Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Home Naturo-Naturopathe à Domicile
  • : PRENEZ VOTRE SANTE EN MAINS, NATURELLEMENT.Des conseils pour vous garder en bonne santé par la Naturopathie, la Géobiologie et la Bioénergie. Home Naturo, votre Naturopathe à Domicile.
  • Contact

Profil

  • Michel-HomeNaturopathe
  • Découvrez mes conseils de Naturopathe diplômé de l'École de Robert Masson et restez en bonne santé grâce aux techniques naturelles de santé comme l'aromathérapie parce que votre santé vous appartient. Consultations à domicile.
  • Découvrez mes conseils de Naturopathe diplômé de l'École de Robert Masson et restez en bonne santé grâce aux techniques naturelles de santé comme l'aromathérapie parce que votre santé vous appartient. Consultations à domicile.

A propos de la pub !

Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

Recherche

HomeNaturo, Votre Naturopathe

A.HomeNaturo OverblogNaturopathe diplomé du CENA. 

Consulations à votre domicile en Région Parisienne : Hauts de Seine, Val de Marne, Val d'Oise, Yvelines, Sarthe et Orne.

Réglage et plan alimentaire personnalisé - Gestion du Stress - Accompagnement des sportifs -

Accompagnement dans les magasins bio -

Ateliers & Conférences -

 

 

Archives

1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 19:09

HOMENATURO-ALIMENTATION BIO

 

A diffuser largement
pour sauvegarder notre sympathique et si utile Lombric (ver de terre)
Voici le message du Professeur Jean-Lou JUSTINE :
Jean-Lou Justine, Professor, MNHN, Paris
Pr. Jean-Lou JUSTINE

UMR 7138 Systématique, Adaptation, Évolution

Muséum National d’Histoire Naturelle

CP 51

55, rue Buffon

75231 Paris cedex 05

France

 

 

e-mail: justine@mnhn.fr

ALERTE APPEL A TÉMOINS !!! 
Un plathelminthe (ver plat) terrestre, prédateur de lombrics (ver de terre), vient d'être détecté cet hiver dans trois localités françaises (Finistère, Alpes-Maritimes, Corse).

Ce genre de ver n'existe pas naturellement en Europe. Dans les quelques pays où des espèces proches ont été récemment détectées, comme en Angleterre, on observe une quasi disparition de sa proie (les lombrics), causant des pertes agronomiques et des déséquilibres majeurs sur les milieux naturels.

Son origine serait l'hémisphère sud, le plus probablement la Nouvelle-Zélande. Dans son aire de répartition naturelle, les lombrics ont développé des stratégies d'évitement qui leur permettent de se maintenir malgré ce prédateur.

Mais en Europe, les lombrics ne sont pas préparés à cette menace. Or les lombrics sont des «espèces ingénieurs» : ils creusent des galeries qui aèrent le sol et permettent la circulation de l'eau, elles ré-assimilent la matière organique du sol, la rendant disponible et exploitable par les végétaux.

L'impact de leur disparition, autant pour les systèmes agricoles que naturels, serait un désastre.

Les lombrics sont par ailleurs considérés dans beaucoup d'écosystèmes comme la biomasse animale la plus importante. Ils sont donc une ressource déterminante dans les chaines alimentaires, permettant à de nombreux prédateurs naturels d'exister (insectes, oiseaux, mammifères, amphibien .
Leur disparition pourrait provoquer la disparition de ces autres espèces.

Le ver plat invasif est assez facile à reconnaître. Il est un peu aplati, noir avec deux vagues bandes dorées. Il arrive qu'on le rencontre en amas emmêlé. C'est un organisme d'apparence anodine, mais d'un impact majeur pour l'environnement. Il n'est pas venimeux, mais peut être toxique si on l'ingère (et ne peut donc se substituer au lombric dans la chaîne alimentaire).



Nous lançons donc un appel à témoins afin de réaliser une cartographie de son implantation.

Si vous avez observé un tel animal, contactez le Professeur Jean-Lou JUSTINE :

Téléphone : 01 71 21 46 47

Adresse courriel : jean-lou.justine@mnhn.fr

Photo : ALERTE APPEL A TÉMOINS !!! ptg Un plathelminthe (ver plat) terrestre, prédateur de lombrics (ver de terre), vient d'être détecté cet hiver dans trois localités françaises (Finistère, Alpes-Maritimes, Corse). Ce genre de ver n'existe pas naturellement en Europe. Dans les quelques pays où des espèces proches ont été récemment détectées, comme en Angleterre, on observe une quasi disparition de sa proie (les lombrics), causant des pertes agronomiques et des déséquilibres majeurs sur les milieux naturels. Son origine serait l'hémisphère sud, le plus probablement la Nouvelle-Zélande. Dans son aire de répartition naturelle, les lombrics ont développé des stratégies d'évitement qui leur permettent de se maintenir malgré ce prédateur. Mais en Europe, les lombrics ne sont pas préparés à cette menace. Or les lombrics sont des «espèces ingénieurs» : ils creusent des galeries qui aèrent le sol et permettent la circulation de l'eau, elles ré-assimilent la matière organique du sol, la rendant disponible et exploitable par les végétaux. L'impact de leur disparition, autant pour les systèmes agricoles que naturels, serait un désastre. Les lombrics sont par ailleurs considérés dans beaucoup d'écosystèmes comme la biomasse animale la plus importante. Ils sont donc une ressource déterminante dans les chaines alimentaires, permettant à de nombreux prédateurs naturels d'exister (insectes, oiseaux, mammifères, amphibien . Leur disparition pourrait provoquer la disparition de ces autres espèces. Le ver plat invasif est assez facile à reconnaître. Il est un peu aplati, noir avec deux vagues bandes dorées. Il arrive qu'on le rencontre en amas emmêlé. C'est un organisme d'apparence anodine, mais d'un impact majeur pour l'environnement. Il n'est pas venimeux, mais peut être toxique si on l'ingère (et ne peut donc se substituer au lombric dans la chaîne alimentaire). Nous lançons donc un appel à témoins afin de réaliser une cartographie de son implantation. Si vous avez observé un tel animal, contactez le Professeur Jean-Lou JUSTINE : Téléphone : 01 71 21 46 47 Adresse courriel : jean-lou.justine@mnhn.fr
     

 

Voici à quoi ressemble notre ami le Lombric, pour éviter les confusions !

