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A propos de la pub !

Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

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A.HomeNaturo OverblogNaturopathe diplomé du CENA. 

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 16:45

A.HomeNaturo Overblog Il y a parfois des informations auxquelles on ne croit pas, des décisions qui semblent tellement absurdes qu'elles paraissent fausses et des lois si ubuesques qu'elles ressemblent à des rumeurs ou, pour parler le langage informatique, des Hoax.


Nul n'est censé ignorer la loi...


Alors apprenez donc, Braves Gens, qu'aujourd'hui, en France, en faisant vos courses sur votre marché préféré, en choisissant vos légumes sur l'étal de votre petit producteur bio si sympatique vous vous mettez hors la loi...

Les lois sont, en principe, édictées pour protéger le bon citoyen, en principe...

Voici ce que dit aujourd'hui la législation en matière de légumes anciens (et donc bio, forcément) et des semenses qu'utilisent les paysans dignes de ce nom.

A vous de juger...

Les légumes anciens interdits à la vente

COURGES-2

Les variétés anciennes de légumes sont soumises à une réglementation très stricte.

COURGES-11 Ils égayent nos marchés avec leurs couleurs années « 70 » et leurs formes improbables, à mi-chemin entre des mini Barbapapa amusantes et des sex toys turgescents. Sauf que… vendre de vieux légumes ou légumes anciens peut nous mener tout droit au panier à salade. À tout le moins au regard de la loi. En effet, le commerce de fruits, légumes et semences de plantes potagères est soumis à une réglementation des plus strictes.

Les maraîchers n'ont pas le droit d'acheter des graines de vieux légumes, a fortiori de les vendre ni même de les échanger. Ne pas respecter cet état de fait s'apparente à un acte répréhensible par la loi, passible d'amendes particulièrement dissuasives, voire de peine d'emprisonnement. Certes, la loi n'est pas véritablement appliquée mais à tout moment sur le marché, la direction de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes pourrait envoyer des contrôleurs et sévir. Ce serait alors prendre le risque de mettre à mal tout un pan de l'économie ariégeoise, du Couserannais notamment, qui n'a pas besoin de cela. Aller faire son marché pour acheter des légumes anciens pour mitonner une bonne soupe de cucurbitacées, comme le faisaient nos arrière-grands-mères, équivaut à se mettre hors la loi !

Procédures juridiques et procès

Une législation sous fond de rentabilité, que certaines associations et autres défenseurs de la biodiversité dénoncent avec plus ou moins de virulence. Des groupes de semenciers et de la grande distribution réfutent leurs arguments à grands coups de procédures juridiques et de procès dans certains cas. Dans leur ligne de mire, l'association Kokopelli et des artisans semenciers, comme Biau Germe, qui font de la résistance et contournent la loi. Ces derniers aimeraient réintroduire légalement dans nos assiettes ces variétés de légumes anciens tombés en désuétude mais qui plastronnaient jadis en maîtres dans les jardins sans pesticides.

Denis, lui, est un petit producteur ariégeois  qui ne laisserait son espace de liberté en jachère pour rien au monde. courges-10 L ui brandit sa philosophie comme un étendard et conforme à ses principes brave l'interdit sur les marchés avec son éternel sourire : « Moi je pense à la santé des gens. Aujourd'hui on trouve des fruits et légumes hybrides, ça vous remplit le bide mais ça ne vous nourrit pas. Les variétés anciennes, c'est sûr, c'est meilleur pour la santé et en terme de valeur nutritive, elles dament le pion aux espèces hybrides autorisées. Certains lobbies ne veulent pas que les gens soient en bonne santé. Les gens malades c'est un marché. Et puis question rentabilité, la production de variétés anciennes ce n'est pas rentable, donc pas bon pour la grande distribution. Moi j'en vends en petite quantité, et mes clients pètent la forme ! »

 

Source : la dépêche

 

J'ai voulu comprendre, aller voir au-delà de cet article tant cette information me semblait surréaliste, je me disais que ce n'était pas possible, " qu'ils " n'oseraient pas faire voter une loi, ici, aujourd'hui et en France, interdisant au maraîchers de vendre ou d'acheter des graines de légumes anciens.

Alors j'ai cherché,

voici le résultat de mes recherches sur le site :

titre semences paysannes

que je vous invite à visiter pour que, vous aussi, puissiez croire ce qui y est dit (cliquez sur leur logo) !

 

7 juillet 2011

COURGES-5 Rendons le droit de ressemer
et d’échanger leurs semences aux paysans !

A l’insu et contre les intérêts des paysans, le Sénat va poursuivre, le 8 juillet, l'examen de la proposition de loi relative aux certificats d'obtention végétale. Cette proposition vise à faire payer des royalties aux agriculteurs, qui réutilisent une partie de leur propre récolte comme semences (semences de ferme), pour rémunérer la recherche privée. La Confédération paysanne ne veut pas d’une loi qui oblige les paysans à payer de royalties et réduit à néant leurs droits sur leurs productions.


La législation sur les semences est très complexe, contradictoire et contraire aux intérêts des paysans. Ces derniers continuent à ressemer leur récolte alors que ce droit ancestral, reconnu au niveau international, les expose à des poursuites en contrefaçon. De même, ils échangent leurs semences alors que ce droit leur est dénié. Les semenciers sont rémunérés par des royalties payées lors de l’achat de semences de renouvellement. Pour sélectionner et obtenir leurs variétés protégées, les obtenteurs ont utilisé, et utilisent toujours, des graines appartenant aux paysans, améliorées et adaptées au fur et à mesure des générations. Les obtenteurs n’ont pas payé les paysans pour cela de quel droit les paysans devraient payer des royalties sur la semence de ferme !


Sous la pression des industriels, les politiques développent de nouvelles armes juridiques pour faciliter la poursuite des « contrefacteurs », et ignorent les contraintes de l’activité agricole et les avantages écologiques, économiques et pratiques de la semence de ferme.


La Confédération paysanne appelle les sénatrices et les sénateurs à refuser cette proposition de loi et à soutenir la reconnaissance des droits des agriculteurs d'utiliser et d'échanger librement leurs semences de ferme. Nous poursuivrons notre lutte contre l’appropriation des semences et donc de l’ensemble de la chaîne alimentaire par une poignée de multinationales.

