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A propos de la pub !

Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 10:29

 Depuis quelques jours, les harengs morts s'accumulent dans le Kolgrafafjördur...

Islande :
Des millions de harengs retrouvés morts dans un fjord

 

Vision d’horreur dans les fjords glacés. Pas moins de 10.000 tonnes de harengs ont été retrouvés morts le 1er février au fond d’un fjord islandais, dans le Kolgrafafjördur, la semaine dernière, rapporte le Morgunbladid. Déjà, le 30 décembre, 30.000 tonnes de harengs ont échoué au même endroit, certainement victimes d’un manque d’oxygène.

Les fjords ne sont plus des havres de paix

L’eau du fjord pourrait être devenue inhospitalière pour les poissons après la construction d’un pont en 2004: pour traverser le fjord, le pont a été bâti en entrée du fjord, provoquant une avancée de terre sur la mer. «La construction de cet édifice a pu empêcher l'eau de suffisamment se renouveler, notamment en cas d'absence de vent. Le fjord pourrait donc pâtir de concentrations en oxygène trop faibles», selon Robert Arnar Stefansson, biologiste islandais.

Or, avec l’entrée des bancs de poissons dans les fjords pendant l’hiver pour y trouver des eaux à bonne température, la quantité d’oxygène disponible pour chacun d’eux se réduit comme peau de chagrin. 10% des poissons qui se sont aventurés dans le Kolgrafafjördur auraient ainsi péri, entraînant un manque à gagner de 30 millions d’euros pour les pêcheurs. «C'est un événement grave, affirme Robert Arnar Stefansson. Nous enquêtons afin d'éviter qu'il ne se reproduise, si nécessaire par une intervention. Toutefois, le problème finira par se résorber: avec le printemps, les harengs migreront hors des zones littorales lors de la période de ponte.»

 

Source : 20minutes 154748[1]

Lire aussi :

Nouvelles Morts inexpliquées d'animaux... 20/12/2011

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 11:18

 

 

 

BANDE HOMENATURO THERAPIE NATURELLES

 

 

Très urgent 

 

 

Vers une interdiction

des soins et thérapies

naturelles


 

Après la remise en cause des compléments alimentaires par l'interdiction de toutes allégations thérapeutiques depuis le 14 décembre dernier, l'Europe s'attaque aujourd'hui à l'un des piliers de la médecine naturelle

: L’HOMÉOPATHIE !!!!



L’homéopathie est en grave danger.


Les médecins homéopathes vous alertent sur la disparition programmée de vos remèdes homéopathiques.

Suite à l’application d’une directive européenne sur la traçabilité qui aboutit à demander des sommes très importantes pour l’enregistrement de chaque souche, en quelques mois, 75% des remèdes homéopathiques deviennent indisponibles sur le territoire français; ils sont pourtant indispensables pour soigner de nombreux malades.

Cela compromet la santé de nos concitoyens.

 

 

En application de la DIRECTIVE EUROPÉENNE

 

2001/83/CE modifiée au 15/12/2010,

 

75% des remèdes homéopathiques deviennent

indisponibles

 

de fait sur le territoire Français.


La non-disponibilité de ces remèdes

homéopathiques compromet la santé de

tous les citoyens comme l'indique

l'APMH.

 


 

Le droit fondamental de se soigner

 

différemment

 

 

est en train de disparaître.

 

 

Si nous ne réagissons pas,

 

demain les thérapies

 

naturelles n'existeront plus...

 

et vous savez pourquoi !



 


Cliquez sur ok

pour signer cette pétition :b ok mod ident

 
A.HomeNaturo Overblog Je reprends ici, mots pour mots, les commentaires d'un Docteur en Pharmacie à propos de cette pétition :


  " à signer tout le monde, ça y est, on y est : impossible d'avoir certaines souches chez Boiron : elles ont été interdites! Par exemple le Ginkgo Biloba qui est pourtant fabuleux!!! Faut se bouger là ! allez, on signe et on partage !!! "  

 

Merci et bonne semaine,

Prenez soin de vous.

Michel.

 

 

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 13:36
L'Assemblée Nationale a (Enfin !)
voté l'interdiction du bisphénol A début 2015

Alors que des études avaient démontré que ce composant chimique est notamment cancérigène et neurotoxique...

 

L'interdiction générale du bisphénol A dans les contenants alimentaires début 2015 a été adoptée ce mercredi en deuxième lecture à l'Assemblée nationale, où les écologistes ont plaidé en vain pour une application avancée, tandis que des élus PS mais aussi UMP ont prôné un report.

La proposition de loi du député PS Gérard Bapt sur «la suspension de la fabrication, de l'importation, de l'exportation, et de la mise sur le marché de tout conditionnement à vocation alimentaire contenant du bisphénol A» avait été votée en première lecture par l'Assemblée il y a plus d'un an, en octobre 2011, puis adoptée, avec des modifications, par le Sénat le 9 octobre dernier.

Canettes et boîtes de conserve

Si les députés de tous bords ont souligné la nécessité de «légiférer pour éviter un nouveau scandale sanitaire» et pour trouver des substituts alors que «la controverse scientifique n'a plus lieu d'être» sur la nocivité du bisphénol A, la date d'application de l'interdiction générale a fait débat à gauche comme à droite, sans faire bouger le gouvernement.

Le bisphénol A, composant chimique très répandu, se trouve dans les revêtements plastiques internes de canettes et boîtes de conserve, ainsi que dans certaines bouteilles en plastique et dans des composites dentaires. De nombreuses études ont montré ses dangers comme perturbateur endocrinien, cancérigène et neurotoxique, et en 2011 un rapport de l'Agence de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) a jugé nécessaire de le remplacer «sans tarder».

Alors que le Sénat avait repoussé l'interdiction générale du 1er janvier 2014 au 1er juillet 2015, la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale a ramené la date butoir de juillet 2015 à janvier 2015. Pour les contenants de produits alimentaires destinés à des enfants de moins de trois ans, l'interdiction entrera en vigueur en 2013, dès la promulgation du texte.