  

  

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo  

34x34-facebook----     homenaturo

Partager cet article
Repost0
21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 15:58

 

 

 

250px-Hazardous-pesticideL’association Générations futures a mené une enquête dont les résultats révèlent la présence de produits toxiques dans les cheveux de salariés viticoles mais aussi d'habitants vivant aux alentours des vignes.


Enquête sur l'un des fleuron de la culture gastronomique française, la vigne et le vin :

L’enquête

L’Association a analysé les mèches de cheveux de 25 témoins volontaires dans le Médoc (Gironde) entre octobre et novembre 2012.

Ainsi, 15 salariés viticoles, dont 6 assurant n’avoir jamais été directement exposés aux pesticides, et 10 salariés non-viticoles, dont 5 personnes habitant à moins de 250 mètres de vignes ont été sélectionnés.

Les scientifiques ont cherché la trace de 35 molécules actives parmi la cinquantaine de produits utilisés dans les pesticides.

Des résultats alarmants

Les mèches de cheveux ont permis aux scientifiques d’identifier l’exposition moyenne aux pesticides au cours du trimestre précédent la date de prélèvement.

Sur les 35 molécules recherchées, 22 ont été repérées au moins une fois dans chaque échantillon.

Notons que 45 % des molécules détectées sont classées potentiellement cancérigènes en Europe ou aux États-Unis, et 36 % seraient des perturbateurs endocriniens.

Cette enquête montre bien que l’exposition des travailleurs agricoles aux pesticides dangereux est très importante et qu’il n’est pas nécessaire d'être en contact direct avec des pesticides pour en subir les conséquences.

 

Des résultats préoccupants. Les résultats ont permis de mettre en évidence ce que l’on pouvait craindre:

  • 11 fois plus de résidus de pesticides en moyenne chez les salariés viticoles que chez les non professionnels habitant loin de vignes (6,6 pesticides en moyenne contre 0.6) !
  • 4 des 15 salariés viticoles présentent 10 pesticides différents !
  • 5 fois plus de résidus de pesticides en moyenne chez les non-professionnels de la vigne habitants près des vignes que ceux habitant loin des vignes (3 résidus de pesticides en moyenne trouvés chez les premiers contre 0,6 pour les seconds).
  • 74 % des pesticides actuellement autorisés sur vigne de la liste, établie pour l’enquête, et recherchés ont été retrouvés au moins une fois chez les personnes testées !
  • Un produit interdit, le diuron, a été retrouvé chez un professionnel.
  • Plus de 45% des  molécules retrouvées sont classées cancérigènes possibles en Europe ou aux USA !
  • Plus de 36% des molécules retrouvées sont suspectées d’être des perturbateurs endocriniens (PE).


La France est le premier consommateur de pesticides.

 « A l’heure où va s’ouvrir le Salon International de l’Agriculture, ces résultats montrent clairement que l’exposition des travailleurs agricoles à des pesticides dangereux est importante, même si ceux-ci non pas manipulé les produits. Ce rapport montre également que le simple fait de vivre à proximité de zones cultivées, moins de 250 mètres, ce qui est sans doute le lot de millions de familles françaises, augmente votre exposition. » déclare F. Veillerette, porte-parole de Générations Futures.

 

« Il est indispensable de reconnaître le scandale sanitaire des pesticides en France, on ne peut plus être  à la fois malade et être ignoré en tant que victime, c’est une double peine inacceptable ! Il faut interdire les pesticides sur lesquels planent les soupçons de cancérogénicité et sans délai d’écoulement des stocks !» ajoute ML Bibeyran.

« Nos concitoyens auront l’occasion de demander,  à nos côtés, la mise en place rapide de toutes ces mesures lors de la prochaine édition de la Semaine pour les alternatives aux pesticides (3) qui aura lieu du 20 au 30 mars prochains dans toute la France, en Afrique ou encore  dans d’autres  pays européens de plus en plus nombreux. » conclut N. Lauverjat, chargée de mission à Générations Futures.

 

On comprend la réaction de l'Union des Industries de la protection des plantes qui juge cette étude « malhonnête », sans doute de peur qu’elle n’effraie les Français.

A votre santé !

 

Lire le rapport complet b ok mod ident

 

Source : Générations-futures.

 

 

Lire aussi :

 

au sujet de l'alimentation :

Alimentation : Alerte santé publique

Les maladies dégénératives passent à table !


au sujet des OGM :

Les OGM, l'avis du Naturopathe

Les OGM ce qu'en dit la firme Nestlé, What Else ?

OGM : Le Professeur Séralini accuse l'UE de faute grave.

OGM : le premier procès en France

Les semences et la biodiversité en danger !

Les OGM reconnus dangereux...

La toxicité des OGM démontrée !

Les OGM laissent des résidus dans le sang des femmes

Nouvelle action contre monsanto et le maïs OGM

Le maïs Monsanto interdit en France

Loi sur les semences : le germe de la colère

Abeilles : chronique d'une mort annoncée

 

au sujet de l'industrie Agro-Alimentaire :

Les méfaits de l'industrie Agro-Alimentaire

Les maladies dégénératives

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Monsanto, selon le Monde

Pastèques explosives en Chine : vive les phytosanitaires !

Dans la presse : de la bonne santé de l'Agro-Alimentaire

L'élevage accro aux antibiotiques

Elevage et antibiotiques : c'est pas automatique !

Salon de l'Agriculture, les victimes de pesticides sont là

Suicides des paysans, disparitions des fermes pour qui, pourquoi ?

PAC, pour qui, pour quoi ?

Cancer d'un agriculteur, l'état va devoir indemniser...

Pesticides et Parkinson : de la cause à l'effet !

