et de Who (World Health Organization), étaient aussi présents, ainsi que de la Commission Européenne.

Cette première réunion a examiné les principaux problèmes et domaines stratégiques à traiter

1- Définir et approuver le rôle de gouvernance du Cmes, notamment :

  • la portée et l’opérationnalisation de ses activités : adoption du mandat et décision sur les méthodes de travail de ses membres et de son secrétariat ;
  • son rôle directeur dans la stimulation des mécanismes nationaux de mise en oeuvre et de la
  • contribution à la préparation de la première réunion du groupe de travail "Environment and Health Task Force (EHTF)" ;
  • la participation des parties prenantes, qui font pas partie du Cmes mais n’en sont pas moins des partenaires importants pour le processus européen Environnement et Santé.

2- Débattre et convenir de l’opérationnalisation du suivi des engagements de la Conférence de Parme, notamment :

  • les priorités dans la mise en œuvre des engagements et le cadre pour le suivi des progrès accomplis dans ce domaine ;
  • les nouveaux problèmes émergents que le processus européen Environnement et Santé peut aider à résoudre ;
  • les principaux mécanismes et outils disponibles pour appuyer la mise en œuvre du programme de Parme au niveau international, en vue de maximiser les synergies, d’éviter tout chevauchement des activités et d’optimiser l’utilisation des ressources ;
  • l’amplification de l’impact du suivi des engagements pris à Parme, en établissant un lien manifeste avec d’autres processus régionaux (ex : la Conférence « Un environnement pour l’Europe » à Astana, Santé 2020) et mondiaux (ex : Rio+20, programme des Nations Unies en matière de maladies non transmissibles) ;
  • l’engagement du Cmes à jouer un rôle actif de sensibilisation afin de mettre en avant le suivi désengagements de Parme et utilisation dans les processus régionaux et mondiaux.

3- Aborder les aspects organisationnels et de durabilité du processus européen Environnement et santé.

 

 

A.HomeNaturo Overblog Depuis le temps que la Naturopathie et les Naturopathes prêchent dans le désert !

 

Une fois encore,  pour un Naturopathe la prise en compte environnementale d'une personne est primordiale pour comprendre ses difficultés, de la même façon, un Naturopathe ne formulera pas un " régime miracle " à base de petites pilules ou de régimes amaigrissants standardisés, pour maigrir mais éduquera la personne en surcharge pondérale dans une réforme alimentaire personnalisée, saine et variée et, dans le même temps, la conseillera aussi dans la pratique d'une activité physique adaptée aussi bien que dans la gestion de son stress.

Encore une fois un individu est à comprendre dans sa globalité, le corps humain n'est pas un puzzle et la santé n'est possible qu'en comprenant l'équilibre qu'il faut avoir en tout : nutrition, sport, sommeil, stress et...environnement et ses facteurs à risques.

Depuis des décennies Robert Masson et avec lui tous les Naturopathes, se battent pour tenter de faire comprendre l'aspect capital des risques environnementaux pour la santé, depuis des décennis ils se faisaient traités de doux rêveurs naïfs voire de charlatans. Il aura fallut plus de trente ans pour que cette notion simplissime émerge dans les organes officiels de la santé : les pollutions -de tous ordres- environnementales sont déterminantes dans le maintien ou la déficience de l'état général de la santé.

 

Sur le même sujet lire aussi :

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