Un rapport sur l'inocuité des substituts en 2014

Fort d'une pétition en ce sens signée en dix jours par de 45.000 personnes à l'initiative d'associations de santé environnementale, l'écologiste Jean-Louis Roumégas a défendu une application dès 2014 de l'interdiction générale. «Un an, c'était suffisant aux industriels pour s'adapter. Le délai choisi n'est pas anodin, car potentiellement 1,2 million de nourrissons qui naîtront dans cette période pourraient être soumis au risque», selon cet élu.

La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a justifié «le choix d'opérer en deux étapes» vu «la nécessité de trouver des produits de substitution qui ne présenteront pas de nouveaux risques». Le gouvernement devra présenter un rapport au Parlement en juillet 2014 pour s'assurer de l'inocuité des substituts.

Aux députés PS mais aussi UMP qui ont demandé, eux, une application repoussée à juillet 2015, voire à 2016, pour laisser aux industriels, notamment les PME, le temps d'adapter leurs processus de fabrication et d'écouler leurs stocks, Marisol Touraine a rétorqué que « deux ans était un délai suffisant qui permet aux entreprises de s'adapter ». « Solution de sagesse », selon Gérard Bapt.

Interdiction d'objets pour bébés conteannt du bisphénol A

Sur le fond, les députés ont, à la différence des sénateurs, limité l'interdiction dans les dispositifs médicaux de pédiatrie et maternité à une seule substance chimique (la DHEP), au lieu de trois, de la famille des phtalates présente dans les plastiques. enfant biberon-1Quant aux biberons, pour lesquels le bisphénol A est interdit depuis 2010 s'ils sont vendus en pharmacie ou en grande surface mais autorisé s'ils sont fournis en maternité et en service de néonatologie, le gouvernement comptait faire adopter un amendement pour «corriger cette situation inacceptable».

A aussi été votée l'interdiction des collerettes de tétines et de sucettes et des anneaux de dentition pour bébés contenant du bisphénol A.


Source 20 Minutes et AFP

A.HomeNaturo OverblogJ'adore la requête des Députés PS et UMP : " laisser aux industriels, notamment les PME, le temps d'adapter leurs processus de fabrication et d'écouler leurs stocks" Ben voyons, consommez, consommez, il en restera toujours quelque chose ! Et puis, vous êtes prévenus, non ? Si ce n'est pas du cynisme, ça ! Allez, de quoi se plaint-on ? Nous ne sommes, après tout, que fin 2012... Il fallait bien laisser du temps aux entreprises de s'adapter, et tant pis si c'est au détriment de la santé publique...l'économie et les parts de marché de ces groupes de l'industrie alimentaire doivent nécessairement passer avant la santé publique et puis nous avons la sécurité sociale si nous tombons malades, alors de quoi donc aurions-nous à nous plaindre ?
Quant au temps qu'il faut à ces grands groupes pour trouver des substituts inoffensifs il peut se comprendre, que voulez-vous on ne peut baser toute sa stratégie commerciale sur la publicité et, dans le même temps, investir sur la recherche lorsque l'on sait un produit dangereux...depuis tant d'années !

Bon, ne boudons donc pas notre plaisir et attendons sagement 2015 pour se souhaiter une bonne année et surtout...une bonne santé. En attendant : vérifiez vos achats, informez-vous et...consommez bio !

Sur le même sujet :


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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 12:49

ALIMENTATION.-2jpgJeudi 29 novembre de 19h30 à 21h30 :

conférence sur le lien entre dynamisation des aliments,

goût et santé !‏

 

 

Jeudi 29 novembre de 19h30 à 21h30 à la Grande Sorbonne –

46 rue St Jacques 75005 Paris
Gratuit et ouvert à tout public.


Dans le cadre du cycle de conférences Greenpride sur les liens entre santé et environnement, la société de commerce équitable Alter Eco et l’association DREAM vous invitent à une conférence originale.

Venez-vous rendre compte de l’impact des vibrations sur l’alimentation et notamment sur le goût des aliments en participant à un test gustatif.  

De manière plus large, nous aborderons les liens entre fréquences, alimentation et santé.


Afin d’approfondir ces questions, retrouvez :


René Guéraçague - Ingénieur du son
Edouard Rousseau - Agriculteur Biologique
Laurent Muratet - Dir. marketing et communication Alter Eco

René Guéraçague présentera ses recherches et résultats sur le lien entre fréquences électromagnétiques et alimentation d’une part, et sur le lien avec la santé d’autre part.

Edouard Rousseau témoignera de son expérience et convictions sur le sujet en tant qu’agriculteur biologique. Deux témoignages qui nous permettront d’ouvrir la discussion sur le lien plus large entre alimentation et santé.

Dans ce cadre, Alter Eco mettra ses produits au service de cette expérimentation et sera également modérateur de l’événement.


Page Facebook de l’événement : http://on.fb.me/SfWBsp

Informations pratiques :

Amphithéâtre Michelet – Université Paris-Sorbonne
46 rue St Jacques 75005 Paris
Métro Luxembourg, St Michel, Odéon
Accès : par le 46 rue St Jacques, 1er étage

Lien Google Maps : http://goo.gl/maps/yp9Tu

Contact : Malissa Phitthayaphone / malissa@altereco.com – 06 72 06 81 45

 

Source : AlterEco

 

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11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 12:15

 

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Une centaine d’étudiants venus des cinq continents ont signé ce vendredi 2 novembre 2012 à Paris le CliMates Call for Action, qui sera présenté lors de la prochaine réunion de la Conférence-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, à Doha au Qatar le mois prochain.

Ce texte est l’aboutissement du Sommet international organisé par l’association CliMates, qui s’est tenu dans les locaux de Sciences Po Paris du 29 octobre au 2 novembre 2012.