L'évaluation des pesticides : les lacunes réglementaires

L'Obésité en France.

Les boissons énergisantes en question

farines animales : il faudra attendre encore un peu...

farines animales et vache folle : le retour

Alimentations et risques sanitaires en augmentation

 

au sujet de l'agriculture Bio :

La Naturopathie et la BIO

Les labels et logos BIO

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

Redécouvrir le rythme des saisons des aliments avec les AMAP

Agriculture de proximité & AMAP au-delà des modes

Bactérie E.Coli et alimentation Bio l'étude qui en dit long...

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?


Vers des solutions...:

Quels enjeux pour quel monde ?

La révolution verte est en marche

 

et d'autres....

 

 

 

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

34x34-facebook----homenaturo

Partager cet article
Repost0
17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 12:36

presse homenaturo overblog

 

 

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOGambais au secours des crapauds
(LP/Mehdi Gherdane.)

Une magnifique initiative à l'approche du Printemps :

A la sortie de Gambais, un village niché au cœur des Yvelines, des amoureux de la nature ont installé hier un crapaudrome pour sauver la vie des batraciens. Il s’agit, grâce à la pose d’une barrière, d’éviter aux petites bêtes de se faire écraser lorsqu’elles traversent la route. Bloqués, ils finissent par tomber dans des seaux.

A partir d’aujourd’hui et chaque matin pendant deux mois, des bénévoles se relaieront pour les récupérer et les amener de l’autre côté de la route. Huit cent cinquante crapauds sont ainsi sauvés chaque année à Gambais.

Source : Le Parisien

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

34x34-facebook----homenaturo

Partager cet article
Repost0
23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 20:34

 

 

Les affiches sont disponibles !

 

Comme chaque année, Générations Futures met à votre disposition des affiches de l'évènement en version électronique et en version papier.

Téléchargez les affiches dès maintenant !

La version électronique est disponible dès maintenant en téléchargement (voir ci-dessous). Il existe 2 versions :

  • une "version complète" avec un descriptif de l'évènement
  • une version modulable qui vous permet de personnaliser l'affiche avec vos propres évènements.

Affiches papier dans les Biocoop à partir du 11 février

Des "affiches complètes" en papier (format 40X60 cm) seront disponibles également dans tous les magasins Biocoop de France, à partir du 11 février. Cliquez ici pour trouver le magasin Biocoop au plus près de chez vous.

Si vous n'avez pas de magasin à proximité de chez vous, nous pouvons vous envoyer plusieurs exemplaires d'affiches (nos stocks étant limités, nous vous remercions de privilégier les magasins Biocoop). Merci de nous envoyer un courrier, accompagné de timbres Poste. Chaque affiche pèse 27 grammes.

1 affiche > timbre de 0.97€ / 2 ou 3 affiches > timbre de 1.45€ / 4 à 9 affiches > timbre de 2.35 €.

Générations Futures - 25, rue d'Alsace - 75 010 Paris

Demain, sera lancé un nouveau site Internet, plus dynamique, plus clair et enrichi de nouvelles informations. Il sera toujours à la même adresse www.semaine-sans-pesticides.com. Suites au prochain épisode...

A bientôt,

L'équipe d'organisation

contact@semaine-sans-pesticides.fr

Tel: 09 70 40 88 10

  • Affiche officielle nationale

    Affiche de l'édition 2013 en format JPEG

A noter : les fichiers en format JPEG ont souvent des couleurs très vives à l'écran. Mais ces couleurs vives disparaissent à l 'impression.

Affiche nationale semaine pour les alternatives aux pesticides 2013   Affiche nationale semaine pour les alternatives aux pesticides 2013
Telecharger en haute définition JPEG   Telecharger en basse définition JPEG
Affiche nationale semaine pour les alternatives aux pesticides 2013
Telecharger l'affiche en très basse définition (pour le web) JPEG
Dans d'autres formats
Affiche nationale semaine pour les alternatives aux pesticides 2013   Affiche nationale semaine pour les alternatives aux pesticides 2013
Telecharger en format.GIF  

Telecharger en format PDF 300dpi (pour des impression de très bonne qualité)

Affiche modulable

Vous pouvez personnaliser cette affiche et y inscrire les informations sur vos évènements dans l'espace central.

Affiche nationale semaine pour les alternatives aux pesticides 2013
Telecharger l'affiche modulable (JPEG)

 

Et toujours ...

Bannière Web

Pour vos sites internet, blogs...

Télécharger la bannière de la semaine pour les alternatives aux pesticides 2012

Visuels

Visuel 2013 Semaine pour les alternatives aux pesticides Visuel 2013 Semaine pour les alternatives aux pesticides
Basse définition Haute définition

 

Télécharger le logo de la Semaine pour les alternatives aux pesticides

Logo en haute définition

Soutenez la Semaine pour les Alternatives aux Pesticides en faisant un don ou en adhérant à Générations Futures, association coordinatrice de l'évènement.

Vos soutiens sont très précieux pour la réussite de cet évènement, en particulier pour la réalisation d'outils pour mieux vous accompagner (site, affiches...).

 

Générations futures (association coordinatrice)- 25, rue d'Alsace 75010 PARIS- contact@semaine-sans-pesticides.fr

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

homenaturo

34x34-facebook----

Partager cet article
Repost0
15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 11:16


OGM HOMENATURO
Premier procès des plantes pesticides mutées


 

Après avoir dénoncé les essais en plein champ d’OGM issus de la transgenèse, les faucheurs poursuivent leurs actions afin d’alerter sur la généralisation des cultures de variétés résistantes aux herbicides (VTH).

Ces plantes sont obtenues en laboratoire par mutations provoquées chimiquement ou par irradiation des cellules. La directive 2011.18 déclare la mutagenèse comme une technique de modification génétique mais l’exclut de son champ d’application. OGM RATS HOMENATURO Ainsi ces plantes pesticides ne sont pas évaluées. Pourtant leur culture s’étend considérablement.

Plus du tiers des cultures de tournesol est issu des techniques de mutagenèse.