 


26 avril 2011

Reforme européenne du commerce des semences :
Favoriser la biodiversité COURGES-3 ou
les OGM OGM-2 brevetés ?

 

La Commission Européenne a publié et mis en consultation le 19 avril de nouvelles propositions de réglementation du commerce des semences[1]. Le Réseau Semences Paysannes, la Confédération Paysanne, la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique, Nature & Progrès et les Amis de la Terre se réjouissent de son souhait de lever les verrous qui interdisent la commercialisation des semences locales, traditionnelles, sélectionnées pour l'agriculture biologique, pour un recours modéré aux intrants chimiques ou pour les cultures dites marginales. Cette grande diversité est en effet indispensable pour permettre à une agriculture paysanne créatrice d'un environnement sain, de territoires entretenus et d'emplois nombreux d'offrir aux peuples d'Europe une nourriture suffisante et de haute valeur nutritionnelle.



Mais l'affichage de cet objectif cache mal la volonté de la commission d'accélérer la commercialisation des nouvelles variétés génétiquement manipulées, brevetées et non reproductibles par les paysans. D'autant que la simplification proposée n'est pas offerte à tout le monde : les petites entreprises semencières et les semences sélectionnées de manière naturelle seront éliminées par les coûts et les normes sanitaires et de biosécurité rendus indispensables pour les semences génétiquement manipulées des grandes multinationales. Cette libéralisation du commerce des semences passe de plus par un désengagement définitif des États et une privatisation de leur mission de contrôles de la qualité des semences. Enfin, rien ne garantit le droit des paysans d'utiliser, d'échanger et de vendre leurs propres semences.



Pour contourner l'opposition des consommateurs aux OGM, les grandes firmes semencières offrent de plus en plus de semences génétiquement manipulées par d'autres techniques que la transgénèse comme les variétés mutées pour tolérer des herbicides chimiques. Elles disséminent ainsi des gènes brevetés qui permettent de faire valoir leurs droits de propriété sur l'ensemble des semences disponibles et sur la totalité de la chaîne alimentaire jusque dans l'assiette des consommateurs. Aujourd'hui, ces semences qui sont des OGM sont commercialisées sans aucune évaluation sanitaire, environnementale ou socio-économique et sans aucune information des consommateurs, mais se heurtent à la longueur des procédures d'inscription au catalogue. C'est ce dernier verrou que la Commission souhaite faire sauter.



Les organisations signataires demandent que :

- l'information publique sur les techniques de manipulations génétiques utilisées et sur les droits de propriété protégeant les variétés ou les gènes des plantes soit obligatoire,

- toutes les plantes sélectionnées par des technologies génétiques non naturelles soient soumises aux mêmes évaluations que les plantes transgéniques,

- le catalogue simplifié proposé par la Commission européenne soit réservé aux variétés librement reproductibles sélectionnées et multipliées de manière naturelle et traditionnelle; et que les variétés génétiquement manipulées, protégées ou contenant des gènes protégés par des droits de propriété industrielle ou des verrous biologiques qui interdisent aux paysans de réutiliser leur récolte comme semence, ne puissent pas y être inscrites,

- les semences reproductibles sélectionnées et multipliées de manière naturelle et traditionnelle ne soient pas soumises aux mêmes normes et coûts de certification sanitaire et de biosécurité rendus indispensables pour les semences génétiquement manipulées,

- les États conservent leur mission de contrôle et de régulation d'un commerce sain et loyal.

Communiqué commun de :

Réseau Semences Paysannes,

Confédération Paysanne,

Fédération Nationale d'Agriculture Biologique,

Nature & Progrès,

Amis de la Terre

 

A.HomeNaturo Overblog Alors évidemment, bon nombre d'entre nous sommes révoltés mais que faisons-nous ?

Rien ou si peu...Lire cet article, se mettre en colère peut-être, aller sur le site du Réseau Semences Paysannes et puis quoi ? Rien d'autre ?

Que pouvons-nous faire, me direz-vous ?

Mais tout voyons,

il y a tout à faire...

Pour une fois, le pouvoir est réellement entre nos mains de consommateurs, nous pouvons agir et même réagir, sans bulletin de vote, sans violence et sans cris et :

courges-7Refuser l'alimentation industrielle débilitante, carencée de toutes substances nutritives,

 

aux fruits calibrés, trop parfaits pour être honnêtes, vendus hors saison, bourrés de pesticides et d'engrais, stockés dans des locaux réfrigérés, lavés, rincés, essorés, courges-9 maltraités,

courges-6vidés de toutes vitamines, saveurs et parfums.

 

Cuisiner des produits frais, de saison et bio ! COURGES-4


AMAP-2Acheter aux petits producteurs locaux et bio des produits variés tout frais cueillis. 

Alors si vous ne pouvez cultiver vous-même vos légumes,

 si vous souhaitez soutenir l'agriculture bio et de proximité :

Abonnez-vous à une AMAP COURGES-2 et...préservez votre santé !


Ayez toujours à l'esprit que votre alimentation et votre hygiène de vie sont les garants de votre santé, ils ne sont pas à vendre, et la générosité de la nature, si elle se retrouve dans votre assiette, sera toujours la meilleure alliée de votre santé et de votre bien-être.


Informez-vous, renseignez-vous, cherchez à savoir ce qu'est le Codex Alimentarus, comprenez ce que sont les additifs inclus à vos aliments et à ceux que vous donnez à vos enfants, ouvrez votre esprit critique, croisez les informations, juxtaposez les multinationales les unes aux autres et vous comprendrez à qui profite le crime !


" Je préfère manger une salade qui a nourrit une limace,

qu'une salade qui a tué une limace " Jean-Marie Pelt

 

Lire aussi au sujet de :

L'Alimentation & la Santé :

L'alimentation, l'avis du Naturopathe

Le dossier noir des maladies dégénératives

Les Oméga 3, l'avis du Naturopathe

Alimentations et risques sanitaires en augmentation

Les OGM

Les OGM, l'avis du Naturopathe

Les OGM laissent des résidus dans le sang des femmes

L'Agriculture Bio

La Naturopathie et la BIO

Les labels et logos BIO

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

Biodiversité, la pétition diffusée par Kokopelli via HomeNaturo

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

Redécouvrir le rythme des saisons des aliments avec les AMAP

Agriculture de proximité & AMAP au-delà des modes

Bactérie E.Coli et alimentation Bio l'étude qui en dit long...