CliMates ©

A l’issue de trois jours de négociations intenses, les délégués ont adopté une position étudiante commune et ont proposé une série de recommandations à l’attention des négociateurs qui seront présents à Doha pour la COP 18. Par exemple, CliMates exhortent les gouvernements à reconnaître que l’agriculture est une des causes majeures de la déforestation actuelle et que ceci doit être pris en compte dans la mise en oeuvre effective du processus REDD+. A côté de ces recommandations, les délégués se sont engagés à entreprendre plusieurs travaux de recherche, nouveaux et existants, sur de nombreux sujets clés du changement climatique. CliMates contribuera à l’analyse des conséquences locales des changements dans l’utilisation des terres sur l’environnement et sur les émissions de CO2. Plus novateur, CliMates s’engage également à étudier des tendances sociétales qui sont à première vue non liées au changement climatique, qu’elles soient économiques, politiques, sociales ou culturelles, mais qui pourraient apporter des éléments pertinents à la mise en oeuvre de politiques climatiques et qui pourraient enrichir les débats lors des négociations internationales. Autour de ces sessions de négociation qui constituaient le coeur du Sommet, des experts de renom se sont adressés aux étudiants, tels que Jean Jouzel, Prix Nobel de la Paix 2007, Laurence Tubiana, Directrice de l’Institut du développement durable et des relations internationales, Ghassan Salamé, ancien Ministre de la Culture du Liban, ancien Conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan et Directeur de la Paris School of International Affairs, ou encore Paul Watkinson, Chef de la délégation française de négociation pour le climat. Un salon d’associations étudiantes, organisé en marge du Sommet, a également permis aux participants de tisser des liens, renforcer la cohésion du réseau mondial de jeunes engagés, et d’enrichir les débats.

Créé en 2011 à Paris, CliMates est un think tank étudiant de dimension internationale engagé dans la recherche de solutions innovantes pour combattre le changement climatique. Forte d’un réseau de plus de 160 étudiants internationaux de différentes disciplines, l’association a réalisé en un an d’existence un travail approfondi de recherche collaborative sur les différents thèmes du changement climatique et a participé à des évènements d’envergure internationale tels que la Conférence de Rio+20 en juin 2012.

Source : CDURABLE Info

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Student Solutions to Climate Change

Contact : Sabrina Marquant



Voir en ligne : www.climates.fr

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8 septembre 2012 6 08 /09 /septembre /2012 16:22

  Le Nucléaire et les essais militaires dans les atolls du Pacifique : révélations sur les cancers et les risques qui y sont liés - L'énergie nucléaire en France - . Collectifs et associations anti-nucléaire en France.

 

NUCLEAIRE

 

Cancer :
révélations sur les essais nucléaires français

Des expertises établissent un lien probable entre les retombées radioactives et les cancers de certains militaires basés en Polynésie. Une première qui pourrait aboutir à la mise en cause de l’Etat.

 

C’est une étape décisive qui vient d’être franchie pour les 150 000 victimes potentielles des essais nucléaires français effectués en Algérie et en Polynésie de 1960 à 1996.

Pour la première fois dans le volet pénal du dossier, des expertises médicales concluent à un lien probable entre les retombées radioactives des bombes et les graves maladies (cancers notamment) développées par d’anciens militaires ou professionnels du .

Un pas majeur vers la reconnaissance de la responsabilité des pouvoirs publics.


Faisceau de présomptions

Ces expertises ont été réalisées à la demande d’Anne-Marie Bellot, juge d’instruction chargée de l’enquête à la suite de la plainte déposée fin 2003 par l’Aven (Association des victimes des essais nucléaires). Une information judiciaire avait été ouverte début 2004 pour « homicide involontaire, atteinte à l’intégrité physique et administration de substances nuisibles ». Dans les documents que nous avons pu consulter, l’expert, Florent de Vathaire, conclut à un lien probable pour 6 personnes sur les 15 « expertisées », tant en Algérie qu’en Polynésie. « En rassemblant de nombreux éléments, j’ai pu construire un faisceau de présomptions qui permet de dire que le lien entre les retombées radioactives et les maladies est vraisemblable pour certains des cas expertisés », nous confie l’expert.

Les avocats des victimes restent cependant prudents car il faudra apporter la preuve d’une causalité directe entre les essais nucléaires et les maladies. D’autant plus qu’au plan civil seuls quatre dossiers sur 720 portés par l’Aven ont été retenus par le comité compétent pour les indemnisations des victimes. En revanche, « c’est un élément fort qui va peut-être enfin obliger l’armée à fournir toutes les informations sur les militaires ou les civils présents lors des tirs, et pour qui les dossiers sont incomplets », estime Cécile Labrunie, avocate au cabinet parisien Teissonnière, qui suit le dossier.

Forte de ces expertises, l’enquête peut désormais s’accélérer. Selon nos informations, Marie-Odile Bertella-Geffroy, la juge d’instruction qui a repris le dossier, vient de lancer une commission rogatoire pour récupérer le maximum d’archives. Le but : obtenir la déclassification des dossiers secret-défense les plus sensibles qui n’ont pas encore pu être exploités.

Source : Le Parisien

 

NUCLEAIRE-Sept.2012.jpg

 

Alors...bienvenue au Paradis !


 

 

NUCLEAIRE-5  Lire sur le même sujet :

La Tragédie Japonaise et le nucléaire (12.03.11)
Greenpeace : Non, Le nucléaire sûr n'existe pas (22.04.11)
Résumé, un mois après le tremblement de terre au Japon (12.04.11)
Fukushima jugé aussi grave que Tchernobyle et après, Fessenheim ? (12.04.11)
Quand la Centrale de Fessenheim fait peur (12.04.11)
démantèlement  La centrale nucléaire de Brennilis en Bretagne (12.04.11)
Dans la Presse : La centrale de Brennilis et le Gaz de Schiste en France (10.04.11)

Le saviez-vous ?