 

OGM FAUCHEURS HOMENATURO

 

Ce procès fera date

Pour se passer des OGM courges-10 nous devons soutenir une agriculture paysanne qui sélectionne ses propres semences, une agriculture qui respecte la terre et les hommes.

 

Soutenez les lanceurs d’Alerte

Le 21 juillet 2010 à Sorigny et St Branchs 119 Faucheurs Volontaires ont couché 2200m2 de tournesol il s’agissait de parcelles d’essais de rendements de variétés autorisées de tournesols modifiés génétiquement par la technique de la mutagenèse.

Nous dénonçons une justice qui criminalise les lanceurs d’alertes. En organisant des jugements individualisés l’Etat qui a pourtant inscrit le principe de précaution dans la constitution ne reconnaît pas le statut de lanceur d’alerte.

A la suite de l’étude contradictoire menée par le CRIGEN, la « communauté scientifique » contre-attaque et reproche à ces scientifiques indépendants l’utilisation de méthodes similaires à celles permettant l’autorisation de mise sur le marché des OGM.

 

Libérons le vivant ! 
Refusons le carcan de la privatisation et de l’administration du vivant : Jardinons, échangeons nos graines, nos légumes et nos connaissances.



 

 

429893 3015180070590 1595221143 2476069 757517209 nEt les abeilles ?!


Les pollinisateurs ont un rôle essentiel dans la contamination des cultures non Ogm.

C’est en butinant le Tournesol et le Colza que les abeilles produisent au moins un tiers du miel que nous consommons. Cette année les apiculteurs espagnols ont du jeter leur production contaminées par des pollens de maïs Ogm MON 810 largement cultivés en Espagne.

Les cultures de plantes mutées Tournesol et Colza doivent être strictement encadrées par une révision de la directive 2001-18.

De tout temps les agriculteurs ont échangé leurs productions pour maintenir des variétés adaptées à leurs terroirs.

 

 

 

 

 

Directive 2001-18 du parlement européen (extraits…)

Les techniques / méthodes de modification génétique produisant des organismes à exclure du champ d’application de la présente directive […] sont :
- La mutagenèse,
- La fusion cellulaire.

 

La mutagenèse c’est quoi ?

Tout le monde a compris la transgenèse qui consiste à modifier l’ADN d’un être vivant en insérant une séquence d’ADN d’un autre organisme même totalement étranger comme c’est le cas du maïs OGM Mon 810 ou du maïs OGM NK 603, tous les deux propriété de la firme Monsanto. La mutagenèse est une technique de modification génétique qui existe depuis une cinquantaine d’années, de nombreuses productions y compris en agriculture biologique sont concernées. Le premier blé bio résistant à la fusariose était un Ogm mutant, il s’agissait alors de résister à des maladies. La particularité des variétés de tournesols couchées en juillet 2010 c’est que ces plantes tolèrent l’application d’un herbicide, elles sont donc des plantes pesticides qui accumulent les traitements et entrent dans la fabrication des huiles alimentaires et de la nourriture animale. Une seule technique, une seule variété : ce n’est pas varié !

 

Où est la biodiversité ?

OGM FAUCHEURS ACTIONS HOMENATUROLa désobéissance civile comme moyen de résistance collective.

Le lundi 26 novembre 2012, un seul faucheur est convoqué au tribunal alors que 119 personnes ont revendiqué l’action !!

Refusons la criminalisation des militants à qui l’Etat impose le fichage A.D.N.

Contact : antiogm37@free.fr
0751319276

 


TOUS COBAYES FILM HOMENATURO

Demandez le programme !

- Samedi 24 novembre, manifestation, place Anatole France, à Tours, à 15H.

- Dimanche 25 à 15h salle du patronage Velpeau : Théâtre Apicole : « Josette »
à 19h aux Cinémas les Studio :
Projection du film de J.P Jaud « Tous Cobayes » débat avec Béatrice Jaud et Marc Dufumier

- Lundi 26 Rassemblement
à partir de 11h devant le Tribunal
Place J.Jaurès à Tours

 

Organisations et structures solidaires de cet événement, premiers signataires :
Amap Bio en Brenne, Attac 37, Asso Robinson, Biocoop Salut-Terre, Europe Ecologie les Verts, Comité de soutien aux 4 de Tours, Sud Solidaires37, Alterénergies, Cinémas Les Studios, FCPE, Les Amis des Abeilles, Sepant, Slow-Food Touraine, Les Amis de Demain le Grand Soir, Vélorution, Asso. Arial, Convergence Bio, Réseau tourangeau AntiOgm, Confédération paysanne de Touraine, Groupement des agriculteurs biologiques et biodynamiques de Touraine, Inpact 37, Comité de soutien aux faucheurs volontaires d’Ogm de Pithiviers, Coop Nature, Asso Atable, Asso Raiponce, Lire au jardin…

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

34x34-facebook----homenaturo

Partager cet article
Repost0
15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 22:22

Ne laissons pas le vivant devenir la propriété de quelques-uns.

Les plantes et leurs semences sont les biens de l'Humanité tout entière !

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOL'été est bel et bien la saison du repos, les lunettes de soleil sont sur tous les nez et la sieste endord la vigilance.

C'est donc cet été que des Grandes Manœuvres Secrètes sont entrées en action pour stopper la prolifération des compléments alimentaires, pour se faire et, en catimini, la Cour de Justice Européenne vient de déclarer par le fait que ceux qui voudront utiliser des semences traditionnelles devront être considérés comme hors la loi au même titre que des trafiquants de drogue !

 

Il est donc urgent  de soutenir l’action de l’association Kokopelli qui se bat pour conserver la diversité des semences ( pour le site cliquez: ICI )

et de voir ou revoir la vidéo la semence dans tous ses états ( pour la voir cliquez : ICI )

logoKOKOPELLI

 

Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi.

Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences.


Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal !


Soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, des paysans et des citoyens entrent en résistance.

Photo : source

Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres.