Les agriculteurs Bio souffriront moins de la sécheresse

Une variété de pommier d'Ile de France retrouvée !

L'Industrie Alimentaire

L'élevage accro aux antibiotiques

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

Salon de l'Agriculture, les victimes de pesticides sont là

Dans la presse : Des pastèques sans pépins !

farines animales et vache folle : le retour

Pastèques explosives en Chine : vive les phytosanitaires !

 

et d'autres sur ce blog... 

Pour continuer sur ce thème lire aussi cet article paru sur le net : images[19]

 

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 18:45
HOMENATURO-ALIMENTATION BIOAh, le mois d’Août et la mer…
Une grande histoire d’amour ! Et pourtant….


Nous avons beau être respectueux, être sensible à la nature il est parfois des gestes tout-à-fait anodins qui peuvent, à terme, bouleverser l’écosystème.

 

THERMALISME

1. Evitez les huiles solaires

Le saviez-vous ? Et oui, les huiles solaires sont nocives pour l'environnement. Evitez donc les huiles solaires et préférez une protection à base de lait solaire ou tout autre produit soluble dans l'eau. Les couches d'huile forment un écran à la surface de la mer diminuant la photosynthèse indispensable à la vie.

2. La mer et la plage ne sont pas des poubelles, nous le savons tous et pourtant...
Sauvons la Méditerranée-9X Gardez les déchets dans votre poche ou dans un sac et ne laissez rien derrière vous à l'heure du retour. La durée de vie des déchets peut être incroyablement longue : de 1 à 5 ans pour un mégot de cigarettes ou un chewing-gum, de 10 à 100 ans pour une canette et de 100 à mille ans pour les plastiques.
Et évidemment, ne jetez rien à la mer.
Comme tous les ans, les stations balnéaires mettent à disposition des vacanciers des poubelles "vacances propres" sur les plages. Vous ne pouvez pas passer à côté ! Vous fumez ? pensez à prendre avec vous un petit récipient muni d'un couvercle à vis, versez un peu d'eau dans le fond et vous aurez toujours avec vous votre cendrier portatif ...valable aussi en randonnée, à la campagne et en voiture !
En bateau :

Stockez les poubelles dans un coin du bateau. Les fonds marins et les espèces sont sensibles aux déchets tant solides que liquides. Utilisez les conteneurs spécialisés, y compris pour les déchets tels que les batteries, les huiles... Respectez aussi l'état des "points propres" ainsi que les consignes de tri.
Ne jetez pas l'ancre n'importe où : cela détruit les fonds sous-marins.
Enfin, veillez à utiliser de l'eau sans produit détergent ou alors uniquement avec des produits "propres" (comme le savon de Marseille). Enfin, attendez de faire une escale pour utiliser les sanitaires du port.


Sauvons la Méditerranée-10X

3. Attention aux fonds marins !

En plongée avec des bouteilles ou juste avec un masque et un tuba, il y a des régles à respecter : ne pas détruire le corail soit en voulant le ramasser, soit en lui donnant un coup de pied par inadvertance par exemple. Mieux vaut garder les bras le long du corps ou les croiser sur la poitrine. Veillez également à ne laisser aucun instrument pendre négligemment.
Enfin, il ne faut pas nourrir les poissons car cela peut les perturber et surtout ne pas toucher les animaux comme les tortues qui souvent, Sauvons la Méditerranée-8X une fois manipulées, ne reviennent plus au même endroit.

4. Ne ramassez pas les coquillages

Il est fortement conseillé de ne rien ramasser : coquillages, sable, morceaux de corail - vivant ou mort - sur les plages ou dans les fonds marins. Si ce geste semble anodin sur le coup, il peut empêcher tout un écosystème de se renouveler ou ralentir son développement. Alors, halte aux collections !
D'ailleurs, ce genre de collectes est strictement interdite dans les parcs et les réserves naturelles.

5. La chasse sous-marine est réglementée

Autorisée à partir de 16 ans en France, la chasse sous-marine nécessite un permis. Ce dernier est gratuit et délivré par les Affaires maritimes. Enfin, une assurance spécifique et une bouée de signalisation sont obligatoires. Lorsque vous prenez votre permis, il est nécessaire de se renseigner sur les zones et les périodes autorisées pour la pêche. Une mise à jour de ces informations par saison est impérative.

6. Pêches, ramassages et prélèvements

Sachez que tout prélèvement (poissons, coquillages, crustacées, etc.) n'est pas un geste innocent. Ainsi, veillez à vous renseigner sur les codes en vigueur dans la région où vous séjournez pour connaître les dates d'ouverture, les tailles et les quantités autorisées. Enfin, respectez les tailles de capture minimales et le matériel autorisé. Les prélèvements de poissons de petites tailles provoquent la réduction de la ressource.
Exemple : en Camargue, la pêche à pied à la telline est limitée à 1 kg/jour/personne (taille minimale : 2,5 cm).

 

MARCHE JOIEBonnes vacances !

 

 

 

 

 

 

 

lien-banniere sauver la méditerranéeLa méditerranée en péril : signez la pétition

 

 

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 12:01

HOMENATURO-ALIMENTATION BIORégulièrement, Fabien met la main à la pâte afin de confectionner et distribuer les paniers de légumes au sein de l’Amap d’Antony.

Ce trentenaire, ardent défenseur de l’environnement, a été conquis par le système avec un leitmotiv :

la découverte.

« C’est tout bête, mais ce système m’a permis de redécouvrir le rythme des saisons, assène-t-il.

Aujourd’hui, on ne sait plus quand poussent les légumes. Grâce à l’Amap, on reprend pied dans cette réalité. »

Pas question donc de déguster tomates insipides en plein hiver.

« L’été, il y a plein de légumes, l’hiver beaucoup moins, alors on doit s’adapter.

C’est comme cela que j’ai remangé des blettes : je n’y avais plus touché depuis la cantine scolaire ! explique-t-il.

Avec l’Amap, mon alimentation a changé.

La betterave crue, les courges, la rhubarbe je n'en mangeais pas beaucoup.