L'accord passé entre l'OMS et Agence du Nucléaire

OMS et Industrie Nucléaire d'étranges liens

Les pétitions :

Pétition pour l'indépendance de l'OMS face au Nucléaire
CRIIRAD, Communiqué sur la radioactivité en France (23.03.11)
Pétitions CRIIRAD :
" Appel aux pouvoirs publics pour la transparence des analyses de l'air " (26.03.11)
" Non à la radioactivité dans nos objets du quotidien "  (17.03.11)

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 16:14

 

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Notre alimentation est un facteur déterminant de notre santé,

l'agriculture est un facteur déterminant de l'environnement

or,

notre alimentation est intimement liée aux pratiques agricoles

et notre santé est mise à mal par un environnement pollué.

 

D'aucun claironnent encore que l'agriculture intensive n'est en rien dangereuse, qu'elle présente toutes les garanties environnementales et sanitaires.

 

Alors comment peuvent-ils expliquer que plusieurs maladies professionnelles des agriculteurs ont pour cause directe l'utilisation de phytosanitaires ?

Comment de telles thèses peuvent-elles être encore soutenues - honnêtement - alors que :

 

l'Etat va être contraint à indemniser un agriculteur exposé à des substances toxiques !

 

4 années de combat

 

Et c'est une première !

Le 23 avril l'Etat a été condamné par une juridiction d'Epinal à indemniser un agriculteur ayant développé un cancer à cause des substances toxiques contenues dans des pesticides et herbicides. " Ce qui constitue une première judiciaire en France ", selon l'avocat du plaignant. En 2002, Dominique Marchal, céréalier en Meurthe-et-Moselle,  développe un syndrome myéloprolifératif , ce cancer sera ensuite, en 2006, reconnu comme maladie professionnelle par le tribunal des affaires de sécurité sociale d'Epinal.

A la suite de cette reconnaissance, Dominique Marchal s'est tourné vers la Commission d'indemnisation des victimes d'infraction (CIVI), juridiction à part entière, qui, dans la décision rendue du 23 avril 2012 , a condamné l'Etat à réparer le préjudice subi.

Pour l'avocat de Dominique Marchal,  Me François Lafforgue, c'est donc bel et bien une victoire puisque : " C'est la première fois en France que l'Etat indemnisera ce type de préjudice ".

Tandis que pour Dominique Marchal  " C'est une grande satisfaction, un soulagement, un aboutissement après quatre années de combat ", s'est réjoui l'agriculteur, âgé de 54 ans. " Nous espérons que cela engendrera une jurisprudence. D'autres cas sont en cours ", a-t-il ajouté.

 

  

LIEN DE CAUSALITÉ


En revanche, pour le moment, aucune action pénale n'a été engagée contre les fabricants des produits toxiques incriminés.


Souhaitons que l'Etat se retourne maintenant contre ces fabricants peu scrupuleux par le culture champs homme d'affairesbiais d'une action " récursoire ", ainsi que l'a souligné Me Lafforgue.

Puisqu'une vingtaine de produits, principalement des herbicides et pesticides, commercialisés par sept fabricants, dont BASF ou Bayer, contenaient notamment du benzène, reconnu cancérogène.

Or, " Dès 1982, les fabricants de produits phytopharmacologiques ne pouvaient ignorer que leurs produits contenant du benzène exposaient leurs utilisateurs au risque grave de contracter ce type de maladie ", notent les magistrats de la CIVI dans leur décision.


On notera le cynisme de ces fabricants en constatant l'absence de mention sur les emballages, ce qui constitue un manquement à une obligation de sécurité ainsi qu'une faute de prudence, constatent par ailleurs les juges, qui établissent un lien de causalité entre les produits et la pathologie développée.

Ainsi, nous sommes en droit, nous citoyens, de nous demander s'il est tout à fait normal que nos impôts se substituent aux sommes que devraient, logiquement, débourser ces fabricants dans le cadre de ces indemnisations. Parce que ne nous leurrons pas, dans cette brèche maintenant ouverte, c'est toute une profession qui peut désormais s'en prévaloir.

 

Bon appétit, donc...courges-6 car n'oublions, tout de même pas, que les végétaux cultivés avec ces produits sont ensuite consommés !

 

Sources :

AFP - Journal le Monde du 27.04.2012

 

Sur le même sujet : 

Agriculture et phytosanitaires 

A voir absolument : La mort est dans le pré

Pesticides et Parkinson : de la cause à l'effet !

Monsanto, selon le Monde

Quels enjeux pour quel monde ?

Suicides des paysans, disparitions des fermes pour qui, pourquoi ?

PAC, pour qui, pour quoi ?

L'évaluation des pesticides : les lacunes réglementaires

Les Epandages aériens sont facilités en France

Des agriculteurs victimes de pesticides veulent rompre le silence

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Quand les apiculteurs occupent un site Monsanto en France

La semaine sans pesticides en France et dans le monde !

Semaine sans pesticides...si on en parlait ?

L'élevage accro aux antibiotiques

Philippe Labre, vétérinaire Bio interdit d'exercer

Les algues vertes : un été pourrit en Bretagne

Agriculture et OGM

Les OGM, l'avis du Naturopathe

La toxicité des OGM démontrée !

Nouvelle action contre monsanto et le maïs OGM

Agriculture BIO et actions qui y sont liées

La Naturopathie et la BIO

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

Loi sur les semences : le germe de la colère

Les semences de la colère

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

Abeilles : chronique d'une mort annoncée

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

La révolution verte est en marche

Agriculture et santé

Alimentation : Alerte santé publique

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

Les maladies dégénératives passent à table !

Des pesticides dans notre sang !