Des agriculteurs s’inquiètent d’une proposition de loi votée par les sénateurs le 8 juillet dernier, et déjà appliquée par décret aux productions de blé tendre. S’ils veulent conserver une partie de leur récolte pour la ressemer l’année suivante (quoi de plus naturel ?), les producteurs de blé tendre doivent payer une redevance appelée « Contribution volontaire obligatoire » (sic).  

« L’enjeu de cette nouvelle proposition de loi est d’étendre ce mécanisme à tous les paysans, alerte Guy Kastler, du Réseau semences paysannes. Chaque fois qu’on cultivera un hectare, ils prendront un peu d’argent de nos poches pour payer les détenteurs de propriété intellectuelle. »

La loi prévoit de considérer la reproduction de semences à la ferme, sans payer cette dîme moderne à leurs « propriétaires », comme une contrefaçon [1]. La récolte pourra alors être saisie. 

Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Depuis 1949, toute variété de semence mise sur le marché doit obligatoirement être inscrite sur le catalogue géré par l’Office communautaire des variétés végétales (OCVV), dont le siège est à Angers  [2]. Cet office accorde un droit de propriété intellectuelle, d’une durée de 25 à 30 ans, à « l’obtenteur », celui qui a sélectionné cette variété. Les principaux détenteurs de ces « certificats d’obtention végétale » [3] ne sont autres que les grandes multinationales semencières : Bayer, Limagrain, Monsanto, Pioneer, Vilmorin ou Syngenta. Tous réunis au sein de l’Union française des semenciers, qui aurait fortement appuyé le projet de loi.

Rendre les paysans captifs

« Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. En revanche, nous sommes opposés à ce que ces obtenteurs récupèrent des taxes sur le travail de sélection que nous menons dans nos fermes. » Avec d’autres paysans et des consommateurs soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, Jean-Pierre a fait le déplacement à Angers ce 19 novembre pour « débaptiser » l’OCVV, renommé « Office communautaire de la confiscation des semences ». Un geste symbolique qui en dit long sur les menaces pesant sur l’avenir de notre alimentation.

Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pour cet ancien porte-parole de la Coordination nationale pour la défense des semences fermières (CNDSF), l’objectif des firmes semencières est clair : « Elles veulent instaurer un marché captif, que les agriculteurs achètent leurs semences et qu’ils n’en fassent plus chez eux. La loi en préparation consiste non pas à interdire complètement mais à restreindre un maximum le droit des semences à la ferme. » Le texte propose ainsi d’autoriser la semence de ferme pour seulement 21 espèces – en échange du paiement de la Contribution volontaire obligatoire – et d’interdire cette pratique pour toutes les autres espèces.

« Ce n’est pas la recherche qu’ils veulent rémunérer mais les actionnaires »

Pourquoi cette redevance ? Officiellement, pour financer la recherche.

Actuellement, 85 % des sommes récoltées par la Contribution volontaire obligatoire sont reversées directement aux obtenteurs, et 15 % servent à alimenter le Fonds de soutien à l’obtention végétale en blé tendre. « Les objectifs de sécurité et de qualité alimentaire doivent être définis par le public, et non par les seules recherches de profits des entreprises semencières privées », argue la Confédération paysanne. D’après le syndicat, l’application de la proposition de loi entraînerait un prélèvement supplémentaire sur le revenu des agriculteurs français estimé à 35 millions d’euros. « La recherche doit être financée aussi par le public et non par les seuls agriculteurs. Il convient de mettre en place un mécanisme de financement public de la recherche », estime la Confédération paysanne. Le syndicat suspecte l’Union française des semenciers de vouloir d’ailleurs tripler la redevance (environ 3,50 euros par hectare aujourd’hui).

Des carottes illégales et des choux clandestins

Non loin de l’Office communautaire des variétés végétales, sur la place du Pilori, dans une rue piétonne d’Angers, se déroulent les rencontres des semences paysannes et fermières d’Anjou. Ici, des artisans semenciers partagent une même passion, celle de la sélection, de la conservation, de la multiplication et de l’échange des semences. François Delmond est membre de l’association Les Croqueurs de carottes, qui sauvegarde les variétés potagères traditionnelles menacées de disparition. Sur le stand, plusieurs variétés de carottes et de choux rouges sont proposées à la dégustation. Les réactions varient du « surprenante, celle-là » au « celle-ci a un goût de noisette très fort, vous ne trouvez pas ? ». Pour François, ces dégustations sont l’occasion de montrer l’impact des choix variétaux sur la qualité gustative.

« Ce que vous mangez est une variété de carotte illégale car elle a été radiée du catalogue, elle ne respectait pas les critères », explique François à une passante. Entre 1954 (date d’existence du premier catalogue des variétés de plantes potagères) et 2002, 80 % des variétés ont été radiées du catalogue, à cause d’une réglementation de plus en plus contraignante. « Ce que nous voulons, c’est la liberté de faire notre travail en âme et conscience, la liberté du jardinier de semer la variété qu’il veut et la liberté du consommateur d’accéder à des aliments différents. » Une liberté qui contribue à l’augmentation et à la conservation de la biodiversité cultivée, à la réduction de l’utilisation des pesticides ainsi qu’à l’essor de variétés adaptées à leurs terroirs et aux variations climatiques.

Rébellion contre la dîme des multinationales

Une campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs et des jardiniers sur les semences vient d’être lancée par plusieurs organisations. « Les droits des agriculteurs de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences, les protéger de la biopiraterie et des contaminations par les OGM brevetés, et de participer aux décisions nationales concernant la biodiversité cultivée sont reconnus par le Traité international sur les semences approuvé en 2005 par le Parlement français », rappelle Anne-Charlotte Moÿ, en charge des questions juridiques au Réseau semences paysannes. Or, une succession de règlements européens et de lois nationales conduisent progressivement à leur interdiction totale.


Quoi faire ? 

La proposition de loi relative aux certificats d’obtention végétale doit être débattue le 28 novembre à l’Assemblée nationale.