Je m’y suis remis !

Et, quand il n’y a pas cinquante types de légume comme en hiver, on redécouvre le plaisir de cuisiner pour varier les plaisirs.

On réapprend aussi comment gérer son frigo, comment conserver les aliments, etc. »

 

Source :   leParisien  


Lire sur le même sujet :

et quelques autres....

Agriculture et phytosanitaires 

A voir absolument : La mort est dans le pré

Monsanto, selon le Monde

Quels enjeux pour quel monde ?

Suicides des paysans, disparitions des fermes pour qui, pourquoi ?

PAC, pour qui, pour quoi ?

L'évaluation des pesticides : les lacunes réglementaires

Les Epandages aériens sont facilités en France

Des agriculteurs victimes de pesticides veulent rompre le silence

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Quand les apiculteurs occupent un site Monsanto en France

La semaine sans pesticides en France et dans le monde !

Semaine sans pesticides...si on en parlait ?

L'élevage accro aux antibiotiques

Philippe Labre, vétérinaire Bio interdit d'exercer

Les algues vertes : un été pourrit en Bretagne

Agriculture et OGM

Les OGM, l'avis du Naturopathe

La toxicité des OGM démontrée !

Nouvelle action contre monsanto et le maïs OGM

Agriculture BIO et actions qui y sont liées

La Naturopathie et la BIO

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

Loi sur les semences : le germe de la colère

Les semences de la colère

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

Abeilles : chronique d'une mort annoncée

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

La révolution verte est en marche

Agriculture et santé

Alimentation : Alerte santé publique

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

Les maladies dégénératives passent à table !

Des pesticides dans notre sang !

 

 

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 11:43

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOIl y a cinq ans et demi, Patrice Leclerc, conseiller général communiste de Gennevilliers, créait Consom’acteurs. Ce soir, cette association qui chapeaute aujourd’hui deux Amap (association pour le maintien d’une agriculture paysanne) dans la ville organise son désormais traditionnel pique-nique du mois d’août. Le succès a été tellement foudroyant qu’en 2008 l’Amap a dû se scinder.

L’une regroupe les membres du nord de la ville, l’autre ceux du sud. Ce sont au total 150 foyers qui adhèrent à cette démarche.

Basé sur la confiance, le principe d’une Amap est le lien qui unit les adhérents à un agriculteur de la région. Ces derniers s’engagent à lui acheter sa production par le biais de paniers de légumes de saison. Il s’agit de circuits courts, tous les intermédiaires étant éliminés. « Attention, cela va bien au-delà de l’achat d’un panier de légumes. C’est un mouvement, une autre manière de consommer, plus équitable, plus solidaire », résume Patrice Leclerc. Depuis quatre ans, les Amap ont essaimé dans les Hauts-de-Seine, qui en comptent une vingtaine. Chacune a sa particularité et des projets spécifiques. A Gennevilliers, Patrice Leclerc et Angélique Dupont, la présidente, planchent sur un système d’aide alimentaire pour les plus démunis avec des abonnements à l’Amap. A Boulogne, l’Amap prépare des ateliers cuisine et des animations sur le compost ou le recyclage, etc. Dans tous les cas, les adhérents se rendent régulièrement sur l’exploitation qui les fournit et connaissent véritablement le maraîcher.

Certes, l’idée de mieux consommer, manger bio et pratiquer le commerce équitable est très tendance.

Pourtant, les adhérents l’affirment en chœur : il ne s’agit pas d’une simple mode. « Une Amap est dure à monter, il y a des contraintes lourdes comme payer à l’avance, aller chercher les paniers, ne pas savoir ce qu’il y aura dedans, analyse Hélène Cillières, la fondatrice de l’Amap de Montrouge. Le phénomène est profond. »

Pas une simple mode

« La dimension pédagogique est capitale. Grâce à l’aspect affectif, on peut éduquer les enfants à la nature, au respect du produit », ajoute Sophie Ammann, de l’Amap de Boulogne, la dernière-née, qui affiche déjà 70 adhérents. Rançon du succès : après une croissance hyper rapide et un succès sans équivoque, les Amap des Hauts-de-Seine sont aujourd’hui saturées.

Avec souvent un minimum de 40 foyers par association, la plupart ne peuvent plus prendre de nouveaux adhérents et les listes d’attente s’allongent. A Antony, une trentaine d’inscrits patientent à la porte. « Les Amap ont redynamisé l’agriculture de proximité dans la région, constate Angélique Dupont. Aujourd’hui, il n’y a plus assez d’agriculteurs, notamment en bio, pour faire face à la demande. »
Pour les contacter, chaque Amap dispose d’un site Internet ou d’un blog — il suffit de taper Amap et le nom de la ville sur un moteur de recherche ou de vous rendre à la page sites amis de ce site pour trouver :
 AMAP 

Source :   leParisien  


Lire sur le même sujet :

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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 18:55
HOMENATURO-ALIMENTATION BIOLe purin d'ortie enfin légalisé

Petit retour en arrière. En 2006, la loi d'orientation agricole a modifié le code rural et a interdit toute commercialisation du purin d'ortie.

Pour beaucoup, c'était comme une grande injustice: on peut vendre des pesticides mais pas de purin d'ortie ?

Le purin d'ortie enfin légalisé?
Le purin d'ortie peut enfin être préparé et vendu comme tout autre produit phytopharmaceutique.

Il était en effet seulement possible de faire soi-même son purin d'ortie (chez soi) et de diffuser gratuitement la recette du purin d'ortie et encore sous certaines conditions. Mais selon la loi, pas question de vendre le purin d'ortie.

Pour les agriculteurs bio et les amoureux de la nature, ce fut un coup dur... On attendait patiemment que cela change... Et la patience paie souvent !

Le purin d'ortie légalisé

C'est tout neuf, voici que vient de sortir l'arrêté du 18 avril 2011 (publié au Journal Officiel le 28) autorisant la mise sur le marché du purin d’ortie en tant que préparation naturelle peu préoccupante à usage phytopharmaceutique.