 


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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 17:14

 

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Il est bien évident que notre monde ne peut plus continuer sur les rails que nous obligent à suivre tous les lobbys des groupes industriels qui tentent de gouverner le monde pour leur seuls profits. Lobbys de l'agro-alimentaires, lobbys pétro-chimiques, lobbys pharmaceutiques ou encore du nucléaire, tous ces grands groupes conduisent le monde à sa perte. Chaque jour, en tant que consommateur, nos choix deviennent autant d'actes militants.
Pour continuer et aller plus loin dans nos choix, les associations de plus en plus présentes sur l'échiquier social, représentent un véritable contre-pouvoir et, de ce fait,...elles dérangent !

 

montage ECOLO HOMENATURO

Alertes sanitaires : 
ces associations qui dérangent un peu trop 

  

Un suivi des malformations des nouveau-nés menacé de suspension, un décret qui marginalise en douce les associations environnementales, des programmes de recherche sur la santé annulés... Les associations et les expertises indépendantes dérangeraient-ils certains intérêts ? Après une année marquée par plusieurs victoires, comme l’interdiction du bisphénol A, des phtalates et du parabène, elles voient en 2012 les obstacles se multiplier pour poursuivre leur travail d’alerte.

 

« Les associations indépendantes dérangent, c’est très clair sur les questions de santé-environnement. »

André Cicolella, président du Réseau environnement santé (RES), n’y va pas par quatre chemins. « Beaucoup ont intérêt à ce que rien ne change », confie ce spécialiste de l’évaluation des risques sanitaires.

Dernier exemple en date : l’attaque dont fait l’objet une petite équipe de chercheurs en épidémiologie à Lyon. Ils tiennent le Registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera). Dans leurs archives, figurent plus de 60 000 dossiers d’enfants porteurs de malformations congénitales. Leur travail : tenter de déceler d’éventuels facteurs provoquant ou favorisant ces malformations, comme les pesticides ou les dioxines recrachées par les incinérateurs de déchets [1].

Or, l’existence de ce registre est menacé. Il vient, le 15 décembre, d’être « déqualifié » par le Comité national des registres, chargé de veiller à leur bonne tenue [2]. Une décision perçue comme « brutale » et « incompréhensible » à l’encontre du registre le plus important sur le sujet en France [3]. Et qui interroge : " pourquoi s’en prendre au registre des malformations des nouveau-nés ? Le travail des chercheurs lyonnais gênerait-il ? "

Des études qui dérangent ?

« Les malformations congénitales concernent plus de 3 % des enfants nés vivants et représentent la plus importante cause de mortalité infantile », explique Emmanuelle Amar, épidémiologiste et directrice du registre. Comme ces malformations ne font pas partie des pathologies à déclaration obligatoire, elles ne sont donc pas recensées sur l’ensemble du territoire. « De fait, seul un registre dédié à ce type de pathologies permet d’alerter les autorités sanitaires en cas d’augmentation du nombre de cas de malformations sur un territoire donné », indique l’épidémiologiste. « En neuf mois d’exposition de la mère, on a tout de suite un signal d’alerte. » Détecter une recrudescence de cancers liés à un même facteur, comme les cancers professionnels, peut prendre plusieurs années, le temps que la maladie se déclare.

Emmanuelle Amar et son équipe travaillent notamment sur les pesticides et les expositions professionnelles. « Nous essayons de comprendre les facteurs favorisant la venue de certaines malformations », mentionne t-elle à Basta !. « Nous avons, par exemple, étudié avec le Centre anticancéreux Léon-Bérard le lien entre les pesticides et le cancer du testicule chez le jeune adulte. » Une étude conjointe du Remera et de l’Inserm montre aussi le rôle des dioxines et des métaux lourds, émis par les incinérateurs d’ordures ménagères, dans l’augmentation des malformations urinaires constatée en Rhône-Alpes [4]. « La déqualification soudaine du registre est ahurissante, confie Emmanuelle Amar, surtout que les motifs invoqués ne tiennent pas. Je pensais jusque-là que c’était une simple question de réduction budgétaire. » Elle s’interroge désormais sur les vraies raisons qui ont poussé à cette sanction.

Conflits d’intérêts ou démocratie sanitaire

Dans une note d’analyse, le Remera démonte chacune des affirmations qui ont conduit le Comité national des registres (CNR) à déqualifier le registre. Fait troublant, la décision du CNR – composé de 22 experts en épidémiologie et santé publique – se fonde partiellement sur un audit de septembre 2011 diligenté par l’InVS (rattaché au ministère de la Santé). L’institut, membre du CNR, est aussi l’un des principaux financeurs du registre (85 000 euros par an sur les 220 000 euros de budget annuel de l’association). « Tout cela pose la question de la démocratie sanitaire et des conflits d’intérêts », s’agace Emmanuelle Amar.

L’auditrice mandatée par l’InVS aurait confié être « très mal à l’aise », devant « apprécier la qualité du travail fourni » tout en sachant que « l’InVS souhaite se désengager de ses financements », ajoute le professeur Jean-François Lacronique, président de l’association Remera [5]. « Ce n’est pas l’auditrice qui décide de la requalification du registre, mais les 22 membres du CNR, experts en épidémiologie et santé publique, qui votent à bulletin secret lors d’une réunion plénière, répond l’InVS à l’Agence de presse médicale. Le but est d’avoir des données de bonne qualité, pas de supprimer les registres. » L’InVS et l’Inserm viennent par ailleurs d’annoncer qu’ils continueront à financer le registre en 2012. Une façon de balayer les rumeurs selon lesquelles l’InVS voudrait se désengager. Appuyés par des médecins, des élus et des associations (voir la liste des soutiens), Emmanuelle Amar et son équipe ont déposé un recours gracieux contre la décision de déqualification. Il reviendra au CNR de décider s’il entérine sa première décision.