Il est toujours possible de participer à la cyberaction, qui a déjà recueilli plus de 14 000 signatures, et un rassemblement est prévu devant l’Assemblée. « Il nous faut rester mobilisés, avertit Guy Kastler, afin de ne pas abandonner l’alimentation à quelques firmes multinationales. » Il y a trois siècles, les paysans versaient la dîme ou étaient contraints à des corvées au profit du seigneur local, propriétaire des terres… Aujourd’hui, cette domination s’est déplacée vers les semences.

Sophie Chapelle

Notes

[1] Lire à ce sujet Comment les semenciers tentent d’asservir l’agriculture paysanne.

[2] Pour être inscrites, les variétés doivent répondre à trois critères : la distinction (la variété doit être nettement distincte de toute autre variété notoirement connue) ; l’homogénéité (la variété est suffisamment uniforme dans ses caractères pertinents) ; la stabilité (la variété reste conforme à la définition de ses caractères essentiels après avoir été reproduite ou multipliée).

[3] En Europe, on utilise le terme de « certificat d’obtention végétale », qui protège une variété. Son équivalent outre-Atlantique est le brevet, qui protège l’information génétique contenue dans une même variété. Du coup, il arrive qu’une plante fasse l’objet d’un double droit de propriété intellectuelle…

Source: Bastamag.net

 

A.HomeNaturo OverblogLa désobéissance civique doit maintenant devenir une nécessité dès lors qu'elle représente le refus de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent.
Selon John Rawls : " La désobéissance civile peut être définie comme un acte public, non violent, décidé en conscience, mais politique, contraire à la loi et accompli le plus souvent pour amener un changement dans la loi ou bien dans la politique du gouvernement. En agissant ainsi, on s’adresse au sens de la justice de la majorité de la communauté et on déclare que, selon une opinion mûrement réfléchie, les principes de coopération sociale entre des êtres libres et égaux ne sont pas actuellement respectés. "

[1 - source : wikipedia] 

Sans la liberté de semences notre monde, le vôtre, celui de vos enfants, court à sa perte, c'est de notre survie dont il s'agit !

Ne laissons pas le vivant devenir une propriété intellectuelle arbitraire au service des grands groupes financiers et au détriment de l'Humanité.

 


Pétition en aide à Kokopelli

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

34x34-facebook----homenaturo

Partager cet article
Repost0
9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 16:13

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIO

 

Cinq vidéos pour comprendre les enjeux de notre monde


Notre monde est à la croisée des chemins, il est urgent d'en connaître les enjeux et les puissances économiques occultes pour savoir quels sont les choix qui s'offrent à nous.


Choix environnementaux

Choix médicaux

Choix de consommation


Journal de 13h du 19/09/2006 - France 2  - Présenté par Elise Lucet -   Comment interdit-on des produits naturels sans danger et...gratuits !  

 

Voir la Vidéo : b ok mod ident

Lylian Le Goff nous alerte sur les projets des entreprises multinationales  concernant les certifications Bio,ou comment Tolérer un certain taux     de chimie et 0,9% d'OGM.

 

Ecouter l'enregistrement : b ok mod ident

Jean Ziegler Rapporteur spécial à l'ONU pour le droit à l'alimentation de   2001 à 2008, aujourd'hui membre du comité consultatif du Conseil des  droits de l'homme des Nations Unies, explique l'industrie agro-alimentaire : " Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné "   

 

Voir la Vidéo : b ok mod ident

Claude Bourguignon, à l'Assemblée Nationale qu'est-ce qu'un sol de culture ? L'agriculture a-t-elle dégradé les sols agricoles, quels en sont les risques et les effets ?  "  Tous les 7 ans la France bétonne l'équivalent d'1 département " 

 

Voir la Vidéo

  (partie 1) b ok mod ident  (partie 2) b ok mod ident

Professeur Belpomme - Cancérologue - Professeur de cancérologie à      l'université Paris - Descartes Fondateur de l'ARTAC - La vie de l'humanité  est en jeu 

 

Voir la Vidéo  

(partie 1) b ok mod ident (partie 2) b ok mod ident (partie 3) b ok mod ident (partie 4) b ok mod ident (partie 5) b ok mod ident

 

 

 

Alors, on continue ?

 

 

"Après 1981, je demandais à François Mitterrand :


- Pourquoi maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis ?

Il me répondait qu’il n’avait pas le pouvoir d’affronter la Banque Mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu’il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. J’appris ainsi qu’être le gouvernement, être Président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme. J’ai vécu l’expérience directement durant quatorze ans.

En France, on élit, et les élus font des lois qu’ils n’ont jamais proposées et dont nous n’avons jamais voulu. La France est-elle une démocratie ? Une puissance mondiale ?

Je le dis en tant que Française : cela ne veut rien dire."
 

DANIELLE MITTERRAND

 

 

 

Pour continuer à s'informer : 

 

Santé :

Alerte : Le business de la santé et les vendeurs de maladies

Alimentation : Alerte santé publique

Les maladies dégénératives en augmentation


Agriculture :

A voir absolument : La mort est dans le pré

L'élevage accro aux antibiotiques

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

Les semences de la colère

Suicides des paysans, disparitions des fermes pour qui, pourquoi ?

La révolution verte est en marche

PAC, pour qui, pour quoi ?

Monsanto, selon le Monde

 

et aussi :

Soutenir les associations

 

et enfin :

Lettre ouverte d'un Naturopathe

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

34x34-facebook----

homenaturo

Partager cet article
Repost0
20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 21:47

 

 

 

Depuis trop longtemps l'évaluation de la nocivité des pesticides a porté sur la molécule chimique présente dans le pesticide. Depuis trop longtemps, les autorisations de mise sur le marché ont été décernés alors que les études sont effectuées par les entreprises mêmes qui demandent les autorisations.

Aujourd'hui encore, en matière alimentaire, les additifs et autres ajouts ne sont autorisés que les uns à la suite des autres, les risques des cumules de leurs effets potentiellement nocifs sur la santé humaine ne sont jamais pris en compte.

Aujourd'hui encore, il en va de même pour les médicaments et leurs interactions moléculaires, pourtant à hauts risques.