Cet arrêté stipule clairement stiple clairement que l'on peut désormais fabriquer et vendre son purin d'ortie pour un usage phytopharmaceutique (fongicide, insecticide, aide à la croissance...) à trois conditions :

  • que l'on suive la recette indiquée dans l'arrêté,
  • que les mesures d'usage, de conservation, d'étiquetage et d'emballage soient respectées (voir l'arrêté),
  • qu'avant commercialisation, comme tout produit phytopharmaceutique, le fabricant/vendeur en fasse la déclaration auprès du ministre chargé de l’agriculture, à la direction générale de l’alimentation.

La recette admise est-elle la bonne ?

Et bien selon l'association " les amis de l'ortie " il semblerait bien que non et que la recette indiquée dans l'arrêté soit en fait une espèce d'erzats sans grande efficacité...Dommage ! Alors que la véritable recette du purin d'ortie est parfaitement efficace et inoffensive. Mais, que voulez-vous, en même temps il faut bien continer à vendre des produits polluants et dangereux... Alors il reste une chose à faire : réaliser soi-même son purin d'ortie ou pour le moins bien se renseigner !


Téléchargez l'arrêté du 18 avril (en pdf) pour connaître les conditions.

 

Lire le dossier sur l'ortie :

L’Ortie, un trésor de bienfaits pour la Santé

L'Ortie et la santé

L'Ortie richesse de l'alimentation naturelle

Toutes les recettes et astuces pour cuisiner l'Ortie

l’Ortie et la Femme enceinte, prudence

L'Ortie l'Amie de vos cheveux

L'Ortie Reine de nos jardins bio

 

 

 

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 13:45

agriculture bio et sécheresse, moins d'impact sécheresse pour la bio, les agriculteurs bio expliquent pourquoi en cultivant bio la sécheresse aura moins d'impact sur leurs activités.

A.HomeNaturo OverblogVoilà un article bien trop intéressant et bien trop complet pour que je ne le reproduise pas intégralement ici. La preuve qu'en matière de santé et de soins que ce soit pour la Terre ou l'Humain, le bon sens doit redevenir le maître mot, la prévention la première mesure à appliquer et le respect de l'équilibre naturel la première des règles à suivre.


HOMENATURO-ALIMENTATION BIOSécheresse :


et si la bio avait des réponses ?


Les producteurs d'Atanka témoignent: face à la sécheresse, l'agrobiologie propose des solutions simples et de bon sens... pour qui veut les écouter.

Un sol vivant retient plus d'eau

Issu de la décomposition des matières organiques, l'humus peut stocker d'importants volumes d'eau... qu'il restitue ensuite aux racines. De même, certains micro-champignons se développent en symbiose avec les racines et améliorent leur capacité de captation, de stockage et de restitution de l'eau.

 

Les Fonts

Résultat : "Si je gratte un peu, mon sol reste humide et frais !" constate ces jours-ci Didier Lamirand de l'oliveraie des Fonts.

En agriculture conventionnelle, toute cette microbiologie est tuée par le labour et les pesticides. Le sol devient un simple support minéral incapable de stocker puis de restituer l'eau.

Alors que la France est le 3ème consommateur mondial de pesticides et le premier consommateur européen, il n'y a aucune chaire officielle de microbiologie des sols en France depuis la disparition du secteur microbiologie des sols de l'Institut Pasteur...  

cherchez l'erreur !

Un sol couvert limite l'évaporation

Fraisiers sur BRF - Bois Raméal Fragmenté Bien connues des paysans les plus en pointe dans l'agriculture biologique ou naturelle, des techniques telles que le Bois Raméal Fragmenté (BRF – sol couvert de plusieurs centimètres de rameaux broyés) ou le semis sous couvert (on sème les graines directement sur les restes de la culture précédente ou sur un tapis de plantes telles que du trèfle) permettent de ne jamais laisser la terre à nu. Ce qui favorise la microbiologie du sol (encore !) et limite l'évaporation.

Ces techniques sont notamment mises en oeuvre par Philippe Amalric (Les Estrets), Julien Taton (la Ferme du Quart Pichet), Robert Salicis...

Dans nos campagnes, on voit souvent des hectares de terre à nu soigneusement labourée, hersée et grattée... ce qui nécessite en plus des heures de travail au tracteur en consommant d'énormes quantités de gasoil...  

cherchez l'erreur !

Les engrais "déconnectent" les plantes du climat
et les empêchent de s'adapter

Comme nous l'explique Julien Taton, "mes plantes n'ont pas besoin de Météo France pour savoir le temps qu'il va faire. Cela fait longtemps qu'elles se sont adaptées au climat de cette année. Elles font moins d'épis mais pourront les amener à maturation. Par contre, si on pousse artificiellement les plantes avec des quantités d'engrais, on les oblige à faire autant d'épis que les années précédentes, mais il n'y aura pas assez d'eau : résultat, tout meurt." ...

cherchez l'erreur !

 

Adaptées et diversifiées, les variétés locales résistent mieux

80% des légumes cultivés il y a 50 ans ont disparu. Une douzaine de variétés de pommes sont cultivées en France aujourd'hui, il y en avait 1000 il y a un siècle. On trouve seulement quatre ou cinq variétés de tomates sur le marché, alors qu'il en existe plusieurs centaines... que s'est-il passé ? L'industrialisation de l'agriculture, les semenciers, les OGM et les réglementations qui les favorisent sont passés par là.

Tomates à la Ferme des Bouquets

Pourtant, seules les variétés locales sont bien adaptées à chaque climat et permettent d'éviter le recours aux engrais ou à l'arrosage artificiels. De plus, l'utilisation de plusieurs variétés sur une même parcelle est l'une des techniques de l'agriculture naturelle mise au point par Masanobu Fukuoka : si une variété souffre plus que les autres, que ce soit de maladies ou du manque d'eau, celles qui résistent mieux se développent plus et prennent sa place.

 

Ces techniques élémentaires sont utilisées par des maraîchers tels que Mélissa Mizrahi (la Ferme des Bouquets), Valérie Tubau (la Ferme de Valérie) ou encore Robert Salicis.

 

L'arrosage systématique est une aberration

Vigne sans arrosage Si une culture nécessite un arrosage systématique, c'est que cette plante n'est pas adaptée au climat (le maïs par exemple, qui est une plante tropicale des zones humides d'Amérique Centrale) ou que la variété choisie ou les techniques culturales ne sont pas les bonnes.