Casser le thermomètre

Cette polémique fait écho à la défiance accrue des citoyens à l’égard d’autorités sanitaires qui ne jouent plus leur rôle. « Que peut-on penser d’une institution publique comme l’InVS dont la mission consiste à organiser la veille sanitaire, et qui préfère détruire les outils de veille existants en santé-environnement ? », s’insurge André Cicolella. « Veut-on vraiment éviter un drame tel que celui du thalidomide ? » Ce médicament, commercialisé en 1955, est responsable de la naissance de milliers d’enfants porteurs de malformations sévères entre 1956 et 1961. S’il a fallu six années pour le retirer du marché, c’est parce qu’il n’existait à l’époque aucun système de surveillance des malformations congénitales permettant de recouper les données. C’est pour tirer les leçons de ce scandale que des registres ont été créés.

Ni l’InVS ni l’Inserm n’ont souhaité reprendre fin 2006 la gestion de ce précieux outil de veille sanitaire, alors que la société d’assurances Groupama se retirait de son financement. Une structure associative, le Remera, a donc vu le jour en 2007 pour gérer le registre, subventionnée par le biais de conventions annuelles, sans aucun fond de trésorerie. L’actuelle décision de suspendre ce registre sur les malformations congénitales va à l’encontre des dispositions du Grenelle et du Plan national santé environnement, qui insistent sur l’urgence de mieux connaître les facteurs toxiques qui affectent les nouveau-nés. « C’est la stratégie du thermomètre : on le casse pour ne pas voir la température », résume André Cicolella.

Briser l’élan

L’année 2011 a pourtant été marquée par des victoires considérables pour les réseaux associatifs. Après s’être prononcés en mai dernier pour l’interdiction des phtalates, des alkylphénols et des parabènes, les députés ont voté l’interdiction du bisphénol A (BPA) dans les contenants alimentaires en octobre 2011. Autant de substances qui sont classées cancérigènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction (« CMR »)… « Dans le cas du BPA, nous avons montré que l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) ignorait 95 % des études scientifiques, et qu’elle ne remplissait donc pas son rôle », rappelle André Cicolella. La veille scientifique menée dès mai 2009 par les membres du RES a révélé l’impact sanitaire du BPA, à des doses très inférieures à la dose journalière admissible préconisée par l’Afssa, devenue Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire). Il a cependant fallu attendre le 27 septembre 2011 pour que l’Anses aboutisse aux conclusions des études indépendantes et admette le risque.

Face aux récents conflits d’intérêts qui ont secoué les autorités sanitaires, entachant leur prétendue indépendance, ces nouveaux réseaux associatifs gagnent en puissance et en crédibilité auprès des citoyens. Mais une autre décision risque de briser cet élan. L’Agence nationale de la recherche (ANR) a annulé le programme consacré à la santé environnementale lancé il y a un an. « Cette décision est d’autant plus surprenante qu’elle a été prise en catimini à la demande du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du directeur du programme CESA (« Contaminants et environnement ») sans que le conseil scientifique de l’Agence nationale de la recherche n’ait été associé », indique le Réseau environnement santé. Pourtant, ce programme avait notamment permis de financer la recherche sur le chlordécone, un pesticide massivement aspergé sur les plantations de bananes aux Antilles. Un lien avait ainsi pu être démontré entre l’exposition au chlordécone et l’excès de cancers de la prostate chez les ouvriers agricoles des bananeraies de Martinique et de Guadeloupe (lire notre enquête). Une pétition pour le maintien du programme Cesa a été initiée par plusieurs associations.

« Les associations, ça commence à bien faire... »

Aux coupes budgétaires et aux menaces pesant sur les outils de veille, est venue s’ajouter la parution d’un décret, en juillet 2011, menaçant de condamner au silence les associations de défense de l’environnement [6]. Pour être reconnues d’utilité publique, ces associations devront désormais compter au moins 2 000 adhérents, exercer leur action sur la moitié des régions, et disposer d’un minimum de 5 000 donateurs. « On ferme la porte à toutes les petites structures locales qui font un travail extraordinaire en s’appuyant sur des associations nationales », note Roland Desbordes, de la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad). « Si ces associations n’existaient pas, nous n’aurions pas la même action car ce sont elles qui font remonter l’information », précise-t-il. L’État chercherait-il à choisir, parmi les associations pouvant siéger dans les instances consultatives, celles qui ne sont pas trop dérangeantes ?

« Il n’y a pas que le nombre qui fonde la reconnaissance, mais aussi l’expertise et la pratique », analyse, pour sa part, François Veillerette, de Générations futures, une association travaillant sur les dangers des pesticides. « Notre travail n’est pas d’aller chercher des adhérents. Nous préférons mettre cet argent dans l’expertise et l’information de nos concitoyens, explique-t-il. Par ce décret, on nous demande d’arrêter de faire une partie de notre travail pour arriver à être reconnu de façon administrative. » Du côté du Centre national d’information indépendante sur les déchets (Cniid), très porté sur la thématique de l’incinération et du stockage des déchets, on ressent « une volonté de contrôler et de museler au niveau national et local ». Mettant en exergue l’indépendance financière comme gage de crédibilité, son directeur, Sébastien Lapeyre, considère que le nombre d’adhérents n’est pas un critère de représentativité. « On gagne des adhérents en étant reconnus par le développement de nos expertises et non en développant une stratégie marketing », insiste-t-il.

Ces contre-pouvoirs mal aimés des politiques

Ce décret est révélateur d’une atmosphère pas vraiment favorable aux expertises indépendantes. « Les députés UMP et les sénateurs ont très mal vécu le Grenelle de l’environnement et la place accordée aux associations dans la représentation des citoyens », avance François Veillerette, dans l’émission « Terre à Terre » (France Culture) du 3 septembre dernier. Faudra-il bientôt être élu pour être considéré comme un contre-pouvoir légitime ? Pour André Cicolella, tout l’enjeu consiste à ce que les associations aient les moyens de mener leur action. « Elles ont besoin de financements qui ne soient pas attribués par favoritisme mais pour le travail mené », explique-t-il. Un changement culturel d’envergure est à conduire. Afin que ce qui a fonctionné pour le bisphénol A puisse se reproduire pour d’autres dossiers, du mercure dentaire au risque nucléaire.