 

Réglementation :

RIEN NE BOUGE !


Aujourd'hui, les pesticides :

L'évaluation porte aujourd'hui sur la matière active - celle qui tue la plante ou l'insecte - et non sur les autres molécules chimiques présentes dans le produit et destinées à renforcer l'efficacité de la matière active.

Le verdict du procès contre Monsanto met en lumière la singularité du système d'évaluation des risques des pesticides (herbicides, insecticides, fongicides).

En effet, l'évaluation porte seulement sur la matière active - celle qui tue la plante ou l'insecte - et non sur les autres molécules chimiques présentes dans le produit et destinées à renforcer l'efficacité de la matière active. Nombre de ces molécules sont pourtant toxiques voire dangereuses pour la santé comme les benzènes ou les détergents. C'est ce qui s'est passé avec l'agriculteur français qui a porté plainte contre le géant chimique Monsanto : on a retrouvé dans son organisme des traces de monochlorobenzène, un solvant présent pour moitié dans le Lasso, au côté du principe actif, l'anachlore.

AGRICULTEURS VICTIMES DES PESTICIDESDepuis plusieurs années, un nombre grandissant de toxicologues demandent à ce que ces produits soient pris en compte eux aussi dans l'évaluation. En effet, selon eux, le mélange des molécules accroît encore le risque.

Avant de mettre les pesticides sur le marché, des tests de toxicité devraient être conduits sur l'ensemble du produit et non pas sur la seule molécule active.

« C'est une lacune réglementaire, les études de toxicité sont mal faites », explique par exemple Gilles-Eric Seralini, de l'université de Caen, en procès avec Monsanto.

Pour l'instant, rien ne bouge.

La terminologie reste toujours la même: les «adjuvants», les «formulations», les «préparations» associées à la matière active sont toujours considérés comme des «produits inertes».

Une bonne partie de ces adjuvants (tout dépend des proportions) restent d'ailleurs inconnus, secret industriel oblige...

 

Source le Figaro 13/02/2012

 

 Lire aussi  

La bio et la campagne...présidentielle

 

Monsanto, selon le Monde


Au sujet des pratiques agricoles :

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

PAC, pour qui, pour quoi ?

Loi sur les semences : le germe de la colère

Les Epandages aériens sont facilités en France

La semaine sans pesticides en France et dans le monde !

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

L'élevage accro aux antibiotiques

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

Suicides des paysans, disparitions des fermes pour qui, pourquoi ?

 

L'impact de l'agriculture sur la santé :

Les maladies dégénératives

La Naturopathie et la BIO

Alimentation : Alerte santé publique

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

La mort est dans le pré

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Salon de l'Agriculture, les victimes de pesticides sont là

La toxicité des OGM démontrée !

 

L'impact de l'alimentation chimique sur la santé :

Alimentation : Alerte santé publique Rapport des Nations Unies

   A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

34x34-facebook----

homenaturo


 

 

Partager cet article
Repost0
12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 18:14

 

Mal-bouffe,

maladies dégératives, 

coût de l'alimentation, 

perte de la biodiversité, 

empoisonnements des eaux, de l'air,

empoisonnement des agriculteurs aux pesticides, 

morts programmées des abeilles et des sols de culture...


 

Arrêtons ça !

 

 

 

et si la solution était à portée de mains ?


 

Autosuffisance :


la révolution existe, est mise en pratique et ça marche !

voir la vidéo : images[19]

 

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIO Lire aussi  


Les semences et la biodiversité interdites par l'Union Européenne !

 

 

Au sujet des pratiques agricoles :

PAC, pour qui, pour quoi ?

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

Loi sur les semences : le germe de la colère

Les Epandages aériens sont facilités en France

La semaine sans pesticides en France et dans le monde !

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

L'élevage accro aux antibiotiques

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

Monsanto, selon le Monde

 

L'impact de l'agriculture sur la santé : 

Les maladies dégénératives

La Naturopathie et la BIO

Alimentation : Alerte santé publique

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Salon de l'Agriculture, les victimes de pesticides sont là

La toxicité des OGM démontrée !

A voir absolument : La mort est dans le pré

 

L'alimentation aujourd'hui, où allons-nous ? 

Que mangeons-nous exactement ?

 

Un petit plus...un site à visiter !

graines logo

Troc de semences : un acte militant voire ...terroriste !!!



A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

homenaturo

34x34-facebook----

Partager cet article
Repost0
12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 10:58

Qui sont les bénéficiaires des subventions de la Politique Agricole Commune ? Face à l'Agriculture Bio, de grandes entreprises de l'agro-alimentaire chimiques et l'agriculture intensive se partagent le pactole.

 

presse homenaturo overblog

 

 

Bénéficiaires de la PAC :

 

les industriels en tête.

 

578088_3731627369818_1250025484_3834016_1083949344_n.jpg

 

500 millions d'€uros partagés entre 7 entreprises...

L’identité des bénéficiaires des aides agricoles européennes a été publiée, le 30 avril 2010, dans tous les pays de l’Union européenne.


En France,

11 milliards d’euros ont été distribués à près de 490 000 bénéficiaires.

Si les agriculteurs sont les principaux bénéficiaires de la PAC (Politique Agricole Commune) avec 9,8 milliards d’euros d’aides, ils reçoivent en moyenne 21 000 euros par exploitation, les entreprises agroalimentaires (918 millions d’aides) figurent, quant à elle, dans les tout premiers rangs du classement des montants.

 

En tête, l’identité des bénéficiaires est peu ou prou la même d’année en année, à une différence près : les sucriers en ont reçu davantage en raison des aides à la restructuration du secteur. Tereos a ainsi touché 177,9 millions d’euros et Saint-Louis Sucre 143,7. le documentaire de Keny Arkana le dénonce dans : « Un autre monde est possible ». 


D’autres entités reçoivent des aides telles que les associations caritatives au titre du programme européen d’aide aux plus démunis, lequel programme a été drastiquement diminué en 2011. La Fédération française banque alimentaire a, par exemple, reçu 30,4 millions d’euros et les Restaurants du cœur 19,8.