Ainsi, des domaines viticoles tels que le Pech d'André montrent qu'il est possible de cultiver la vigne et de faire un vin excellent sous le climat de l'Hérault, sans avoir recours à l'arrosage.

Pourquoi dans ce cas l'installation d'arrosage par goutte-à-goutte dans les vignes est-elle favorisée et même subventionnée dans cette région ?! Et l'on commence à entendre parler d'un impôt sécheresse...  

cherchez l'erreur !

Les arbres favorisent le cycle de l'eau

Agroforesterie au Domaine de Mazy On sait maintenant que les arbres régénèrent les sols et favorisent le cycle de l'eau. Mêlant arbres et cultures au sol sur les mêmes parcelles, la technique de l'agroforesterie est désormais largement utilisée en Afrique pour refertiliser des régions entières... avec succès !

En France, certains paysans tels que François de Soos (Domaine de Mazy) font partie des pionniers qui expérimentent cette technique, mais depuis des dizaines d'années on favorise surtout le déboisement et l'abattage des haies pour faciliter la mécanisation à outrance de l'agriculture...  

cherchez l'erreur !

 

Le cas particulier de l'élevage

Ferme de Kervy dans le marais de la Brière Les marges de manoeuvre et d'adaptation sont beaucoup plus faibles pour l'élevage. En diminuant le nombre d'exploitations il serait plus facile de leur venir en aide en cas de sécheresse.

Plutôt que de favoriser une alimentation hyper-carnée à l'américaine, on ferait mieux de privilégier les protéines végétales (beaucoup plus efficaces en terme de rendement écologique) et de limiter l'implantation des élevages aux terres agricoles difficilement valorisables autrement, comme c'est le cas pour certaines zones marécageuses (le marais de la Bruyère pour la Ferme de Kervy) ou les prairies de moyenne montagne (dans le massif central pour la Ferme des Mille Fleurs).

 

Pour conclure...

Au final, les agriculteurs conventionnels parlent de catastrophe et de fatalité, alors que ce sont leurs pratiques qui constituent une véritable catastrophe, y compris pour l'agriculture biologique et naturelle qui subit les conséquences indirectes de ces aberrations.

Une agriculture plus intelligente, plus localisée et diversifiée, respectueuse des sols et des cycles naturels permet de mieux faire face aux aléas climatiques.

Alors qu'on nous parle d'impôt sécheresse, il faudrait plutôt soutenir cette agriculture biologique et naturelle, qui doit se débrouiller sans soutien public pour explorer de nouvelles pistes et innover.

 


HomeNaturo ne fait pas de pub mais quand c'est pour la bonne cause, disons que c'est de l'information !

 

Produits Atanka Soutenez ces paysans !

Avec la Coopérative Atanka, soutenez les paysans qui inventent l'agriculture naturelle de demain : choisissez leurs produits et soutenez nos actions militantes telles que notre nouvelle pétition contre le retour du maïs OGM en France.

 

A vos agendas... 

Les 17, 18 et 19 juin auront lieu à Paris les Etats Généraux de l'Economie Sociale et Solidaire. Atanka a été choisi pour participer au Marché Solidaire des Etats Généraux qui se tiendra à cette occasion, les samedi 18 et dimanche 19 juin au Palais Brogniart !

Venez nous retrouver, discuter avec nous, déguster et découvrir les produits de ces paysans-chercheurs !

 

Autre rendez-vous, le samedi 25 juin après-midi au CICP, 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème, arrivage festif de la nouvelle récolte de café en provenance des Coopératives Zapatistes des Paysans Insurgés du Chiapas (Mexique) : animations, débats, informations...

Atanka sera là avec un stand et une sélection de nos produits.

Atanka est une SCOP !

 

 

Source : http://www.atanka.com/actus/1111.htm

 

Atanki est une SCOP : société coopérative de type SARL ou SA, dont les associés majoritaires sont les salariés

 

 

Sur le même sujet lire :

Jardiner et économiser l'eau...

Le Chef Raoni pleure le barrage de l'Amazonie

5 juin journée mondiale de l'environnement 2011

Les OGM, l'avis du Naturopathe

Gaz de Schiste, le Tribunal autorise la reprise de l'exploration

Journée de la Biodiversité...est-ce suffisant ?

Sécheresse en France et nucléaire : un rapport inquiétant

Pastèques explosives en Chine : vive les phytosanitaires !

 L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio, rapport de l'ONU

et quelques autres...

 

 

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 14:17

 

 

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOPas une goutte depuis mars, ou presque.

La France connait depuis plusieurs mois une vague de sécheresse et redoute une canicule pour l'été.

Voici quelques mesures à adopter pour jardiner de manière responsable...

Particuliers, entreprises, collectivités, agriculteurs… Nous sommes tous concernés par les restrictions d’eau. Il est ainsi interdit de nettoyer sa voiture, d’arroser les pelouses publiques ou de remplir les piscines. Une irrigation limitée est demandée aux golfs et aux agriculteurs.

Dans votre jardin, comment faire pour économiser l’eau ?

Rappelez-vous que c’est une ressource précieuse et qu’il ne faut pas la gaspiller. Arrosez moins souvent mais plus longtemps, plutôt à l’aube ou au coucher du soleil pour éviter que l’eau ne s’évapore, et jamais avec un jet en brouillard. Pour que l’eau soit captée plus facilement par les racines, répandez-la à la base des végétaux avec un filet d’eau faible. Autre tactique pour ne pas gaspiller : plantez un goulot de bouteille plastique coupée à 20 centimètres du pied de la plante et versez-y votre eau. Idéal pour les plants de tomates.

Si vous cherchez à jardiner écolo sur le long-terme, installez des barriques, des récipients ou des cuves pour récupérer l’eau de pluie, une eau dépourvue de chlore et de calcaire mais il n'est que de regarder dans les jardins pour s'apercevoir que les jardiners y ont souvent déjà pensé.


Le paillage

Pour éviter le gel en hiver et l’évaporation de l’eau en été, pensez au paillage. Constitué de fumier décomposé, d’écorces, de feuilles mortes et de branchage découpé, le paillage s’étale en surface pour recouvrir la terre. Disposez-le sur une terre humidifiée comme au pied des arbres ou des plantes. Son plus : il empêche les mauvaises herbes de pousser et favorise la prolifération d’insectes « sains » qui éloignent ceux nocifs pour les végétaux.