Source : Sophie Chapelle pour bastamag.net (janvier 2012)

Lire l'article sur le site : b ok mod ident

Notes

[1] Il existe une quarantaine de registres de ce type en France, financés, en dehors des registres sur les cancers, par l’Institut de veille sanitaire (InVS) et l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), dont cinq registres sur les malformations congénitales.

[2] Le Comité national des registres, coprésidé par l’InVS et l’Inserm, dilligente tous les quatre ans une procédure de requalification des registres (trois ans lorsqu’il s’agit d’une première qualification). Source : APM.

[3] Lire le courrier de déqualification.

[4] Lire le résumé de cette étude (en anglais).

[5] Lire la lettre adressée par le professeur Jean-François Lacronique à l’InVS et à l’Inserm.

[6] Lire L’État se débarrasse des associations qui dérangent.

 

Les Associations et actions présentées sur ce blog 


Les semences et la biodiversité en danger !

Non au Gaz de Schiste !

Le Docteur Moulinier appel à l'aide !

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

Pétition : aidons les abeilles contre les OGM

" Sortons de la Marmite "

La bio et la campagne...présidentielle

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Antidote Europe refuse les tests sur les animaux !

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Pour l'indépendance de l'OMS face au Nucléaire

La méditerranée en péril

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Philippe Labre, vétérinaire Bio interdit d'exercer

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Biodiversité, la pétition diffusée par Kokopelli via HomeNaturo

Pétition pour le droit des animaux

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Pétition : Arrêtons Fessenheim

" Appel aux pouvoirs publics pour la transparence des analyses de l'air "

" Non à la radioactivité dans nos objets du quotidien " 

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Lire aussi : 

Lettre ouverte d'un Naturopathe

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 14:59

 

 

 

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Gaz de schiste :
le permis de Cahors validé !

Selon les sources de Vigilance Périgord, le permis de Cahors serait sur le bureau de François Fillon. Le député Germinal Peiro dénonce "une supercherie"

La validation du permis de Cahors inquiète la Dordogne
La validation du permis de Cahors inquiète la Dordogne (Illustration MaxPPP)

Dominique Pouyer-Hue, coprésidente de Vigilance Périgord, a appris la nouvelle mercredi. « Une catastrophe », dit-elle.

La Dreal Midi-Pyrénées (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement) vient de terminer l'instruction du permis de Cahors et l'a validé ! Pourtant, la loi interdisait la fracturation hydraulique comme technique d'exploration et d'exploitation du gaz de schiste. « Le terme de fracturation hydraulique n'apparaît pas dans les textes des pétitionnaires qui usent d'une sémantique adaptée pour arriver à leur fin. Mais leur technique mentionnée correspond à sa définition », ajoute la coprésidente.

Selon les sources de l'association sarladaise, le permis de Cahors, qui concerne une zone allant de Montauban jusqu'au sud du département, serait aujourd'hui sur le bureau de François Fillon, désormais en charge du ministère de l'Écologie en relais de Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM).

« C'est une course contre la montre qui s'engage. Il ne faut pas qu'il le signe tant qu'il est en poste, peut-être jusqu'à dimanche, sinon, les sociétés américaines pourront venir explorer le gaz de schiste d'ici peu. »

Et si la gauche passe ?

« Je n'ai pas plus confiance en la gauche. Nous n'avons pas obtenu de la part de François Hollande la garantie qu'il ne signera pas. »


« Ils ont contourné la loi »


Fidèle à son travail d'alerte, Dominique Pouyer-Hue a appelé mercredi Jean-Fred Droin, le conseiller général du canton de Sarlat et a envoyé un SMS au député local Germinal Peiro. « Mais pour une fois, je n'ai pas encore eu de réponse de sa part. Avec la présidentielle, c'est sûr que ce n'est pas la bonne période. Il y a pourtant urgence si on veut éviter de voir débarquer les camions et commencer les forages, comme c'est déjà le cas dans l'Ain. » Joint hier soir au téléphone, Germinal Peiro, par ailleurs maire de Castelnaud qui figure sur la zone du permis de Cahors, s'est déclaré « révolté » par la nouvelle. « Ils ont contourné la loi en n'utilisant pas le terme de fracturation hydraulique. C'est une supercherie. Je me rappelle des déclarations de NKM l'an passé à La Roque-Gageac… On avait des craintes sur la position du gouvernement, malheureusement, elles étaient justifiées. »

Quant à la nuance de gravité entre permis d'exploration et permis d'exploitation, elle n'existe pour ainsi dire pas pour Dominique Pouyer-Hue : « Le permis d'exploration court sur 5 ans et les sociétés peuvent en bénéficier à trois reprises. Donc avant qu'une enquête publique ait lieu avec une étude d'impact, il peut se passer quinze ans. Quinze ans de dégâts et de pollution. »

 

Gaz de schiste :
le permis de Cahors validé,
la Dordogne inquiète !

La Dreal vient de terminer l'instruction du permis de Cahors et l'a validé. C'est l'information révélée par l'association anti-gaz de schiste « Vigilance Périgord »

Germinal Peiro, maire de Castelnaud à dénoncé une
Germinal Peiro, maire de Castelnaud à dénoncé une "supercherie" (Loic Mazarley) 

La Dreal vient de terminer l'instruction du permis de Cahors et l'a validé. C'est l'information révélée par l'association anti-gaz de schiste « Vigilance Périgord », par le biais de sa coprésidente Dominique Pouyer-Hue.