Source Euractiv 

Sources : l’Expansion ( 2008) : , Ministère de l'Agriculture et de la Pêche (2009) : , Commission européenne , Une agriculture productiviste et destructrice ?, Organisme FEAG (Fond Agricole Européen Garantie), site Toute L'Europe

 

courges-10

Et l'Agriculture Bio ?

 

Il faut 2 ans pour qu'une terre redevienne Bio.

 


Selon PAC 2013, après l'annonce de la réorientation des aides de la PAC, en ce qui concerne l‘Agriculture Biologique, l’enveloppe prévue n'est pas à la hauteur de l'engagement du Grenelle de parvenir à 6% des surfaces en 2012.

 

Alors qu'il s'agissait d'une demande forte des organisations du groupe PAC 2013, le gouvernement n'a pas souhaité supprimer les références historiques dès 2010. Cela signifie qu'en 2013, à la veille de la prochaine réforme de la PAC, les agriculteurs français recevront toujours leurs aides en fonction du travail qu’ils auront réalisé 10 ans plus tôt ! »

 

Les organisations du groupe PAC 2013 (*) « regrettent également que seuls 129 millions d’euros sur 1,4 milliards d’aides –soit moins de 10%–, soient réorientés vers des pratiques et des systèmes de production plus durables : protéagineux, agriculture biologique et nouveaux défis (changement climatique, énergie renouvelable, biodiversité, eau...). Et en ce qui concerne l‘agriculture biologique, l’enveloppe prévue n'est pas à la hauteur de l'engagement du Grenelle de parvenir à 6% des surfaces en 2012. »

 

« Il est donc regrettable que ces enjeux ne soient considérés que comme la dernière des priorités du gouvernement sur le bilan de santé, au moment même du lancement du plan Objectif Terre 2020 censé redessiner les contours du futur modèle agricole français.

Si le gouvernement veut donner une réelle chance à ce plan ambitieux, il est essentiel que les organisations de la société civile continuent à être partie prenante du débat sur la PAC. Elles souhaitent pour cela voir leur implication renforcée dans les processus de mise en place du bilan de santé et de refondation de la PAC après 2013. »

 

Pour l'Agriculture Bio 6 fois moins de subventions que l'agriculture intensive...

 

1,5 milliard d'euros de subventions européennes est distribué chaque année aux agriculteurs bio. Quand seulement 7 entreprises non bio reçoivent à elles seules une enveloppe globale de 500 millions et que 10 milliards d’euros par an de subventions de la PAC sont aloués à l'agriculture intensive.

 

 

Le gouvernement avait promis, lors du Grenelle de l’environnement, de multiplier par 3 la surface de champs cultivés en bio, pour grimper à 6%.

Subventions de la PAC aux agriculteurs bioPour encourager les agriculteurs à lâcher le pulvérisateur et le sac d’engrais chimiques, il est même prévu une aide financière. Pas vraiment du luxe, car celui qui se convertit au bio n’a le droit de vendre ses produits étiquetés “agriculture biologique” qu’au bout de 2 ans, le temps que les champs chimiqués se refassent une santé. Les pouvoirs publics en font des tonnes sur le 1,4 milliard d’euros de subventions européennes donné chaque année aux agriculteurs bio.

Pourtant, la France accuse un tel retard dans la distribution des subventions que des  éleveurs français ont décidé de porter plainte auprès de l’ Europe. “On reçoit l’argent avec de 9 à 10 mois de retard, la situation s’aggrave depuis 4 ans“, explique Jacques Maret, l’un des meneurs de la jacquerie. Cet éleveur de veaux bio en Poitou-Charentes va saisir le Parlement européen. Une fois la plainte enregistrée, elle sera expédiée à la Commission européenne qui lancera une enquête. La France pourrait se faite taper sur les doigts pour avoir joué les Picsou avec les subventions de la PAC aux agriculteurs bio.

 

   C’est d’autant plus étonnant, qu’à l’inverse, l’ Etat s’empresse de verser les subventions de la PAC destinées à l’agriculture intensive.

L’année dernière,la moitié des sommes a été réglée avec...6 semaines d’avance !.

 

 

culture pesticidesNon seulement les agriculteurs qui font dans l’intensif sont payés rubis sur l’ongle, mais en plus ils touchent 6 fois plus que leurs collègues qui préfèrent le bio, soit la coquette somme de 9 à 10 milliards d’euros par an de subventions de la PAC.

Une différence de traitement sur les subventions de la PAC qui met en rogne Jacques Maret et ses collègues. Avec tout ça, on comprend mieux pourquoi la France n’aligne que 2,5% de surfaces cultivées en bio, contre 8% en Italie, ou 15,7% en Autriche. En attendant, c’est le PACtole pour le chimique.


source : le canard enchainé

 

(*)Le groupe PAC 2013 est une plate forme de travail française qui associe des organisations d'agriculteurs, de solidarité internationale, de développement durable, et de protection de l'environnement sur l'avenir de la Politique agricole commune. Il regroupe notamment : Les Amis de la Terre, le Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD), le Comité français pour la solidarité internationale (CFSI), la Confédération paysanne, la Fédération nationale de l'agriculture biologique des régions de France (FNAB), la Fédération nationale des centres d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural (FNCIVAM), la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l'Homme, l'association 4D (Dossiers et débats pour le développement durable), le Réseau action climat, le Réseau agriculture durable, le WWF-France.

 

 Lire aussi  

La bio et la campagne...présidentielle


Au sujet des pratiques agricoles :

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

Loi sur les semences : le germe de la colère

Les Epandages aériens sont facilités en France

La semaine sans pesticides en France et dans le monde !

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

L'élevage accro aux antibiotiques

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

Monsanto, selon le Monde

 

L'impact de l'agriculture sur la santé :

Les maladies dégénératives

La Naturopathie et la BIO

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Salon de l'Agriculture, les victimes de pesticides sont là

La toxicité des OGM démontrée !

 

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

34x34-facebook----homenaturo

Partager cet article
Repost0