Astuce économique : vous pouvez aussi  étaler la tonte du gazon aux pieds de vos tomates ou de vos rosiers. Ça conserve l'humidité et par sa transformation progressive en compost, ça enrichit la terre.


L'arrosage

Côté arrosage, sachez que les arbustes utilisent en moyenne 40 L/m2 une fois par semaine, les arbres sensibles (de 3 à 5 m de haut) 70 L/m2 tous les 15-20 jours et les plantes annuelles et vivaces vous demanderont 10 litres d’eau par mètre carré tous les 2 à 4 jours. Vos plantes en bac auront besoin, elles, d’une hydratation permanente.


Les plantes médicinales et aromatiques

Les plantes aromatiques (romarin, thym, lavande, laurier…) n’ont pas besoin de beaucoup d’eau. Arrosez-les tous les 2-3 jours ou toutes les semaines. N’hésitez pas à les laisser un peu sécher. Pensez à laisser l'ortie pousser à proximité de vos plantes médicinales, elles n'en seront que plus résistances et demanderont moins d'eau.


Les plantes les moins gourmandes

Enfin, si vous souhaitez planter, pensez aux plantes peu gourmandes en eau, qui se contentent d’un arrosage occasionnel voire de périodes de sécheresse. Tulipes, narcisses, rosiers rugueux, buddleias (arbre aux papillons), cosmos, coquelicots, œillets d’Inde… Le choix est large ! Ces végétaux ont souvent un feuillage laineux, cotonneux et duveteux, ce qui diminue l’évaporation de l’eau par les feuilles.


Balade parisienne

Pour les parisiens en mal d’idées, le jardin sec des Jardins Passagers de la Villette met à l’honneur des plantes étonnantes adaptées aux milieux arides comme le ciste, le séneçon, la rose trémière ou la sauge.


Gardons le sourire...

Pour rappel, la sécheresse n’a pas que des inconvénients : elle limite la pousse des mauvaises herbes et entraine donc une tonte de la pelouse moindre.

 

Vous souhaitez partager vos trucs de jardinier,  c'est ici !

 

 

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2 juin 2011 4 02 /06 /juin /2011 18:20

 

titleUne journée bien remplie...

 

LInde est le pays hôte officiel cette année de la journée mondiale de l'environnement 2011

L’Inde le deuxième pays le plus peuplé au monde, avec près de 1,2 milliard d’individus est en passe de rattraper la démographie de la Chine.

C’est aussi le 7e plus grand pays au monde, avec une surface de 3,28 millions de kilomètres carrés.

Le pays est confronté à des défis environnementaux majeurs liés à l’augmentation de la population, à une urbanisation incontrôlée et à l’industrialisation et l’intensification massive de l’agriculture.

L’Inde un pays dont les forêts représentent plus de 20% de la surface terrestre.

L’Inde connaît de graves problèmes de déforestation, de pollution, d’assèchement des réserves d’eau …

D’autant que l’économie continue de croître.

Selon Mr. Jairam Ramesh, le Ministre indien de l’Environnement « Aucun pays au monde n’est aussi vulnérable au changement climatique que l’Inde. Il est donc impératif pour nous de disposer de données probantes et pertinentes sur l’impact du changement climatique. Nous devons continuer de nous concentrer sur l’amélioration et sur la rigourosité de la science des changements climatiques. »

 

La Journée mondiale de l’environnement de cette année permettra de sensibiliser le public aux tristes conséquences de la dégradation des forêts …

 

Avec la croissance rapide des villes, l'agriculture urbaine et périurbaine joue un rôle de plus en plus important dans l'alimentation des citadins, souligne l'organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, à l'occasion de la Journée mondiale de l'environnement, célébrée le 5 juin.

" L'agriculture urbaine et périurbaine fournit déjà de la nourriture à environ 700 millions de citadins, soit le quart de la population urbaine mondiale. D'ici à 2030, la quasi totalité de la croissance de la population sera concentrée dans les zones urbaines des pays en développement. D'ici là, près de 60 % des habitants des pays en développement vivront dans les villes ", indique un communiqué de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.


" Le taux de pauvreté dans la plupart des villes est en augmentation, et un nombre croissant de citadins éprouve des difficultés pour accéder à la nourriture dont ils ont besoin. Dans de nombreux pays en développement, les pauvres des villes dépensent 60 % ou plus de leurs revenus pour l'alimentation ".


A.HomeNaturo OverblogLes enjeux de la journée de l’environnement 2011 sont donc colossaux, ajoutons à cela la pire sécheresse qu’aient connu l’Europe et la Chine, les autorisations assouplies pour les programmes de déforestation de l’Amazonie et l'autorisation de la construction du  barrage de Belo Monte, les catastrophes climatiques et nucléaires de cette année et les catastrophes environnementales en préparation ou qui se déroulent, en ce moment même, comme les forages de gaz de schiste ou l’élargissement du trou de la couche d’ozone. Quant à la réflexion en matière d'alimentation mondiale elle devrait être non pas comment produire plus mais comment produire mieux, les récents problèmes phytosanitaires ou tragédies sanitaires liées à la consommation seront peut-être un axe de réflexion.  

Décidemment, cette journée de l’environnement va paraître bien courte.


imagesMais n'oublions pas que l'Inde c’est aussi la plus importante catastrophe chimique de l’ère industrielle survenue dans la nuit du 3 décembre 1984 à Bhopal. 

Cette nuit là un nuage toxique d'un des gaz les plus dangereux de la chimie industrielle s'échappait d'une usine. Le chiffre des victimes de Bhopal ne peut toujours pas être connu puisqu’aujourd’hui encore, 27 ans plus tard, des enfants naissent atteind de malformations, des malades meurent des suites de leur intoxication au gaz et l’eau de la région est toujours contaminée.

L’Inde c’est le procès des huit anciens dirigeants locaux de l'usine condamnés, il y a un an, à deux ans de prison et à 100 000 roupies d'amende (1 756 euros) pour avoir causé la mort directe de 25 000 personnes.

L’Inde c’est encore Gandhi et la marche du sel qui a fait ployer le plus grand empire de l’époque : l’Empire Britannique et ses colonies.