« La loi interdit la technique de la fracturation hydraulique pour explorer et exploiter le gaz de schiste, mais les pétitionnaires ont usé d'une sémantique adaptée pour arriver à leur fin. Ils n'ont donc pas employé ce terme, mais la technique décrite correspond totalement à la définition d'une fracturation hydraulique. »

De son côté, le député Germinal Peiro, par ailleurs maire de Castelnaud qui se situe sur la zone du permis de Cahors, a dénoncé « une supercherie », s'en prenant ouvertement au gouvernement. « On avait des craintes sur la position du gouvernement, elles étaient malheureusement justifiées. »

Le permis de Cahors est désormais sur le bureau de François Fillon, qui a désormais la charge du Ministère de l'Ecologie. « S'il signe ce permis, alors les sociétés américaines pourront commencer leur forage comme dans l'Ain », souffle Dominique Pouyer-Hue.

Source : Sud-Ouest Publié le 04/05/2012
Par Thierry Dumas

 

  Pour être informé, pour vous mobiliser : 
  ASSOCIATION VIGILANCE PERIGORD b ok mod ident


 

LES ARTICLES CONCERNANT LE GAZ DE SCHISTE PUBLIES SUR HOMENATURO 

lire aussi :

Gaz de Schiste, le Tribunal autorise la reprise de l'exploration  26/05/11 

André Picot du CNRS : il faut interdire le gaz de schiste !  12/05/11 

Gaz de Schiste à l'Assemblée Nationale, Non mais...peut-être...  11/05/11 

Gaz de Schiste en Seine & Marne débat parlementaire 10 mai 10/05/11

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Gaz de Schiste, des parlementaires, un député, un lobby et nous 08/05/11 

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Gaz de Schiste vers l'arrêt des autorisations   14/04/2011

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Gaz de schiste en Pays de Bray 08/04/2011 

Si les travaux sont légaux, alors que peut-on craindre ? 06/02/2011 

 

     Le gaz de schiste comprendre : une nouvelle catastrophe écologique ?   (vidéo)

Les Documents format PdF sur le sujet

et les adresses des collectifs & associations anti gaz de schiste

Gaz de Schiste et Energie Nucléaire les documents Pdf

 

 

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 11:24

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Le Japon stoppe le dernier réacteur nucléaire actif sur un parc de 50 unités

Le processus d'arrêt du dernier réacteur actif au Japon a débuté ce samedi 5 mai 2012, en vue d'une session de maintenance de plusieurs mois, réduisant à néant la part de l'énergie nucléaire dans l'électricité nippone un peu plus d'un an après la catastrophe de Fukushima.

 

NUCLEAIRE

 

Hokkaido Electric Power (Hepco), l'une des neuf compagnies régionales de l'archipel, a indiqué avoir commencé à stopper le réacteur Tomari 3, dernière unité active d es 50 que compte le Japon.

NUCLEAIRE EXPLOSION FUKUSHIMAA la suite du séisme et du tsunami qui, le 11 mars 2011, ont engendré un énorme accident dans le complexe atomique Fukushima Daiichi, submergé par une vague de 14 mètres de haut, onze réacteurs, sur 37 en fonctionnement, ont été subitement arrêtés dans les centrales du nord-est.

Deux autres présentant des risques à Hamaoka (centre) l'ont été plus tard sur ordre du gouvernement.

Par la suite, toutes les autres unités ont successivement été stoppées pour session d'entretien de routine, obligatoire tous les 13 mois d'activité en continu.

Le redémarrage de tous les réacteurs viables stoppés pour maintenance ou à cause des secousses sismiques est conditionné à de nouveaux tests de résistance (notamment vis-à-vis des catastrophes naturelles) et à l'approbation des autorités locales, ce qui retarde l'échéancier habituel.

Le gouvernement a validé la possibilité de redémarrer deux réacteurs de l'ouest, mais a promis qu'il ne passerait pas en force sur ce sujet, la population étant beaucoup plus réticente depuis l'accident de Fukushima, la pire catastrophe nucléaire depuis celle de Tchernobyl (Ukraine) en 1986.

Aucun calendrier n'a en conséquence été avancé, mais le gouvernement promet de proposer un nouveau plan énergétique à long terme durant l'été.

ENFANTS FUKUSHIMA

Afin de compenser l'absence totale d'énergie nucléaire, qui représentait avant le drame de Fukushima près de 30% de la production d'électricité du pays, les opérateurs sont contraints d'augmenter massivement leurs importations de pétrole et de gaz naturel liquéfié pour doper leurs centrales thermiques.

Les citoyens et entreprises nippones sont quant à eux priés de réduire leur consommation d'électricité pour éviter des coupures massives inopinées.

 

Source : AFP


  Lire sur le même sujet :

 

La Tragédie Japonaise et le nucléaire (12.03.11)
 Résumé, un mois après au Japon  

Dans la presse : Prévention contre les radiations à Fukushima

Fukushima, 1 an après : la journée d'actions mondiales

Les Japonais face au nucléaire

Greenpeace : Non, Le nucléaire sûr n'existe pas


L'énergie nucléaire en France : 

Dossier : " Le nucléaire en France..."

Maladies dégénératives, leucémies et nucléaire : trop de cas

Quand la Centrale de Fessenheim fait peur

Fukushima jugé aussi grave que Tchernobyle et après, Fessenheim ?  
Démantèlement  La centrale nucléaire de Brennilis en Bretagne  
Dans la Presse : La centrale de Brennilis et le Gaz de Schiste en France

En Corse les cancers de la Thyroïde sont bien liés à Tchernobyl

Tchernobyl et la France : une justice sans nuage...pour les responsables

Dans la presse : Energie Nucléaire en France et en Allemagne

 

Le saviez-vous ? 

L'accord passé entre l'OMS et Agence du Nucléaire

OMS et Industrie Nucléaire d'étranges liens


Les pétitions : 

Pétition pour l'indépendance de l'OMS face au Nucléaire
CRIIRAD, Communiqué sur la radioactivité en France (23.03.11)
Pétitions CRIIRAD :
" Appel aux pouvoirs publics pour la transparence des analyses de l'air " (26.03.11)  
" Non à la radioactivité dans nos objets du quotidien "  (17.03.11)

 

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