L’Inde semble donc le symbole le mieux choisi pour la journée mondiale de l’environnement 2011.

Puisse l’Inde dans sa sagesse millénaire faire entendre la voix de la terre.

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 11:28

agricluture bio, bio et fêtes, sarthe, orne

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOLe Bio

 

se Fête en Sarthe   

 

le bio en sarthe

 

Une balade

 

à travers les fêtes bio du département


 « Le Bio se fête en Sarthe »

réuni 6 fêtes bio sous une même entité et avec un objectif commun :  

Faire connaitre l’agriculture biologique

et les pratiques respectueuses de l’environnement qui l’accompagne  


Fête Bio de St Léonard des Bois (fin mai) 
Fête Bio de Neuvilette-en-Charnie (2 ème dimanche de juin) 
Fête "Du Blé au Pain" de Vaas (1er samedi d'août) 
Fête Bio de Malicorne (dernier dimanche d'août)
Marché nocturne de Rouillon (2ème vendredi de septembre)

 

 

Pour tous renseignements

 

LOGO SARTHE

rendez-vous sur le site des agriculteurs Bio de Sarthe

 

 


 

A.HomeNaturo OverblogHomeNaturo vous souhaite de belles découvertes sarthoises !

 

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 10:39

Ortie, les amis de l'ortie, Biodiversité, purin d'ortie, bienfaits de l'ortie, l'ortie dans les jardins bio,

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOL' Ortie Reine des jardins


Et si la pire des mauvaises herbes

était la Reine des jardins Bio ?

 


L' Ortie piquante, invasive, hôte indésirable d'un jardin bien entretenu, l'Ortie mérite-t-elle réellement sa mauvaise réputation ?

Et bien non justement, l'Ortie pourrait bien en fait être la Reine des jardins Bio.

Et, comme toute Reine l'Ortie, a même eut sa guerre et, comme toute Reine l'Ortie, a même ses champions qui se battent pour elle !


ORTIE" La Guerre de l'Ortie " a commencé en 2002 puis s'est poursuivie en 2006 par une croisade, menée tambours battants par Bernard Bertrand, après que les pouvoirs publics aient voulu une loi interdisant de faire la promotion des recettes d'engrais naturels non homologués. Et voilà Bernard Bertrand promu chevalier servant de sa Majesté l'Ortie lorsqu'il signe " Purin d'Ortie et cie " le best seller des jardiniers Bio !

" La Guerre de l'Ortie " peut commencer, chacun fourbi ses armes, le législateur aiguise ses lois et le jardinier-écrivain astique le bouclier du bon sens. Les deux camps se sont ainsi retrouvées face à face sur le champs...de batailles. D'un côté ceux qui votent les lois et de l'autre ceux qui les subissent.

Car il semble bien que sa Majesté l'Ortie fasse peur à la République et le purin d'Ortie aux multinationales, pensez donc un " produit " naturel, sans danger, efficace et...gratuit, voilà donc le crime de l'Ortie, un crime de lèse-économie : le pire !

Aujourd'hui en 2011 la recette du Purin d'Ortie est enfin homologuée par les pouvoirs publics, l'armistice est donc signée ?

Et bien non, justement le Purin d'Ortie n'a toujours pas droit de cité, puisque seule la recette homologuée peut être divulguée, et elle est en fait une " piquette d'Ortie " inéfficace et sans intérêt, qui n'a plus rien à voir avec l'engrais miraculeux qu'est le véritable " Purin d'Ortie ".

Alors si vous aimez l'Histoire, les Reines trahies, les chevaliers, les envieux, les combattants courageux, les amis de l'Ortie relatent d'une façon très détaillée cette épopée.

Et puisqu'il faut un grand bal à une Reine pour l'honorer dignement, les amis de l'Ortie organisent régulièrement les " Orties' Folies " et après les Jardins du Roy à Versailles, cette année Son Altesse sera reçue au Château de la Bussière dans le Loiret.

 

ortie feuille

Quoiqu'il en soit, et comme la " Guerre de l'Ortie " n'en est qu'à une trève, sachez tout-de-même qu'un massif d'Ortie aide à la croissance des espèces fragiles, et notamment des espèces médicinales plantées tout à côté et renforcera la teneur de vos autres herbes aromatiques ou médicinales en principes actifs.

Laisser macérer des feuilles d'Ortie fraîches dans de l'eau pure et l'utiliser pour l'arrosage des plantes d'intérieur ou du jardin va fortifier celles-ci.

Vaporiser cette eau sur des plantes envahies de pucerons les en chassera.

Ainsi conserver des massifs d'Ortie dans son jardin c'est protéger les plantes voisines

mais c'est aussi :

 

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Enfin, je ne résiste pas au plaisir de laisser l'Ortie entre les mains, qu'elle ne piquera pas c'est certain, du plus grand homme qui soit : Victor Hugo !

" On croyait deviner qu'il avait dû vivre jadis de la vie des champs, car il avait toutes sortes de secrets utiles qu'il enseignait aux paysans.( …) 

Un jour il voyait des gens du pays très occupés à arracher des orties. Il regarda ce tas de plantes déracinées, et déjà desséchées, et dit :
 

- C'est mort. Cela serait pourtant bon si l'on savait s'en servir. Quand l'ortie est jeune, la feuille est un légume excellent et qui fortifie toute la famille; quand elle vieillit, elle a des filaments et des fibres comme le chanvre et le lin. La toile d'ortie vaut la toile de chanvre. Hachée l'ortie est bonne pour la volaille; broyée, elle est bonne pour les bêtes à cornes. La graine de l'ortie mêlée au fourrage donne du luisant au poil des animaux; la racine mêlée au sel produit une belle couleur jaune. C'est du reste un excellent foin qu'on peut faucher deux fois l'an.
 

Et que faut-il à l'ortie? Peu de terre, nul soin, nulle culture. Seulement comme la graine tombe à mesure qu'elle mûrit, elle est difficile à récolter. Voilà tout.
 

Avec quelque peine qu'on prendrait, l'ortie serait utile; on la néglige, elle devient nuisible.

Alors on la tue.

Que d'hommes ressemblent à l'ortie !
 

Il ajouta, après un silence :
 

Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs. "

 

Victor Hugo - Les Misérables

 

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